Une douce voie soufflait un poème tandis que Maya flottait dans le vide les yeux fermés, envahi d'une douce torpeur.

La plume de l'écrivaine

Dans un coin tranquille, sous la lumière d'une lampe,

Une fillette écrivaine rêve sur une feuille blanche.

Avec son stylo, elle dessine des mondes nouveaux,

Des histoires enchantées, loin des échos.

Elle écrit de princes et de princesses,

De forêts enchantées, de nobles promesses.

Chaque mot qu'elle trace est une porte ouverte,

Vers un univers où tout est découverte.

Ses rêves sont grands, son imagination sans limite,

Sur le papier, elle crée, elle invite.

À la suivre dans ses aventures sans fin,

Où chaque personnage est un ami, un voisin.

La fillette écrivaine, avec ses mots, tisse,

Un tapis de récits, où la magie agit.

Elle est la gardienne de ses propres rêves,

Et dans ses écrits, son espoir s'élève.

Elle partage ses contes avec qui veut entendre,

Et ses livres deviennent des fenêtres à ouvrir.

Pour voir le monde à travers ses yeux d'enfant,

Où tout est possible, à chaque instant.

La fillette écrivaine, petite mais puissante,

Nous rappelle que les mots ont une force vibrante.

Et que même la plus jeune des âmes peut écrire,

Des histoires qui nous font sourire et grandir.