👱‍♀️ Mots de l'autrice: étant dyslexique, il est possible qu'il reste quelques fautes. Malgré le faite que je travaille mes textes avec Antidote.

J'en suis désolé pour les lecteurs et les lectrices qui en seraient gênés.

N'hésitez pas à me le faire remarquer dans les commentaires afin d'améliorer mon récit.

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Une guerre millénaire entre les alphas et les omégas décima les richesses de la terre des hommes. Les bêtas ne surent que faire pour y mettre un terme, ils se retournèrent contre les dieux et désirèrent leurs interventions.

Des années s'écoulèrent avec leurs prières sans réponse. Alors qu'ils perdirent tout espoir, une créature unique vit le jour et apporta avec elle la paix. Les clans ninja considèrent sa naissance comme une bénédiction céleste et l'accueillirent avec honneur. Une accalmie arriva entre les dominants et les soumis, créant ainsi un apaisement sans précédent.

Son nom Kurama, elle grandit au milieu des êtres humains et devint une sublime jeune femme. Sa taille modeste contrastait avec sa force démesurée. Ses longs cheveux blonds ravissaient les regards, son visage aux traits fins envoutait les esprits, ses beaux yeux bleus subjuguaient qui compte croiser son chemin. Sa splendeur fut légendaire au-delà des frontières.

Des années d'allégresse passèrent avant que des ninjas renégats ne convoitent son pouvoir. Car Kurama était la seule à pouvoir se transformer en animal et à connaître les arts des anciens. Ils formèrent une alliance avec les plus puissants combattants et restèrent tapis dans l'ombre en attendant leur heure.

Kurama ne percevait aucun mal en les être humain et s'appliquait à apprendre son savoir ceux qui le désirer. Ses disciples acquirent des techniques divines et les transmirent à leur tour. Des clans prodigieux virent le jour. L'un d'eux développa le don des pupilles et la maitrise du feu, son nom Uchiwa.

Les villageois de Konoha adorèrent Kurama et la traitèrent comme une reine. Mais certains se méfièrent d'elle, car un grand pouvoir suscitait la peur. Leur chef Danzo créa Anbu, une unité de forces spéciales. Des hommes et des femmes d'élite surveillèrent ainsi tous les faits et gestes de Kurama.

Un jour, Kurama se promena dans la forêt et trouva un animal blessé. Sa nature innocente et empathique la poussa à l'aider. Elle se pencha, saisit le corbeau et l'observa avec attention, ses plumes de jais, son bac anthracite et ses trois pattes.

— Yatagarasu ? s'écria-t-elle, chagrinée.

— Oui...

La voix de Yatagarasu était à peine audible. Elle le regarda plus en détail et découvrit un trou dans sa poitrine.

— Une flèche ? Mais pourquoi ?

— Les êtres humains sont cruels ! Ils ne voient en nous que ce qu'ils veulent posséder, rien de plus, s'accabla Yatagarasu.

Son cœur se serra en entendant ses mots. Kurama mit ses mains sur la plaie et prononça une incantation. Une lumière éblouissante jaillit de ses paumes. En une fraction de seconde, Yatagarasu fut guéri et se posa sur son épaule. Elle l'emmena à sa maison et prit soin de l'animal.

Cet événement fut rapporté à Danzo qui décida qu'elle représenter une trop grande menace à présent. Il partit au clair de lune dans les bois et siffla quelques notes. Des hommes vêtus de longues capes noires avec des nuages rouges descendirent des arbres, leurs visages cachaient par l'obscurité.

— Kurama devient un problème, annonça Danzo.

— Son pouvoir vous échappe ?

— Oui et non... Elle est capable de voir et de soigner les animaux légendaires. Imaginez ce qu'elle pourrait faire si elle arrivait à tous les ressusciter, s'alarma le chef d'Anbu.

— Que voulez-vous que l'on fasse ?

— La tuer ! hurla-t-il avec un sourire infâme.

— Entendu...

Les renégats regarnirent les branches et disparurent comme une bourrasque printanière. Les feuilles volèrent tout autour du trentenaire qui se réjouissait d'être bientôt débarrassé d'elle. Il se faufila de tronc en tronc jusqu'au village et observa un instant la demeure de Kurama.

Quelques semaines plus tard, tout était prêt pour le plan diabolique de Danzo. Kurama fut convié à une réunion à l'orée de la forêt. Les bambous perdirent leur feuillage et l'odeur florale se diffusa dans l'aire. Les pans de son kimono blanc flottaient à la faveur du vent et ses mèches dorées dansèrent plus elle avançait vers sa fin. Alors qu'elle se trouva au milieu du labyrinthe, les traîtres l'attaquèrent avec des shurikens et des kunais. Elle en évita quelque un, mais l'un d'eux la blessa à l'épaule. Une douleur vive réveilla son côté sombre.

Un bruit assourdissant chassa tous les oiseaux à la ronde et un épais brouillard empêcha les fourbes de la voir. Quand il se dissipa, un renard gigantesque se dressa entre les arbres. Son pelage était semblable à la couleur des flammes, ses neuf queux détruisaient tout à leur porter et ses yeux rubis terrifiait qui compte croiser son regard. Les renégats cherchèrent comment la maintenir, ils lancèrent des chaines et saisirent ses pattes de part et d'autre.

Aveuglée par la rage, elle rugit, se libéra de ses entraves et se dirigea vers Konoha. Elle dévasta tout sur son passage, la forêt n'était plus que désolation. À l'entrée du village, elle s'arrêta quelques secondes. Yatagarasu vola autour d'elle, inquiet.

— Kurama ne fait rien que tu pourrais regretter plus tard, siffla-t-il.

— Je ne regretterais rien... ils m'ont trahi et blessé.

Le mur de pierre tomba et les portes en bois se fracassèrent sur le sol. Les villageois coururent pour se mettre à l'abri, mais rien ne pouvaient les protéger de sa fureur, beaucoup perdirent la vie sous ses pattes. Les maisons s'effondrèrent, il ne resta plus qu'un tas de planches et de débris de verres. Yatagarasu essaya de clamer son amie, hélas, rien n'y faisait, sa colère la dévorait. Le Hokage envoya des messagers trouver de l'aide dans les régions voisines et se lança dans la bataille pour sauver les siens.

L'affrontement était y n'égal et de nombreux ninjas moururent. Le Hokage utilisa toutes les connaissances à sa portée, mais face à une créature divine, il n'avait aucune chance. Donzo admira son œuvre depuis la montagne à l'abri de l'effervescence et se réjouit de ne pas devoir bouger le petit doigt pour terminer son plan. Le Kazekage, le Mizukage, le Raikage et le Tsuchikage arrivèrent avec leurs shinobis. Les combattants furent tous décimaient par les queues du monstre sous le regard terrifié des maitres. Ses yeux perçants les figèrent, elle prépara une boule de feu colossale, la lança sur le dirigeant et leur infligea des blessures presque mortelles.

Les hommes d'État se regroupèrent, ils n'avaient plus d'autres choix que de tuer l'animal. Ils planifièrent une attaque coordonnée. Le Kazekage posa ses mains sur le sol et créa des sables mouvant dessus la bête qui s'enlisa. Le Tsuchikage transforma la terre en chaines incassable emprisonnant les bras et les queues de Kurama. Le Mizukage brula tous les arbres pour engendrer une fumée et ainsi troubler la vision du renard. Le Raikage utilisa sa force phénoménale pour envoyer un bambou taillé en flèche et le Hokage se servit du vent pour la diriger en plein cœur de l'animal.

Blessé à mort, Kurama redevint une jeune femme. La main couverte de sang, elle regarda ceux qui lui avaient enlevé la vie. Les larmes coulèrent le long de ses joues et des sanglots s'échappèrent d'entre ses lèvres. Elle tomba à genoux, brisée par la cruauté de ses pères. Yatagarasu prit place sur son épaule et appuya son bec contre sa pommette. Dans un cri déchirant de rage, elle profana un châtiment.

— Je vous punis vous qui avait causé ma mort prochaine. Sur cette terre à partir de maintenant plus un oméga ne pourra avoir des enfants et ne viendra au monde. Dans cent ans un oméga avec mes capacités et un alpha au pouvoir du cordeau naîtront. Si vous les hommes arrivaient à me prouver que vous êtes bon, ils vous offriront la fertilité. Accueillez-les bien ou vous en payerez le prix à tout jamais.

À peine finit-elle, cette dernière menace qu'elle s'éteint. Tous les omégas de la terre tombèrent à genoux et se plièrent en deux de douleur. Affligés et coupables, les dirigeants se regardèrent et comprirent que la punition commencée déjà. 

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👱‍♀️ Petits mots de l'autrice: Me battant tous les jours contre ma dyslexie, j'espère qu'avec le travail que je fais sur les fautes, il n'en reste pas trop. N'hésitez pas à me le dire dans les commentaires pour améliorer mon récit. Je vous en remercie 😊