Chapitre 34 H
🚧⚠️SVP LISEZ⚠️🚧
Alors voilà, je ne savais pas quoi mettre quoi comme histoire donc j'ai fait de deux chapitres 34. Un, avec des histoires vraiment bizarre mais qui peuvent heurter la sensibilité de certains et un autre avec histoires mais qui font moins peur on va dire.
Ceux qui ne vont pas, ou pas pouvoir le lire, LISEZ LE NDA A LA FIN SVP ça vous expliquera touuuut. voula. bisou.
Celui-là, c'est le "horror" on va dire, qui peut heurter la sensibilité de certaines personnes.
- « Alors qui commence ? Demanda Arnaud.
- J'en ai peut-être une. Dit Matthew avec un sourire malicieux.
- Oh non. Dit Auria' qui commençait déjà à se sentir mal.
- Ne t'inquiète pas, au pire, tu ira te réfugier dans les bras à Jace dès que tu aura peur non ? Dis-je au creux de son oreille.
- C'est l'histoire de la vieille poupée. Nous dit Matthew.
- Oh non elle est connu celle-là ! S'exclama Jace.
- Moi je ne la connais pas. Dis-je avec Auriana en chœur.
- Bon, alors... il s'agit de Lucie, une petite fille comme les autres. Le matin de son anniversaire, sa mère la réveille et lui annonce que le facteur a ramené un colis adressé à elle. Surexcitée, l'enfant s'empresse, de déchirer le papier d'emballage et ouvrir le carton. Commença-t-il. Elle pousse alors un cri strident en découvrant le contenu du paquet. Une vieille poupée, la plus horrible et la plus répugnante poupée que la jeune fillette n'ait jamais vu.
À ce moment, William tenta de faire un cri d'enfant et il n'y parvenu pas ce qui me fit rire avec les autres.
- La poupée était complètement chauve, sa peau toute craquelée, est recouverte de salissures. Mais le pire de tout ce sinistre spectacle ce sont ses dents. Anormalement longues, pointues et gâtées, bien loin du sourire des autres poupées traditionnelle.
- Comme vous quoi en fait. Dis-je.
Tout le monde jusqu'alors regardait Matt' mais se retournèrent vers moi ne comprenant pas.
- Vous avez des dents anormalement longues, pointues en étant un loup. Non ? ok.
Ils se retournèrent tous vers Matt'.
- Dans un frisson effroi, la petite Lucie jeta la vilaine poupée dans un coin de la pièce, le plus loin possible d'elle. Sa mère la réprimande sèchement :
- Tu sais, la personne qui t'a envoyé ce cadeau a dû se donner beaucoup de peine pour trouver une poupée aussi ancienne. Tu devrais être reconnaissante d'une telle attention ! S'exclama Laurent comme la mère de cette petite Lucie. En se levant et faisant bouger son index comme pour disputer un enfant.
- Lucie voulut protester, mais sa mère ne voulait rien entendre. Elle força la fillette à garder cette poupée. Continua Matthew.
- Pétasse. Dit Andeolina normalement.
- Frustrée, mais néanmoins obéissante, Lucie alla la vilaine poupée dans un placard sous l'escalier, en prenant soin de la dissimuler derrière une grosse pile de boîtes de chaussures.
- Là au moins, je n'aurai pas à supporter la vue de cette chose immonde et diabolique ! Dit Louis avec une voix de petite fille.
- L'esprit tranquille, la fillette pu ainsi profiter du reste de sa journée d'anniversaire, accompagnée du traditionnel gâteau ainsi que d'autres cadeaux bien plus plaisants. La nuit même, Lucie, qui dormait profondément, fut brusquement réveillée par un étrange bruit qui provenait d'en bas. C'était comme si on traînait quelque chose sur le plancher de la maison. Toujours allongée dans son lit, la petite tendit l'oreille pour trouver l'origine du mystérieux bruit qui retentissait depuis cinq bonnes minutes. Puis le bruit changea. On aurait dit maintenant le son de petits pas légers, rapides. Lucie était maintenant terrifiée, tremblait de tout son corps, incapable de bouger de son lit. Depuis toute petite, elle dormait toujours avec la porte de sa chambre ouverte, pour avoir un rayon de lumière qui faisait pour elle office de veilleuse, car elle avait peur du noir. C'est alors, qu'elle entendit quelqu'un murmurer, dans un souffle inaudible, d'une voix faible et rauque.
- Lucie... Lucie... je suis sur la première marche. Dit Yannick comme Matt' l'avait expliqué précédemment.
- Puis l'étrange voix se tut et la Lucie entendit le bruit caractéristique de quelqu'un qui tourne les talons, s'éloignant pour disparaître d'où elle était venu. La pauvre enfant était tellement effrayée qu'elle ne put fermer l'œil de la nuit. Elle resta couchée dans son lit, figée, les yeux grands ouverts jusqu'à l'aube où sa maman vint la lever pour se préparer à aller en classe. Lucie tenta d'expliquer à sa mère ce qui était arrivé pendant la nuit, mais elle était tellement épuisée qu'elle crut sa mère quand celle-ci lui répondit que ce n'était rien, qu'elle avait fait un mauvais rêve, voilà tout. « ça doit être cela ! » se convainquit-elle. Bien sûr, ce n'était pas le cas, Lucie le sentait. Elle supplia ses parents de jeter la poupée aux ordures, mais ces derniers lui rétorquèrent que :
- C'est un cadeau ! Dit Ezechiel.
- Et un cadeau ne se jette pas ! Continua Sean.
- Le soir venu, Lucie alla se coucher de mauvais cœur. Juste avant, afin de se rassurer, elle alla jeter un coup d'œil dans le placard sous les escaliers, derrière les boîtes à chaussures. L'affreuse poupée était toujours là, à l'endroit même où elle l'avait caché le jour précédent. Un peu rassurée, l'enfant monta se coucher tout en tentant de combattre le sommeil qui rendait ses paupières lourdes. Mais la petite fille était tellement épuisée qu'elle finit par s'endormir, exténuée. Mais la petite voix désincarnée, la réveilla. Une nouvelle fois, prise de panique, Lucie se demanda quand même si ce n'était pas son imagination qui lui jouait des tours, quand soudain elle entendit :
- Luuuucccciiiiie, je suis sur la quatrième marche ! Dit une voix rauque et silencieuse que je ne pouvais pas de qui s'agissait-il.
- Plus aucun doute possible, Lucie ne rêvait pas. L'enfant se mit à pleurer à chaudes larmes et ne put retrouver le sommeil le restant de la nuit. Le lendemain, dans la cour de l'école, Lucie expliqua à ses camarades ses mésaventures depuis qu'elle avait reçu l'horrible poupée pour son anniversaire. Comme il fallait s'y attendre, ses amis se moquèrent ouvertement d'elle, la traitant de peureuse, menteuse ou de bébé. Mais Lucie s'en moquait, elle n'entendait déjà plus les moqueries des autres enfants autour d'elle. Une seule idée lui traversait la tête. « S'il fallut à la poupée seulement une nuit pour monter trois marches, cela signifie qu'il ne lui en restait plus qu'une pour atteindre le sommet de l'escalier. » conclut-elle. La nuit venue, Lucie prit la décision de fermer la porte de sa chambre pour la première fois depuis sa naissance. Quand sa mère voulut éteindre la lumière, elle se retourna et demanda à Lucie :
- Pour quelle raison ma fille n'a plus peur du noir tout à coup ? Demanda Valentin.
- C'est toujours le cas maman, mais est-ce que je pourrais plutôt laisser la lumière de ma chambre allumée au lieu de celui du couloir ? Demanda Louis avec une vois enfantine.
- Non Lucie ! La lumière de ta chambre est trop forte, elle va t'empêcher de dormir. Répondit Valentin.
- Lucie accepta donc de dormir sans lumière, la porte fermée. Toutefois, une fois sa mère sortie, la fillette ouvrit les volets de sa fenêtre pour laisse pénétrer les faibles rayons de Lune qui parvenaient de l'extérieur. Elle commençait tout juste à somnoler quand retentit le bruit et la voix apparut trois nuit plus tôt :
- Luuuuuuciiiiiiiiie... je suis arrivé à la dernière marche ! Dit Jaden dans le creux de l'oreille à Auria' qui la fit frissonner mais surtout sursauter.
- T'es bête toi. Bordel, Ase' protège-moi avec tes petits bras qui ne savent pas ouvrir une bouteille d'eau s'il te plaît.
- Va t'en, tu as dit mon secret. Dis-je en resserrant davantage la couverture autour de moi.
- C'est bon allez viens, je rigole. Dit Jaden en la prenant dans ses bras.
- Cette fois, la voix était claire, distincte, toute proche. Dans l'obscurité de sa chambre, elle entendit un cliquetis qui la fit sursauter de terreur. Elle n'en était pas sûre, mais il lui sembla voir la porte de sa chambre s'ouvrir lentement, très lentement...
- Et qu'est ce qui s'est passé ? Demanda Andeolina.
- Le lendemain matin, le corps sans vie de Lucie gisait au bas de l'escalier. Ses parents conclurent que leur fille s'était levée pendant la nuit pour se rendre aux toilettes et qu'elle avait trébuché dans les escaliers, se brisant la nuque dans sa chute. On retrouva la vieille poupée à côté du petit corps inerte de la pauvre enfant. Lucie et la vieille poupée furent enterrées ensemble au cimetière local. Lors de la mise en terre, personne ne trouvait les mots pour qualifier la tragédie qui s'était produite. En guise d'adieux, la mère de Lucie lâcha ses quelques mots :
- Elle aimait cette poupée... maintenant, elles sont ensemble pour l'éternité. Finalisa Matt'.
- Bizarre ton histoire Matt'. Dis-je.
- Que veux-tu. Ce n'est pas une histoire de princesse qui rencontre son prince charmant qui est une grenouille à la base.
- Tu crois sérieusement que je regarde ça ? Dis-je en rigolant.
- Tu as l'air d'une fille qui aime les films ou les romans à l'eau de rose toi.
- Mais au fond tu sais que je ne le suis pas.
- Alors, prouve-le. Dit-il en croisant le bras avec un sourire en coin.
- Bien. Voici l'étrange histoire survenue à quatre adolescents, qui se considéraient comme les meilleurs amis du monde. Depuis plusieurs mois déjà, ils étaient intrigués par certaines légendes mystérieuses racontées dans leur patelin.
- Oh non, Ase' pas cette histoire. Me dit Auriana.
- L'une d'elles, entourant un lieu terrifiant, avait particulièrement retenu leur attention. Dans le but de démontrer leur courage et d'impressionner quelques-uns de leurs amis, ils décidèrent de se rendre sur les lieux afin de prendre quelques photos dans le tunnel. Ils ne croyaient pas aux fantômes, bien sûr ! Du moins, pas encore. Ce soir là, quelques heures après la tombée de la nuit, l'un des adolescents prit la voiture de ses parents pour aller chercher ses amis. Aucun d'entre eux ne connaissait réellement l'endroit, mais ils avaient une bonne idée du chemin à emprunter pour s'y rendre. Ce tunnel se trouvait dans une montagne, non loin et la vieille route pour s'y rendre était sinueuse et escarpée. Rien d'évident pour le jeune conducteur, qui ne pouvait cacher sa joie lorsque, finalement, ils arrivèrent au tunnel. Il décida de laisser sa voiture à l'entrée du tunnel, les phrases allumés, afin d'éclairer le sinistre endroit et de prendre une belle photo. Les quatre adolescents marchèrent donc jusqu'à l'intérieur du tunnel et tous ensemble, répétèrent d'un ton fort et convaincu, la phrase qui devait invoquer ce mystérieux fantôme. « Montre-toi ! Peu importe qui tu es ! Montre-toi ! Peu importe qui tu es ! Montre-toi ! Peu importe qui tu es ! » Alors que l'écho du tunnel leur renvoyait de nombreuses fois leur incantation, un malaise s'installait chez les adolescents. « C'est juste une histoires stupides », dit l'un des garçons. « Ouais, c'est de la foutaise cette histoire, prenons une photo et foutons le camp d'ici ! » Lui répondit un compagnon en tentant visiblement de cacher sa peur. L'un d'entre eux posa donc la caméra sur le capot de la voiture et actionna la minuterie avant d'aller rejoindre ses amis, qui prenaient la pose à l'entrée du tunnel. Une fois la photo prise, les adolescents retournèrent prendre place dans la voiture. Cependant, malgré que tout le monde était bien assis et attaché dans le véhicule, le conducteur ne démarrait pas la voiture. « Allez ! Mais qu'est-ce que tu fais ? Allez ! On bouge... ! » Insistait l'un des garçons assis à l'arrière. Mais le chauffeur ne répondait pas, il restait assis sans bouger. « C'est quoi le problème ? Démarre la voiture... ! » S'exclamait un autre garçon. L'adolescent dans le siège du conducteur se tourna lentement pour regarder ses amis. Son visage était très pale et des gouttelettes de sueur coulaient sur son front. « Les gars... nous sommes amis non ? » Demanda-t-il d'une voix tremblotante. « Bien sûr que nous le sommes ! » Répondirent les autres. « Vous serez toujours là pour moi n'est-ce pas ? Si j'avais un problème, vous m'aideriez... pas vrai ? » « Bien sûr ! Mais qu'est-ce qui ne va pas ? » Lui demanda son amis assis à l'avant. Les yeux du jeune conducteur se remplirent alors de larmes et, en essuyant la sueur qui coulait sur son visage, murmura faiblement : « Alors... regardez mes pieds... » les autres garçons échangèrent un regard perplexe avant de diriger leurs yeux vers les pieds du conducteur. Au pied de l'adolescent se trouvaient deux mains blanches qui semblaient sortir du plancher de la voiture. Les longs doigts difformes retenaient fermement les mollets du conducteur immobile. Les amis s'échangèrent alors des regards paniqués, avant de se précipiter hors de la voiture en hurlant. Ils ne refermèrent pas les portières derrière eux et coururent jusqu'à ne plus avoir de souffle, aussi loin que leurs jambes pouvaient les mener. Ils descendirent près de la moitié de la montagne avant de s'arrêter et d'échanger des regards horrifiés. Ils prirent plusieurs minutes pour reprendre leur souffle. Mais ils pensèrent vite à leur ami qui était resté dans la voiture en très mauvais compagnie. De plus, ils étaient beaucoup trop loin de leur quartier pour revenir en marchant. Ils retournèrent donc prudemment vers la voiture, en espérant croiser un automobiliste sur le chemin, mais, cette vieille route, les chances étaient plutôt faibles. Lorsqu'ils revinrent au véhicule, ce dernier n'avait pas bougé. Les portes étaient ouvertes et les phrases éclairaient toujours le sinistre tunnel. Mais la voiture était vide, et même après avoir fait le tour des lieux, ils ne trouvèrent pas leur ami. D'ailleurs, il ne fut jamais retrouvé.
- Wow. Triste. Dit Sean.
- Mais, il y a jusqu'à ce jour je n'ai jamais vraiment dit la fin.
- Pourquoi ?
- Parce que cette histoire concerne un lieu secret de nos familles.
- Non... ne me dis pas que... dit Auriana en sortant un peu des bras de Jaden pour se mettre droite en me regardant fixement.
- Si. C'est notre tunnel.
- Mais... tu nous avais dit qu'il avait servi que pour les guerres. Dit Ezechiel.
- J'avais dit aussi qu'il ne fallait pas que l'on se sépare. L'entrée à était bouchée quand... il ont su pour le garçon disparu. Le garçon de l'histoire... "
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Hello !
Alors voilà, j'ai publié un autre chapitre, j'ai quelque fois des trous et je n'arrive pas à continuer l'histoire donc si vous avez des idées n'hésitez pas à me le dire que ce soit dans les commentaires ou en privé ! Alors voilà !
⚠️POUR CEUX QUI NE L'ONT PAS LU⚠️
Alors, je vais poster le chapitre soit ce soir mais vers 22H-22H30 pour trouver une bonne histoire pas trop chiante, mais ne vous inquiétez pas, il y aura la même chute.
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