CHAP 2


Voilà une réécriture du chapitre deux mais à la première personne.
——————————————————

Ça faisait bientôt un mois - depuis l'incident du train - que je m'étais mis à surveiller Rengoku.
Rien ne semblais avoir changé et pourtant, j'avais un drôle de pressentiment.
Enfin quand je dit que rien n'avait changé c'est un peu abusé, on peut plutôt dire qu'il cache suffisamment bien les changements pour qu'ils ne se voient pas à moins que l'on prête attention à son comportement.
Je me suis donc mis à le surveiller et ..... franchement..... comment on peut bouffer et sourire autant  !!!! Même moi, Moi qui doit sourire TOUT LE TEMPS, j'aurais des crampes au joues pour les trois ans à venir !!!! Mais revenons en à nos rouquins....

La réunion des piliers touche à sa fin. Il avait été décidé que les piliers entraîneraient les pourfendeurs moins expérimentés,
profitant ainsi de l'accalmie dans notre éternel combat contre ses put*in de sal*perie de démons.

Rengoku a aussi, au passage récupérer son katana d'une manière ou d'une autre sans que personne ne sachent comment.

Comme d'habitude les piliers sont tous plus à l'ouest que les un que les autres, Gyomen à pleurer toute la réunion à cause de l'état du maître, Muichiro était complètement dans la stratosphère, Tomioka a donné envie à tous le monde de le tuer sans faire exprès et Sanemi à démarrer au quart de tour, mais le plus étonnant reste la bonne humeur du pilier de la flamme.
Non pas juste son stupide sourire mais de la vrai bonne humeur, c'est pourtant clairement l'un des pilier le plus proche du maître..

Mais ce n'est pas tout, Il a été étrange tout le mois.
Et entre disparition, coups de déprime un jours puis sourire jusqu'au oreille le lendemain, et cætera, qu'il soit de heureux malgré la santé du maître est le coup de grâce.
Je ne peut définitivement plus ignorer les bizarrerie de mon ami.
Je vais le prendre en filature.

Je retire mes chaussures pour ne pas faire de bruit, et me mis à suivre le rouquin en silence.

                                                                           *

Le soleil avait depuis longtemps disparu derrière les montagnes et la lune éclairait les mares, seul souvenir de l'averse de la veille.

Nous avons dépassés les derniers plans de glycines il y a plusieurs minutes déjà,
et évoluons maintenant sur un sentier forestier, bordé d'arbre immense, prenant des dimensions autrement plus menaçantes la nuit tombée.
Si je me souvient bien, la maison de Kyojuro est au milieu de celle ci.
Pas de la nuit hein... de la forêt.

Le pilier de la flamme a emménagé dans la maisonnette dès la majorité atteinte, voulant sûrement échapper à son père et a ses éternels reproches.
Mais une maison aussi reculé et loin de toute civilisation.... Ça ne ressemble pas du tout au pourfendeur avide de chaleur humaine et de bouffe que je connais.

Soudain, je vit une ombre du coin de l'œil.
Avait je rêvé ? C'est vrai qui irait se balader dans cette forêt reculée la nuit ?
Sachant que je ne compte pas et que l'autre habite au fond de se trou paumé.

L'ombre repassa dans mon champ de vision.
cette fois c'est sûr nous n'étions plus seul.
Enfin je n'était plus seul, ma cible avait disparu à travers les arbres.
M*rde ! P*tain de m*rde !! Ça casse les c*uilles a la fin !!!! Déjà que je fais ch*er à venir dans cette forêt de m*rde au milieu de la nuit à cause....

Ça a craqué, je sais pas quoi mais quelques choses à craqué...

La forêt sembla encore plus inquiétante. Les bruits résonnant autour de moi, ont-il toujours été la ?
Mais je n'avait pas peur, bien sûr.

Une autre branche craqua.
Enfin si j'avais un peu peur quand même et si je tombait sur un monstre en retournant ?
Cependant ma frayeur ne dura qu'un instant.

- Kocho ? Mais qu'est ce que tu fait là ?

Je me retournait vivement, me retrouvant nés à nés avec...
le pilier de la brume.
J'avais soudain une très grande envie de le frapper mais je me contentais d'arborer mon sourire habituel.

- Muichiro...soupirais je tout de même légèrement soulagé et TRÈS grandement d'humeur à péter la gueule a un certains gosses au cheveux noir et bleu..

J'hésitais, devrait je lui dire la raison de sa présence ici ou alors trouver un mensonge pour me sortir d'affaire ?
Muichiro semblait en proie à un dilemme assez semblable au mien quand il dit,

- Toi aussi tu le suis ?

Je n'eu besoin d'aucune précision pour savoir de qui il parlait.
Lui aussi avait remarqué le comportement bizarroïde du jeune célibataire ?
Je croyais pourtant être la seul a lui avoir prêter attention avec tout le bazars en ce moment.

En même temps ce môme a toujours été plus attentif aux autres qu'il ne le laisse paraître, particulièrement depuis son combat au village des forgerons. Le petit Kamado fait des miracles, bientôt y va nous rendre Sanemi aussi doux qu'un agneau...

J'ouvrit la bouche pour répondre quand une présence démoniaque nous engloba.
C'était lointain mais il était clair qu'il était puissant.
Une lune ?

Pourtant elle ne laissait échapper aucune envie meurtrière...
Et puis je elle me dis quelques choses comme si je l'avais déjà ressenti quelques part..

Je n'eu pas le temps de creuser plus la question que Muichiro m'entraina a sa suite vers l'habitation de notre flamboyant camarade.
Car c'est bien de là que venait l'aura pour le moins étrange de la créature.

Et c'est qu'il a de la poigne le nain.

Nous nous arrêtâmes devant la façade, avançant au aguets.
La maison était une maison traditionnelle de taille moyenne tout ce qu'il y a de plus classique, mais bizarrement un amalgame de fleur sauvage et domestique poussait sous les fenêtres, Rengoku m'avait pourtant confié qu'il tenait le jardinage en horreur. Et vu ça capacité casi surnaturelle de tuer des cactus en moins d'un mois....

Tous était silencieux, mais la présence elle devenait de plus en plus écrasante.
J'eu vraiment l'impression que nous n'étions pas les bienvenus...

Mon jeune compagnon ouvrit lentement la porte comme si une bête sauvage risquait de nous sauter dessus à tout moment - ce qui n'est pas totalement faux - et nous entrâmes dans la maison.
Les chaussures et le manteau de Rengoku trônaient à l'entrée a côté d'une deuxième pers de chausson comme si il avait été déposé la à l'intention de quelqu'un mais que cette personne était entrée dans la maison sans les chausser.
Mais peut était ce pour les invités ?
Je devrais devenir détective non ?!

nous remontâmes le couloir sobre et sombre sur la pointe des pieds jusqu'à ce qui semblait être la chambre de Rengoku.

Attendant derrière la porte, et le silence de mort régnant dans la maison devenant plus lourd chaque seconde, beaucoup trop lourd pour mes petits nerf fragile. je ne tint plus, défonçant, un peu, la porte prête à en découdre.

-KYOJURO!

Un hoquet de surprise s'échappa de mes lèvres.

Non c'était tout simplement impossible alors pourquoi ? Comment ?
En même temps les signes avaient été la, était-ce vraiment si improbable ?

Bạn đang đọc truyện trên: AzTruyen.Top