Chapitre huit: Le sous-sol
Le matin a été glacial pour notre jeune héroïne. Réveillée par le frigo qui a tambouriné plus d'une dizaine de fois à sa porte afin d'être sûr qu'elle soit réveillée. Elle a dû crier pour lui dire que c'est bon. C'était vraiment désagréable pour elle surtout lorsque l'on sait qu'au moindre petit bruit son instinct de survie l'oblige à se redresser d'un seul coup. Elle déteste cet individu à la prendre de haut comme-ci c'est une adolescente et le baraqué le lui rend bien.
Après une longue douche histoire de refroidir son tempérament de feu, la jeune femme, c'est vêtis. Elle a devinée la chaleur étouffante qu'il doit faire en cette matinée. Le soleil en vue de sa fenêtre est éclatant sans aucun nuage qui l'accompagne. Le cerisier fleuri en ce moi de printemps ne bouge aucune de ses branches. Il n'y a pas de vent. C'est pour cette raison qu'elle a choisi parmi les vêtements à disposition un short en jean et un débardeur vert pomme. Ses cheveux mouillés sont attaché en une queue-de-cheval haute. Elle a enfilée une simple paire de basket qu'elle a trouvée au dernier étage de l'armoire.
Lexie en ouvrant la porte a failli marcher en plein dans le plateau. « Il aurait pu au moins me l'apporter ! Où me prévenir ... » A telle pensée avant de lancer un juron. Elle a pu manger le croissant et le café chaud dans sa chambre. Puis c'est dix minutes plus tard qu'on est venu la chercher.
Nous sommes dans le sous-sol de l'énorme maisonnée. Lexie est encore sous le choc. Elle ne sait pas depuis combien de temps elle est restée plantée là sans dire un mot. C'est comme si elle se trouvait à un étage plus bas. Des ordinateurs partout derniers crient avec un énorme écran plasma implanté dans le mur. Trois personnes s'y trouvent pianotant devant leur écran respectif. Ils ne l'ont pas encore remarquée sûrement à cause de leur casque sur les oreilles. Au milieu de la pièce, juste en face de l'agent, une table de billard pour seule distraction. Mis à part les bruits de leurs doigts appuyés rapidement sur les touches de leur clavier, c'est le silence complet. Mais le plus troublant, c'est la porte en verre à sa droite ou elle peux voir un grand laboratoire. Une femme en blouse blanche parle toute seule en s'amusant avec ses fioles. Non, elle ne travaille pas, elle s'amuse en vue de son sourire enfantin. Elle n'entend rien mais c'est sur que la femme parle toute seule quand on voit les mouvements de ses lèvres teintées de rouge. Lexie ne sait pas vraiment à quoi elle ressemble pour le moment à cause de l'énorme paire de lunette de chimiste que la dame porte. En revanche, elle peu deviner une taille fine, la peau très blanche et une crinière rousse qui n'a pas l'air facile à coiffer. Cette femme au comportement de folle lui provoque un grand frisson. Elle croise d'ailleurs ses bras pour se les frotter. Elle lui donne carrément la chair de poule. Lexie en a vu des choses horribles et elle est toujours la première à se mettre dans les situations les plus dangereuses. Mais cette femme est vraiment étrange. La brune ne peut s'empêcher de chuchoter pour elle-même.
-Elle est vraiment chelou...
Elle eu à peine finit sa phrase qu'une voix familière proche de son oreille lui répond.
-Qui donc ?
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