Chapitre 1 : Les mystérieuses bêtes

Il était une fois une montagne surnommée « la montagne aux fantômes » ou « la montagne maudite » .

Elle était blanche comme un spectre. Mais autrefois les gens ne se souciaient pas du danger qu'elle abritait.

Il y a de cela 10 ans, un groupe de personnes gravit la montagne et alla tout au sommet. Ils y trouvèrent un cadavre rongé par les vers et, tout autour du sang. Ils étaient effrayés par cette vue dégoutante qu'ils avaient devant eux. Pris de peur ils partirent en courant et allèrent rejoindre le poste de police le plus près. Après avoir tout raconté à la police, cette dernière alla vérifier par elle-même cette histoire. Les agents de polices guidés par quelques personnes du groupe arrivèrent enfin en haut du plateau. Mais là ce qu'ils avaient vu avait disparu comme par enchantement. La police était très contrariée et dit que c'était une blague ; et laissa là les quelques personnes qui avaient servi de guide. Après les policiers hors de vue, les personnes formèrent un cercle pour savoir ce qu'il s'était passé, si tout ce qu'ils avaient vu était bien réel. Tout à coup une chose puis deux, trois, quatre sortirent de nul part les attaquèrent. Ils crièrent « Au secours, aidez-nous !! » mais personnes ne les entendirent. Ils se débâtirent en vain. Quelques heures plus tard, les policiers, ne les voyant toujours pas revenir, décidèrent de remonter et de voir ce qu'ils faisaient. De nouveau ils gravirent la montagne et trouvèrent à leur tour des cadavres. Les cadavres sans vie des personnes qui les avaient accompagnés, éparpillés de partout ; certains d'entre eux étaient même démembrés. Par terre était posé un des appareils photos de l'une de ces personnes. Un policier regarda les photos prises par l'un d'entre eux. Mais rien, il n'y avait que du noir. Soudain une personne gravement blessée sortit des buissons et dit aux policiers : « Partez, partez vite ils m'ont surement suivit jusqu'ici ! Partez si vous tenez à la vie ! ». Après ces paroles la personne s'écroula par terre. Des yeux rouges se distinguaient très clairement dans l'un des buissons. Les policiers se mirent à tirer et s'enfuirent le plus vite possible en direction du poste de police. Un puis deux policiers tombèrent et appelèrent à l'aide, mais personne ne put les aider : c'était trop tard pour les sauver ; les choses qui les poursuivaient les avaient déjà rattrapés et d'un coup de mâchoire dans l'ombre, ces bêtes féroces les avaient déjà tués. Les policiers restants réussirent à quitter la montagne et à rejoindre le plus proche poste de police. Le jour suivant ils interdirent l'accès à la montagne sous l'excuse de risque d'effondrements et interdirent aussi de se balader dans les bois alentours ou même de chasser dans l'un de ces bois. Personne ne savait ce qui se passait en ces lieux.

Une semaine après la fermeture du site des familles allèrent demander avec des journalistes pourquoi la montagne était vraiment fermée. Les policiers qui étaient là le jour des meurtres leurs dirent que des bêtes féroces auraient été repérées dans les bois et qu'on n'avait pas encore réussi à les retrouver. Les familles et les journalistes rentrèrent tous chez eux sans s'inquiéter de rien mais les policiers n'avaient toujours pas lancé les recherches par peur de retrouver encore une fois des corps sans vie et de se dire que ce serait de leurs fautes. Même le gouvernement qui a été sollicité ne savait plus quoi faire. Les policiers de cette région craignaient de se retrouver en face de l'une de ces bêtes. Leur peur allait même dans leurs rêves qui se transformaient aussitôt en cauchemars la nuit. Même leur capitaine avait peur de voir l'un de ses hommes se faire tuer devant lui sans pouvoir rien faire. Toutes ces peurs étaient causées par ces créatures inconnues jusqu'à aujourd'hui. Ces dernières étaient effrayantes, mystérieuses, terrorisantes, terrifiantes, pétrifiantes, à glacer le sang et même à donner la chair de poule.



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