Chapitre 2
L'entièreté de la sinistre demeure du Comte Olaf était infesté de rat, de souris, de fourmis et de tout autre insecte absolument dégoûtent. Au moin, ça témoignais du fais que la maison était vide, inhabitée.
- Oh, lâcha Violette, eh bien... On aura du boulot
- Revisitons comme même la maison pour voir s'il n'y a pas d'autre mauvaise surprise, proposa Klaus
Ses sœurs étant du même avis, il fis le premier pas, et s'engagea sur l'escalier grincent et humide.
Si vous avez déjà lu un dictionnaire, ce qui m'étonnerai fort, parce que c'est vraiment absurde, et que vous vous êtes arrêté après la lettre A, avez certainement croisé le mot "angoisse", ou un de ses synonymes, et donc vous savez, par conséquent, ce que ça veut dire.
Une situation angoissante, est par exemple, quand on passe un examen décisif pour la suite de notre parcourt professionnel.
Il y a un moi, j'étais angoissée parce que je devait passer un examen décisif pour la suite de mon parcourt professionnel.
De la même façon, les Baudelaire étaient angoissés à l'idée de tomber dans un piège ou de rencontrer un de leurs ennemi, a moin que ceux-ci les ai oubliés...
Alors, ils prirent leurs courage à 8 mains, et ils montaient les marches qui mènent directement devant la porte de l'ancien bureau du comte Olaf.
Et ils avaient bien fais de s'inquiéter pour leur peau parce que une fois qu'ils ont appuyer sur la poignée de la porte rouillée, et qu'ils on déboucher leurs oreilles qu'ils avaient boucher pour ne pas entendre l'horrible grincement de la porte, ils entendirent une voix :
- Tien, tien, tien, Violette, Klaus et Prunille Baudelaire... Je me disais bien que vous alliez revenir ici, ou que vous alliez.
Puis un rire sarcastique résonna dans toute la pièce.
Oh, et j'en ai oublié de me présenter, je suis Steve Baudelaire, le vilain canard des VDF, ainsi que le tonton oublié des trois orphelins Baudelaire...
À suivre...
Verdict, ce dixième chapitre ? Vous pensez que c'est qui ?
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