CHAP 5 : PDV Rengoku
Et voilà le chapitre 5
cette semaine j'avais une pote chez moi donc g pas vraiment pu écrire.
Petite dédicace à sukuna250410 qui verra ce chapitre quand il reviendra de vacances !
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Quand mon amour rentra dans la pièce, je tournais vivement la tête vers lui, mon regards comme aimantés, je ne pouvais m'empêcher de le détailler, ses courts cheveux rose doux comme la soie, sa peau lunaire, ses tatouages au significatif horrible qui pourtant était indissociable de ce qu'il était, et ses yeux, oh ses yeux que j'avais appris à aimer jusqu'à les voir dans mes rêve, et non plus dans mes pire cauchemars, et qui pour un instant me détournèrent de la boule de stresse dans mon bas ventre.
-hum..m
La toux du maître me ramena à la réalité.
Je dérivais mon regard vers lui tentant vainement de cacher le rouge qui m'était monté au joues. La morsure glaciale de la peur revint au galop.
Ses longs cheveux noirs tombaient sur ses frêle épaules, semblant aussi fragile qu'une statue de verre, ça faisait longtemps maintenant qu'il ne pouvait plus se déplacer voir même plus s'assoir.
Mais voir le jeune aveugle, malade et dépendant qu'était devenu mon maître me fit quand même mal au cœur.
Le jeune homme couvert de bandages me regarda une œillade étrange, et je su qu'il commençait à se douter de la tournure qu'allait prendre cette histoire.
Bien sur je lui ai raconté sommairement la situation mais, il ne s'attendait certainement pas à voir une lune supérieure, la suite risquant d'être encore plus inattendue.
Mon maris s'assit près de moi, nos bras se touchant occasionnellement, et j'eu la fugace impression de redevenir le jeune homme amoureux de son ennemi, terrifié par les sentiments qui m'était à ce moment totalement inconnu.
Je n'avais plus vu mon Akachan aussi angoissé, depuis notre mariage....
Voir même la il avait l'air plus confiant.
Au moins je ne suis plus seul à stresser même si les raisons ne semblent clairement pas être les même.
Du coin de l'œil je note toute les gestes presque imperceptibles qui montre son stresse, sa manie de serrer puis desserrer les points autour du tissus de son pantalon, sa manière de se mordiller la lèvres et de poser son beau regard bleu et jaune partout autour de lui comme si il entrait dans ce genre d'endroit pour la première fois.
Tout ça le rend tellement adorable que si je le pouvais je l'aurais pris dans mes bras pour le couvrir de baiser et de mots d'amour jusqu'à que le soleil m'oblige à me séparer de lui.
Moi qui trouvais avant que le soleil était le salut de l'humanité, je vient maintenant à redouter l'aube....
Je sais que maintenant je vais devoir tout leurs expliquer, raconter à mon maître, comment j'ai misérablement failli à mon devoir, comment je suis tombée amoureux d'un ennemi, d'un démon, d'un homme.
Avant j'aurais sûrement ajouté monstre, mais Akaza en est tellement loins, tellement humain dans sa douce folie, dans sa haine et son amour si infaillible et étrange.
Mon ventre se compressa encore plus violemment, vais-je au moins réussir à accumuler le courage nécessaire pour accomplir cet acte qui me semble maintenant insurmontable ?
J'ouvris la bouche pour parler mais aucun son n'en sortie.
J'eu l'impression d'étouffer, de me noyer dans l'air.
Mon ventre se tordait dans une danse étrange et malsaine.
Et si il me repoussait.
Et si je le dégoûtais.
Et si il tentait de nous séparer.
Et si....
Et si...
Et si je me retrouvais encore tout seul.
Non.
Pitié.
A l'aide.
Maman......
Mes larmes me trempe les le visage, je sais que mes mains tremble, tout mon corps en fait.
J'ai mal, j'ai peur, plus rien n'existe à part l'angoisse dévorante qui me ronge l'estomac et l'air qui refuse de rentrer dans mes poumons.
L'idée de me retrouver seul au monde encore un fois tourné en boucle dan mon esprit, m'obsède.
Je suis en trains de faire une crise de panique...je vais me briser, m'effondrer dans cette pièce qui réuni les gens les plus importants à mes yeux.
Mes yeux roulés dans leurs orbites sans réussir à se fixer sur quoi que se soit.
Non il ya ces deux perle jaunes, qui m'ancre au moins pour un instant à la réalité.
On cris, on m'appelle je crois...
Mais ses yeux sont les seuls choses auxquelles j'arrive à me rattaché.
Il me prends dans ses bras me serrant contre son cœur, me murmurant mon nom a l'oreille accompagné de tout ses mots d'amour qui n'appartiennent qu'à nous.
- Ne me laisse pas, ne m'abandonne pas, je ne veux plus être seul.
Ma voix n'est rien d'autre qu'un souffle, un gargouillis incompréhensible.
Et pourtant il me serre encore plus fort.
- je ne vais nul part, mon amour.
Oui il ne m'abandonnera pas, tout ira bien.
L'oxygène se met enfin à circuler dans mes poumons et mes larmes commence lentement à se tarirent.
Maintenant que je reprend petit à petit conscience du monde, je vit qu'Akaza n'était plus le seul à mes côtés, dame Amane l'avait rejoins, semblant inquiète.
Sûrement autant à cause de mon état que de la personne me tenant contre lui.
Combien de tant s'était écoulé ? Pour moi c'avait été a la fois interminable et incroyablement court.
Mais la tout de suite je n'avait plus la force de penser ou d'expliquer quoi que se soi, et il le comprit, il comprenait souvent mieux que moi se que je voulais, se dont j'avais besoin.
- Je m'occupe de tout.
Cette phrase ne fit que me confirmer ce que savait déjà et je me contentait de hocher la tête étant encore trop secoué et déconnecté de la réalité pour parler.
La suite fut flou je croit que mon cerveau lui même tentais de me faire oublier comme conscient qu'il valait mieux que je n'assiste pas vraiment aux explications.
- Kyo'. La mention de mon surnom que l'on utilisait si rarement me fit relever la tête vers mon interlocuteur et je fut surpris d'y voir mon maître. Aucun dégoût n'était présent dans ses yeux mais la peur dans mon ventre ne disparu pas pour autant.
Je ne sait et ne pense pas que cette union soit une bonne idée, ni même si elle soit totalement saine. En revanche, je ne t'ai jamais vu plus heureux qu'avec lui, c'est un choix qui n'appartient qu'à toi. Dire que je soutiens cette relation serais un mensonge mais, du moment qu'elle ne nuit a personne je ne mis opposerais d'aucune manière et je t'aiderais à le cacher au autre pourfendeurs jusqu'à que tu soit prêts à l'annoncer. Il me présente un sourire réconfortant, sûrement conscient de ma détresse.
Si je n'avais pas pleurer toute les larmes de mon corps un peu plus tôt je crois que je me serais mis à sangloter de soulagement.
J'avais eu si peur....
Je crois j'esquissais un faible sourire toujours dans les bras de mon mari.
Le reste retomba de nouveau dans un brouillard opaque, et je ne revint vraiment à moi que dans notre lit.
Serré contre Akaza la tête sur sa poitrine nu et les jambe entremêlées aux sienne.
L'absence de lumière dans la pièce m'apprît qu'il avait fermé les volets et comptait donc rester après le lever du soleil.
Sur cette pensée réconfortante je me rendormit dans les bras de mon aimer, sûr qu'il serait toujours là demain.
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encore dsl pour le retard....😭
En attendant ce chapitre et clairement mon préféré et j'ai adoré décrire un peu plus la relation de nos deux amours. 🥰🥰
Je n'ai par contre jamais fait de crise d'angoisse et j'espère ne pas mettre trompé ou avoir écrit quelque qu'il ne fallait pas, si c'est le cas n'hésitez pas à me le dire, je modifierai.
Ce chapitre a été écrit majoritairement entre 22 h, 1h et 9h 30 alors que je planais complètement.
Ps: dans le monologue d'Ubuyashiki j'ai se qu'il disait italique pour que ça soit plus lisible comme c'est un gros pavé.
1200 mots !!!!!!!!!!!!!!!!!!
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