Vis ce qu'il te reste(partie 2)

Telle une abeille butinant son miel,
Qui exécute l’ordre de sa reine et écoute,
Tel un serviteur enclavé au dessous du ciel,
Faisant son travail tout en suivant sa route,
Tels les baobabs ou les Hypérion actuels,
Qui poussent harmonieusement dans leur coin sans doute,

Mais en paix et heureux satisfaits de leur envoute.
C’est le respect l’ami même des beautés charnelles,
Qui leur rendent leur charme et cachent en eux les voutes,
C’est ce respect là qui fait battre des ailes,
Et laisse les grands pays surplomber notre croute.
Respectez-vous au moins si vous détestiez les mêles,
Ne vous laisser pas abattre par les joutes,
Soyez confiant il n’y a que vous qui pouviez utiliser l’aquarelle,
Pour en peindre et changer l’aspect de la vie toute.

Les mots blessent tel un glaive à deux tranchants,
Ils sont suspects et peuvent tuer une artère,
Faut se contrôler et revêtir son cachemire blanc,
Pour se protéger des attaques de l’adversaire,
C’est comme un jeu, seulement on ne tourne plus en rond,
On étouffe et on serre,
Et pour recommencer, il faut d’abord aller de l’avant,
Se contenter des entrainements même si ca dure une erre,
Ne pas se laisser malmener par les démons,
Les démons peuvent être dans les cimetières,
Toujours emportés par le vent,
Mais leur règne est éphémère,
Car on finit par comprendre leur détournement,
Il ne faut pas se laisser faire,
Agir et réfléchir aux solutions,
Pour élucider les mystères,
Et être joyeux aux événements.
Dieu nous crée toujours frères.
Et c’est la raison pour être bon
Les conseils à donner s’entend,
Étaient là pour guider ces vers,
Bercés par des histoires vécues depuis longtemps.

Bạn đang đọc truyện trên: AzTruyen.Top