Chapitre 7

Petite indication , tout se qui est en italique et qui est à la ligne veut dire que c'est une pensée de Lou ( l'héroïne ). Merci de votre compréhension.


Deux jours après, je du recevoir leur famille à la maison. Yvette et Carla ( si vous oublier tout le temps les noms - note pour  @Lamedargent - se sont les femmes de ménage ) avaient fais une pièce montée avec de petits choux et des fleurs. Ça aurait été génial si ça n'avait pas été parce que Paul était là.

Ils sont arrivé vers 12h, enfin, ils devaient arriver vers 12h, mais ils se sont garé sur le parking à 12h40, en retard, le père dégoulinant, la mère se repoudrant et Clémentine ( la petite sœur de Paul ) me regardait derrière ses lunettes avec un air de dégout. 

Tu vas me voir encore plus souvent, pauvre de toi qui ne l'aime déjà pas... pensais je.

Il me regarda avec dégout, peut être parce qu'il avait entendu avec ses amis des choses sur moi. Il faut dire que j'en avais déjà frapper quelques uns, et pas qu'une fois. Il me fit tout de même un câlin, pas que j'en attendais un, mais un jeune devant se marier à une fille comme moi se doit de lui faire au moins un câlin quand il arrive, et encore plus quand il est en retard.

Nous sommes monter car il voulait voir ma chambre. En jeune file très polie, j'ai fais :

-Mais biens sur Paul, tu es le roi, ici. ( note : Il faut le dire avec une voix de pimbêche !) 

Arriver devant la chambre, il a demander si il pouvait entrer, voyant qu'on attendait devant.

-Oui, mais avant je vais t'énoncer les règles, le plus important !

-Vas y ! Il ne dois pas y en avoir beaucoup.

-Règle n° 1, on ne touche à rien. Règle n° 2, on ne regarde pas dans les armoires. ... Règle n° 555, on ne dois pas ouvrir le tiroir à la gauche de mon bureau car il y a mes effets personnels ! Règle n° 556 ... Règle n° 1003 ...

-C'est bon ? Tu as fini ! commença à s'impatienter Paul.

-On mange ! cria ma mère.

- Ah ! On mange ! dis je.

-Et on entre quand ?!

-Bientôt, après le repas, quand tu m'auras réciter toutes les règles, dans l'ordre, à l'envers, puis encore à l'endroit et enfin, du milieu à la fin puis du début au milieu. J'espère que tu as écouter !

Pendant le repas, il regarda ses pieds. Puis, nous remontâmes. Le sol était froid sous mes pieds car j'avais oublier de remettre mes chaussons. 

-Alors ? dis je.

-Heu... Pour les règles ? Tu peux me répéter la première, s'il te plait !

-Heu... Règle n° 1, on ne doit... toucher à rien ! Voilà, on ne doit toucher à rien ! Enfin, toi, du moins.

-AH oui, ça me revient. Règle n° 1 On en doit toucher à rien. Règle n° 2, on ne regarde pas dans les armoires. Règle n° 3, on ne se moque pas des décorations quel qu'onques.  Règle n° 4, on ne se moque pas des doudous ou nounours. ...  Règle n° 1198, on ne doit pas porter d'affaires trop coloré. C'est la dernière, je crois.

Il avait fait un sans faute. Moi même je ne me souvenais plus de la première.

-Bien... J'imagine que l'on va pouvoir entrer...

Il entra, ne fit aucun commentaire et se contenta de regarder. Il toucha un de mes oursons et sourit. Je n'avais jamais vu un garçon entrer dans ma chambre et avoir une réaction pareil, je commençais à bien l'aimer.

-Tu as une chambre resplendissante, mais, sans méchanceté, comment fais tu pour vivre dans un tel fouillis ? dit il en montrant le bureau qui jonchait sous les feuilles, dessins, un de mes doudous, des tonnes de feutres, de la peinture, un tube de mascara, du blush...

-Heu...

Il se mit à ranger, en me regardant de temps en temps pour voir si je faisais un commentaire. Il ouvrit même le tiroir interdit et je ne dis rien, je me laissais faire. Á la fin de l'après midi, le bureau était ranger, nettoyé et couvert d'un napperon. Paul avait nettoyé, décrassé et requinqué mon bureau.

-Merci... dis je, émue.

-De rien, c'était un plaisir.

Je commençais à vraiment l'aimer, et cette fois là, personne, ni Julius, ni le Prince Azur ne me venais en tête. J'aimais Paul sans trop savoir pourquoi, il n'était pas simplement gentil, d'ailleurs, il n'était pas gentil, mais il était d'une nature sympathique et jovial, et ça me plaisais !

Ils sont partis à 18h30, sous la pluie, Paul m'a fait un câlin puis est entrer dans sa voiture après un signe de la main.

-Alors, cette journée ? m'a demander ma mère.

-Mmm, mmm...

J'entendais chuchoter mes parents ensuite, bien que je sois dans mes pensées.

-Tu vois, on a bien fait, elle n'a jamais été aussi radieuse.

-C'est vrai ma chérie, tu as raison, tu as eu une brillante idée ! des fois, je e dis que tu es le cerveau de la famille !

Ma mère rit, bientôt accompagné par mon père.

-Aller ! Au lit ma chérie... après un bon repas ! ajouta t-elle en voyant que je la regardait d'un très mauvais œil quand avant qu'elle n'ai parler du repas.

Le lendemain matin, je fus réveiller par ma mère qui tambourinais à ma porte.

-Les cours ! Ça va faire deux fois d'affiler que tu ai en retard ! Il est 9h30 !

-C'est bon, les cours ne commencent qu'à 10h40 !

-Je sais ! Mais la dernière fois, tu as été en retard, alors, pas cette fois ci ! En plus, tu n'as pas d'excuse car c'est à la maison, à domicile, alors tu pourrais faire un effort !

La journée se passa sans autre cris. Le soir, vers 18h40, après mes cours, je me baladais dans le jardin quand j'aperçu derrière la haie du sud une ombre. Dans ma nature de un-danger-j'y-fonce, je m'approchais et j'entendis quelqu'un chuchoter. La personne derrière la haie passa son bras à travers et attrapa le mien. 

-Hey ! 

-Lou ?! Mademoiselle Lou ? J'ai le cristal, c'est moi...

-Prince Azur ?

Oh non ! Maintenant que je ne l'aime plus ça va être difficile de mentir.

-C'est moi mademoiselle !

-Mais que faites vous dans un haie ! Ça ne va pas non ?

-Pourquoi avez vous renvoyé Mademoiselle Brenda !

-Qui ?! Ah ! Oui, excusez moi, j'avais oublier qui c'était ! Et bien, elle m'a enfermer dehors, Prince Azur !

Pour ça, pas besoin de mentir ! pensais je

-Mais elle m'a dit n'avoir rien fait ! protesta le prince.

-taisez vous ! donnez moi le cristal !

-J'en ai parler avec Brenda et elle veut que vous nous payez !

-Hein ? Mais j'allais vous le rendre, vous n'aviez pas compris cela ?

-Ah bon ? Alors là non, je n'avais pas compris. Bon, tenez, dit il en tendant sa main avec un beau cristal de derrière la haie, je viendrais le reprendre dans une quinzaine de jours !

-D'accord !

-Ici à la même heure ! 

J'arrachais le cristal des mains du prince sans dire merci et revenais vers l'intérieur. Dans ma chambre, je regardais de plus près le cristal, j'avais deux semaines avec lui.

Le soir, à 19h, au dîner, je demandais à ma mère :

-Maman, toi qui t'y connais en pierre précieuse, c'est quoi un cristal noir ?

-Hein ? Un cristal noir, dis tu ? C'est un cristal très dangereux qui permet de demander à une personne, avec la bonne incantation, tout se qu'il souhaite ! S'il tombe entre de mauvaise mains, il pourrait mener le monde à sa perte ! Mais où as tu entendu cela ?

Je racontais l'histoire, les discussions entre Brenda et le Prince Azur, puis la fausse amourette qui avais virer à la vrai, jusqu'à l'apport du cristal ce soir même.

-Tu as en ta possession un cristal noir ? demanda mon père.

-oui, le prince ma l'a prêter pour deux semaines.

-Il te l'a prêter ? Mais il ne va pas le récupérer, crois moi ! On va aller le donner dans un institue de magie noire ! Ils nous ferons un bon pris.

-Qu'est-ce ? Un institue de magie noir ?

-C'est un institue qui test les cristaux noirs pour savoir si leur pouvoir est plus ou moins puissant !

-Ah !

-Le tient, est il gros ?

-Pas plus grand que ma main.

-Assez, pour un cristal. Tes deux loulous m'ont l'air d''être deux voleurs bien expérimentés. Les as tu entendu parler d'argent ?

-Je ne crois pas, je ne sais plus ! Sans doute, je... Mais ? Qu'ai je fais à Brenda pour qu'elle me haïsse autant ?

-Tu le sauras un jour, bien assez tôt...

-Oui, bien assez tôt... continua mon père.

Le soleil était déjà couché, mais avant de dormir, je fis un tour dans le domaine. Puis, je m'habillais pour dormir et j'entrais dans mon lit froid.

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