Chapitre 9
Je me réveille et je butte mon bras contre quelque chose de dure. J'ai mal à la tête et au bras droit, qui vient se taper contre une table, potentiellement. J'ouvre les yeux, je suis allongée sur le divan du salon, sur la table, à mes côtés, il y a un verre d'eau renversé, peut être que c'est moi qui l'ai fais tomber en percutant la table avec mon bras, mais ça n'a pas d'importance. Je regarde mon bras, il a un bandage et quand je touche le haut du bras, où se trouve le bandage, je me retiens de hurler car la douleur est dense. Ma mère dort sur l'autre canapé. Mon père est assis plus loin, sur sa grande chaise et ronfle comme un bulldozer. Je me redresse. Quelqu'un marche dans la maison. Je me recouche pour faire la morte, dans tous les films que j'ai vu, ça marche, pourquoi pas là, maintenant ? C'est un peu tard car la personne m'a vu. La personne qui n'est d'autre que Griselle.
-Ma chérie ! Tu vas bien ? Je suis désolée pour se que t'as fais mon fils, Paul, tu te souviens de lui. Qu'il t'ai obligé à sortir avec lui est une chose horrible, on arrête là ! Tu dois être contente, tu ne vas pas te marier à lui.
-Mon bras... j'articule.
-Oui, miraculeusement, Brenda ne t'as pas toucher autre part. Je ne comprends pas se qu'elle a contrez toi et je ne veux pas savoir ! continue t-elle alors qu'elle voit que je veux lui expliquer.
-Mon bras...
-Je comprends, tu ne sais pas se qu'il s'est passé. Ta mère t'expliquera mais ç fait deux jours que tu dors, Lou chérie. Alors aujourd'hui, c'est moi qui te garde, pour qu'ils puissent dormir.
Je regarde autour de moi. La pièce est entièrement vide mise à part mes parents qui dorment.
-Ils ne sont pas là. dit Griselle en faisant référence à son fils, sa fille et son mari.
J'acquiesce.
-Tu veux manger quelque chose, ça fait quand même deux jours que tu n'as pas manger ! Du jus de pastèque ? D'orange ? Du pain aux raisins ? Du pain beurré ? De la tarte aux pommes que ta mère a fait ?
-Non merci...
-Si ! Bien sur que si que tu veux manger ! Aller ! Dis moi se qui te ferait plaisir !
-Que tu fermes ta bouche !
Je remarque ensuite que se que j'ai dis dépassait mes pensées.
-Je... non ! Pardon Griselle !
Elle est déjà repartis en cuisine. Quand elle revient, c'est avec une serviette pour nettoyé le sol qui est rester là, sous l'eau, durant une bonne partie de la nuit.
-Je m'occupe de toi depuis hier soir; 17h30, je n'ai pas dormis de la nuit, j'ai préparer des médocs' pour toi ! Et qu'est ce que tu fais à ton réveille ? Tu me hurles dessus ! Tu penses que ça e donne envie de rester d'aider ?
-Je m'excuse Griselle... Je ne voulais pas...
-On fait tous des erreurs, mais toi, tu en fais beaucoup !
-Et alors ? Vous voulez qu'on en parle ?! Et bien on va en parler ! Votre fils, là, ce gros nigaud ! Vous voulez que je vous dise se qu'il fait à chaque fois qu'il vient ici ? Vous voulez vraiment savoir ? Parce qu'il y a les choses que moi je vois mais que personne d'autre ne vois ! Est ce que vous voulez savoir ? Moi, j'en ai ras le bol qu'on me prenne pour une débile qui fais des bêtises alors que les parents comme vous ne sont même pas capables de bien élevé leurs enfants ! Alors la moindre des choses, c'est de ne pas faire de commentaires ! Alors désolée d'avoir dis un gros mot mais moi j'en est ras la casquette !
Je me lève péniblement et déguerpis dans ma chambre. Arriver là bas, je me jette sur mon lit. Je ne sais pas si c'est l'adolescence mais tout m'énerve à un point un peu trop culminants. Griselle m'nerve, je suis sur qu'elle fait exprès de m'énervé pour pouvoir n'avoir plus personne à s'occuper et pouvoir rentrer chez elle. Ou fouiller dans la maison.
Je sais, je suis parano. Mais en même temps, avouez que c'est louche ?
Je descends les marches en courant, en peinant à rester debout et ne pas faire une série de roulades dans l'escalier. J'arrive en bas alors que Griselle fait une tarte. Faux codes rouge, se n'est rien. Je remonte dans ma chambre et j'attends. Plus tard, quelqu'un frappe à la porte alors que je lis un livre, ma fois fort intéressant.
-Oui ?
Griselle entre dans ma chambre.
-Je m'excuse Lou. Je ne voulais pas.
-On fait tous des erreurs, mais toi, tu en fais beaucoup ! dis je pour reprendre sa phrase de tout à l'heure.
Elle rit, un rire sec et sans vie. Puis elle lance :
-J'y vais, je t'ai fais une tarte aux pommes pour le dessert. Profite en bien. Et au fait, j'en ai pris quatre parts pour ma famille.
-C'est bien.
Dès qu'elle part, je descends, prends la tarte et la jette à la poubelle. Si elle l'a empoisonner, je suis mal. Je retourne dans ma chambre.
la suite de la journée, je ne m'en souviens pas tellement je me suis ennuyée. Je coirs que j'ai écouter 3h de radio nulle, j'ai réécouter trois fois le même CD et j'ai regarder deux fois le même film. Quelqu'un frappe à la porte.
-Oui ?
Ma mère entre.
-Alors ma malade, tu vas bien.
-Mise à part mon bras, oui. Cette grosse folle m'a bien amoché ! je dis, en regardant sous le bandage.
-Griselle c'est bien occupé de toi ?
-On ne peux pas dire ça, non...
Elle me regarde, assez choquée, je dirais.
-Ah ?
Elle ressorts et reviens plus tard me dire que le dîner est près. Un diner pas si bon que ça car c'est elle qui l'a fait car elle a demander à nos femmes de ménage de prendre congés le temps que j'aille mieux. Bref, elles reviendront demain.
Petit chapitre, j'espère que ça vous a plu car je n'avais plus trop d'inspiration. Bonne journée à tous.
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