1.

.Il y a des moments dans la vie qui semble nous définir.

Des moment que l'on ressasse sans arrête...
————

- Ashley!!

Je claque la porte , lève le regard vers le ciel et ferme les yeux en prenant une grande inspiration.
Je me dépêche de rejoindre ma mère et mon meilleur amie dans la voiture.
Je dépose le dernier carton dans le coffre et grimpe côté passager dans la voiture.

- Tu en n'a mis du temps , s'exclame ma mère contrarier

- ouais je confirme , dit a son tour Maxence pour me taquiner.

- Désoler , j'ai fait un dernier tour de la maison , dit-je un peu nostalgique

- Bon en route

Ma mère me regarde une secondes avant d'allumer le moteur et de quitter l'allée de la maison.

Ma boule au ventre s'accentue quand la maison disparaît derrière nous.

Il faut forcément une fin avant un commencement

Cette fois si c'est bien réel, je quitte la maison.

J'ai passé mes dernières années à anticipées nerveusement l'université, je passais tout mes week-end à étudier pendant que la plupart des jeunes de mon âge allait en soirée , perdaient leurs temps et menaçaient leurs avenir.

Quand ma lettre d'acceptation a l'université est arriver, j'étais vraiment soulagée.
J'étais ravis et je doit admettre que j'étais assez fière de moi.
Ma mère a pleurer pendant des heures en me répètent qu'elle était fière de moi mais une part de moi m'en voulais de la laisser seul.
J'avais envisager de ne pas y aller et de resté au côté de ma mère , j'apprécie la routine que j'ai ici et elle aussi je le sais.
Mais j'ai finalement décider dit aller.
Mon père aurai voulut que je réalise mes rêves, et je le fait aussi du certaine manière pour lui rendre hommage.

Je sans une main se poser sur mon épaule, c'était Maxence.

- Et ne soit pas triste ash', tu sais on se révéra bientôt. Et puis fait pas cette tête , on n'est même pas encore arriver.

Je croise son regarde dans le rétroviseur et son grand sourire me réchauffe le coeur.

-Soit heureuse parce que tout les efforts que tu as fait pour être dans cette université à enfin payer!Me dit-il en accentuant son sourire .

Je voyais dans ces yeux qu'il était très fière de moi et sa me rendais extrêmement heureuse.
Maxence et moi on se connais depuis le collège, on na tout vécu ensemble.
Il a été la pour moi quand mon père est décédé, pendant ma crise d'ados, quand j'ai toucher à ma première cigarette enfin bref il va énormément me manquer.

- Et puis , rajout-il , On s'appellera régulièrement pour se donner des nouvelles

- Ouais ta raison , dit-je à moitié convaincu

- Et je peux toujours l'emmener avec moi en voiture quand j'irais te voir au pire des cas , me rappelle ma mère

- Pas faut, c'est juste que vous allez vraiment me manquer tout les deux...

- toi aussi tu va me manque ma chérie , la maison va être vide sans toi , me dit ma mère un peu triste mais avec un sourire quand même.

Sa serais mentir de dire que je ne culpabilisais pas de la laisser seul , depuis la mort de mon père on na tout fait pour ne pas se noyer dans notre peine et continuer à vivre ensemble, à se soutenir . Elle a toujours fait le meilleur pour moi et j'ai toujours tout fait pour la rendre heureuse.

Mais J'étais quand même très excité à l'idée d'aller à la fac, d'avoir plus d'autonomie et de rencontrer mes professeurs mais d'un autre côté je suis vraiment angoissée à l'idée que sa se passe mal ou que sa ne me plaise pas.

Je me rassure en me disant que j'ai un bon niveau et que si je continue mais effort il n'y a aucune raison pour la quelle sa fonctionnerais mal.

Pour l'instant j'espérais juste avoir une colocataire décente, c'est la seul choses que je demande.

Les 3 h de trajet fut long. Quand je distingue de loin l'université, ma curiosité monte d'un crans. Et j'avais hâte de descendre de la voiture pour me dégourdir les jambes.

Quelque minutes plus tard nous étions arriver .
Je suis impressionné par la beauté du lieu et m'empresse de sortir de la voiture.

Je suis impressionné par la grandeurs des bâtiments et par le monde qu'il y a. J'aperçois des parent étreignent leur enfant, ou des retrouvailles d'amis, et quelques retardataires,perdus et confus, remplissent la zone

Les bâtiments on l'air anciens mais je les trouve très élégant, c'est impressionnant.
Autour de nous il y a des terrains de verdure où je vois déjà quelque groupe ce rassembler.

Mon meilleur ami me sort de ma rêverie en m'attrapant en mettant son bras autour de mes épaules.

- c'est impressionnant, dit-il aussi choquer que moi

La taille du campus est intimidante et j'espère qu'au bout de quelques semaine j'aurais pris mes repère et mis sentirais chez moi .
Pour le moment on se dirige vers mon dortoir, c'est le plus important pour le moment.

Nous décidons de d'abord trouver ma chambre et d'ensuite rapporter les cartons à cette dernière au moins sa nous évitera de peiner.

A l'entrée du dortoirs un homme d'âge mûr, les cheveux grisonnant me demande mon nom. Après avoir caucher une case sur sa feuille il me tend mes clef.

- Ta chambre est en...C14 , c'est au 3 eme étage. Les escaliers son au fond du couloir a droit .

On le remercie et monte.

Arriver au 3 eme étage on commence à chercher mon numéro de chambre.

C8, -C9, je continue de m'enfoncer dans le couloir et observant bien les numéros

- C14, c'est la , je signal a me mère et Maxence pour qu'il ne cherche pas plus loin.

Ma mère les mains sur les anches attend que j'ouvre la porte avec impatience.

J'entre le double des clés dans la serrure et toc tout de même avant d'entrer au cas où ma colocataire serait dans les parage .
Peut-être une future amie enfin je l'espère.

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