« Exceptionnels sont ceux qui parviennent à comprendre les mécanismes de leur souffrance et qui s'empêchent de les reproduire sur autrui. »
John Joss
Je fait demie-tour et rentre dans le vieux bâtiment ou se situe mon dortoir.
Après avoir grimper les trois étage j'atteins ma porte. Et je ne peu pas m'empêcher de penser qu'il manque cruellement un ascenseur ici.
Je tourne la clef pour ouvrir la serrure et rentre dans ma chambre en prenant bien soin de refermer la porte.
Bizarrement la pièce et vide, Axelle est visiblement partie.
Je ressentais déjà la solitude et ça n'aide pas que ma colocataire soit partie, peut importe si elle me m'était mal à l'aise je n'ai jamais aimé la solitude .
Je doit avouer que je ne m'attendais pas à avoir une colocataire comme Axelle mais je pense que c'est pareil pour elle. On a l'air telle différente. Pourquoi je ne pouvais pas avoir une colocataire qui aime lire et étudier? Enfin on verra bien dans les jours qui suivent comment notre cohabitation va se passer.
Je vais pouvoir en profite pour sortir mes affaires et les ranger , je n'ai pas pus m'empêcher de prendre un carton remplie de mes livres préféré mais je me rends compte maintenant que je ne sais pas trop où les ranger.
Après avoir mis mes vêtements dans la commode qui reste à moitié vide, je range mon agenda et mon manuel dans le compartiment de mon bureau.
Je n'avais emporter avec moi que le stricte minimum niveau vêtement et une couverture au cas où parce que mes manuelle et mes livre prenais aussi de la place et je ne voulais pas trop être chargée.
Il reste une étagère inoccupée au dessus de mon bureau alors après quelques seconde de réflexion , je me dit que mes livres seront bien là et je commence à les ranger .
J'avais emmener avec moi mes livres préférés mais aussi les livres de mon père, je n'avais jamais pus m'en séparer et j'adorais les lire et les relire. Parmi mes préférés on pouvais conter, orgueil et préjugé, Roméo et Juliette, le rouge et le noir et les hauts de Hurlevent .
Des grand auteurs que j'admire énormément.
Alors que j'étais occupé à ma tâche la porte s'ouvre et se claque derrière mon dos.
- Des romans d'amour ?
Je me tourne vers la voix masculine qui venait de parler dans mon dos
Que fait ce garçon ici ? Et comment est-il rentrer ?
J'avais pourtant fermer à clef derrière moi.
Ces yeux sont poser sur l'étagère de livre que je suis en train de ranger.
je le regarde incrédule.
Pendant quelques secondes je fu déstabiliser par ces yeux , l'un était bleue et l'autre marron, c'est vraiment très rare.
Je ne peu m'empêcher de remarquer tout de suite ces tatouages éparpillés sur ces bras et je l'associe directement à Axelle. Sa doit être un de ces amie, enfin je l'espère. Il est grand au moins une tête de plus que moi , sa carrure était plutôt bien dessinée et ces yeux verrons son à couper le souffle. C'est cheveux son brain et sa mâchoire bien dessiné et ces lèvres charnues, il aurais pus être mignon san ce côté agressif et rebelle que dégage ces tatouage.
- Arrête de me regardé, dit-il froidement en m'ignorant totalement.
Je lève les yeux au ciel , pour qui se prend-il ?
Je ne sais pas comment je devrais répondre à sa remarque et je préfère ne pas répondre, mais je voudrais qu'il parte de ma chambre.
- Que fait tu la ? Je lui demande pour briser le silence qui devient lourd
- Je pourrais te retourner la question, me répond-il en continuant d'observer mes livres.
- Axelle ne ma pas prévenu qu'il y aurais quelqu'un dans sa chambre, dit-il d'un ton accusateur
Je crois rêver ou il retourne la situation à son avantage? Se n'est pas moi l'intrus ici mais lui, et Axelle n'a pas à faire rentrer des gens dans sa chambre quand elle n'est pas là!
- Et bien je suis sa nouvelle colocataire, et je n'aime pas quand on fait irruption dans ma chambre, dit-Je pour lui faire comprendre ma façon de de penser.
Je croise mes bras contre ma poitrine pour montrer que j'attend des réponses à mes questions et que je ne plaisent pas avec lui.
- je l'attend juste, se justifie-il sans grand conviction.
Il avance vers moi et prend le livre que je tenais dans les mains.
-Je peu ? Me demande t-il , tout en regardant le livre
- Ouais mais ne l'abîme pas, je lui dit sèchement.
Un sourire au coin apparais sur ces lèvres.
Sourire lui va bien mieux que son regard désintéressé et froid-il y a quelque seconde.
Ce petit sourire disparaît aussi vite qu'il est arriver et il s'installe sur le lit d'Axelle. Il ne m'accorde plus aucune attention et commence à ouvrir le livre pour le lire.
Je décide de continuer de ranger le reste de mes livres et de ne pas faire attention à lui.
Les minutes passe dans un silence totale , et je me sans de plus en plus mal à l'aise. Du au de mes 18 ans jamais aucun garçon n'est rentrer dans ma chambre à par Maxence et j'ai l'impression que c'est tout le contraire de ma colocataire. Je suis aussi très nerveuse à l'idée qu'il abime mon livre, surtout que c'est un des livre de mon père j'y tien énormément . La seul raison pour la quelle je lui et passer c'est pour qu'il me laisse tranquille et qu'il ne me cause pas d'ennuis. J'essaye de poursuivre mes occupations et d'ignorer sa présence.
15 minutes sont passer sans que aucun bruit ne sorte de nos bouche et le malaise de mon côté devient pesant, il reste la sans rien dire et sa me frustre. Puis la porte s'ouvre et Axelle rentre dans la pièce avec un grand sourire.
- Steven t'es déjà là ? Dit-elle mis surpris
- Oui sa fait une vingtaine de minutes que je t'attend, soupir t-il
- Sorry ! Répond t-elle
- Excuse moi de ne pas t'avoir prévenu qu'il allait passer, s'excuse t-elle envers moi
Je lui répond que ce n'est pas grave même si je n'en pence pas moins.
- Bon Steven bouge toi on n'est attendu par les autres
- okay
Je tourne la tête discrètement vers lui , je vois qu'il ferme le livre et s'avance vers moi , il se penche au dessus de moi pour ranger le livre dans l'étagère.
Il est tellement proche que je sans presque son eau de Cologne titiller mes narine , mon cœur s'accélère fasse à cette proximité que je n'ai pas l'habitude d'avoir, surtout avec un étranger.
Puis il s'éloigne et par sans un mot
- A plus , me dit Axelle
La porte claque et je m'autorise enfin à souffler
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