Chapitre 6: Les tribulations d'un amour impossible
(K : Alors c'est le Tome 16 de Shirayuki, il est sorti le 6 octobre, et j'ai fêté mes 16 ans la même semaine. Oh non... ANA !!!) Quoi ? (K : On est victime d'un complot illuminati !) Qu'est-ce que tu racontes ? (K : Eh bien j'ai fait le compte, Tome 16, mes 16 ans, 6 octobre. 666 le chiffre maudit ! Il va se passer sale truc dans ce nouveau tome, moi je te le dis) T'es superstitieuse ? (K : Non) Alors pourquoi tu crois à ces trucs ? (K : Parce que j'ai raison, dans le Tome 16 les prétendants se font...) STOP !!! STOP !!! STOP !!! Il y en a qui ne l'ont peut-être pas encore lu. (K : Ah oui peut-être, mais quand même ça fait un mois maintenant) Enfin bref, Bonjour à tous, on espère que vous allez bien, que vos premiers mois de cours et 2 semaines de vacances ce sont bien passé. Personnellement, nous on a clairement... (K : Morflé !!! On enchaine les mauvaises notes !!! C'est l'horreur !!!) La Première c'est très très différent de la 2nd et beaucoup plus dur (K : Surtout quand t'a une prof d'anglais qui fais chier son monde) On ne vous cache pas que ça a était très très très dur d'écrire ce chapitre (Surtout de ton coté, entre les cours, les leçons, les devoirs, la musique, la danse... C'est dur de s'en sortir) Ouais, surtout qu'on se voit moins vu qu'on est plus dans la même classe.
Bon trêve de bavardage, Bonne Lecture !!!
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Arriver à sa chambre, elle s'enferma et glissa le long de la porte. Immobile. Pourquoi ? Pourquoi la vue d'Izana avec Irissa lui faisait-il si mal. Et pourquoi était-il si triste ? [...] Les larmes montèrent et finirent par couler pour finir leurs courses sur le froid parquet. Il fallait remettre ses sentiments au clair. Une seule question lui tiraillait l'esprit : Est-ce de l'amour ?
C'est vrai, est-ce de l'amour ? C'est une question bien difficile. L'amour est un sentiment si étrange réunissant beauté, larmes, joie, cruauté, complicité et une tonnes d'autres émotions contradictoires. On y pense des heures, des journées, des mois entiers. Mais, est-ce si simple ? Qui connait la réponse. Personne. Car la réponse se trouve au plus profond de notre cœur. C'est quelque chose de spontanée, qui ne se contrôle pas. Comme on ne contrôle pas la personne dont on est amoureux.
La princesse, resta ainsi pendant plusieurs heures, sans bouger. Elle ne pouvait enlever ces images de sa tête : Sa sœur au bras de son altesse. Une douleur insoutenable la prit soudainement dans la poitrine, comme si... on la poignardait en plein cœur. C'était insupportable. Il fallait que ça s'arrête. Que tout s'arrête.
Elle sécha ses larmes qui n'avaient que trop couler et se leva. La jeune femme alla se passer de l'eau sur le visage (afin d'effacer les marques de ses larmes) lorsqu'une domestique vînt la chercher pour le repas du soir. C'est avec un faux sourire qu'elle sortit de sa chambre pour se diriger vers la salle de repas.
Durant toute la soirée ni Izana, ni la Princesse ne se sont adressé ne serait-ce qu'un regard, un sourire, un mot, ce qui enchanta au plus haut point Irissa. Et cette situation continua pendant plusieurs jours...
__________ Quelques jours plus tard... _________
??? : Eh, tu la vois ? Dis un jeune homme adossé à un arbre
??? : Non pas encore, mais elle ne devrait pas tarder. Répondis son coéquipier qui lui était dans l'arbre
??? : On ne doit pas se rater. Il marqua une pose et repris. T'entend Jeff ? Faut assurer. Imagine tout ce qu'on pourra faire avec cette argent...
Jeff : Ouais, ce sera le pied. Il sourit de toutes ses dents avant d'interpeller son amie. Eh Asatarō !!! Ça y est, elle est là.
Asatarō : Tait toi idiot !! Tu vas nous faire repérer. Et arrête de m'appeler comme ça, tu sais que je déteste mon nom. Il rejoignit son ami dans l'arbre pour constater les faits
Les deux jeunes hommes observaient avec beaucoup d'attention une femme, une princesse aux longs cheveux blonds. Elle lisait comme à son habitude, un livre trouvait un peu plus tôt dans la bibliothèque royale. Par chance, elle ne les avait pas repérés, trop concentrés dans sa lecture. Ils profitèrent de son moment d'inattention pour sortirent de leur cachette.
Asatarō : On y va !!!
Un petit peu plus loin, deux jeunes messagers discutaient, rigolaient, et se taquinaient quand un cri se propagea dans l'air. Sans attendre, ils se dirigèrent vers sa provenance.
Quand ils arrivèrent sur les lieux, la première chose qu'ils virent fut deux intrus, empoignant la seconde Princesse d'Utopia et essayant tant bien que mal de lui mettre un mouchoir sur la bouche, sûrement pour l'endormirent.
Malheureusement pour eux, ils se frottent à la mauvaise personne. Elle est bien plus forte qu'elle ne le laisse paraître. Elle se débattait comme elle pouvait étant dans une bien mauvaise posture : les mains derrière le dos. Elle réussit malgré tout à donner un coup de pieds à l'un de ses agresseurs lui faisant ainsi lâcher prise et la propulsant en avant. Ce qui la fit tomber par terre. Ils essayèrent de la reprendre mais Obi et Hiro en profitèrent pour leur tomber dessus.
Asatarō : Merde... Qu'est-ce qui font ici c'est deux-là ?! C'était pas au programme.
Hiro : Qui êtes-vous ? Et qu'est-ce que vous faites ici ?
Jeff : On est là... pour elle. Dit-il en la montrant du doigt. Il y a quelqu'un qui est prêt à payer cher pour l'avoir.
Obi : Dans ce cas, va falloir nous passer sur le corps.
Asatarō : Sans problème !
Un combat acharnait commença entre les quatre garçons. Les deux « inconnu » se trouvaient en très mauvaise position, ils ne faisaient visiblement pas le poids contre les aides Royales. C'est avec une certaine lâcheté qu'ils s'enfuirent sans attendre sachant que c'était un combat perdu d'avance.
Asatarō : Jeff ! On se replie !
Celui-ci serra les dents, et se retira avec son coéquipier. Obi les poursuivit tandis qu'Hiro se dirigea vers sa "maîtresse".
Hiro : Princesse Ana !! Tout va bien ? Ils ne t'ont rien fait de mal ? Demanda-t-il en la relevant.
Ana : Ne t'inquiète pas, je n'ai rien. Plus de peur que de mal.
Obi : Désolé, je n'ai pas réussi à les rattraper. Annonça-t-il essoufflé après les avoir poursuivis
Hiro : Ce n'est pas grave. Il se tourna vers sa majesté et lui demanda : T'ont-ils dit quelque chose ?
Elle hocha la tête négativement. Rien, on ne lui avait rien dit. La jeune femme ne savait pas ce qu'on lui voulait, mais cela ne lui disait rien de bon. À peine quelques secondes plus tard, se fut Shirayuki qui arriva en courant. Il semblerait qu'elle aussi a été alertée par les cris. Obi lui expliqua la situation et il fut décidé que la princesse resterait avec elle, au moins jusqu'à ce qu'on ait pris des mesures pour remédier à ce petit incident.
Obi partit prévenir son maître de cette altercation et Hiro fit de même avec sa seconde maitresse. Il fallait prendre de sérieuses mesures.
Après tous, les princesses Utau sont toutes deux des invités de marques. Si on kidnappait l'une d'elle, cela pourrait avoir de grave conséquence.
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Pendant ce temps, Izana était dans son bureau. Vous savez ce que c'est la vie de prince (et de futur roi) : les documents administratifs à signer, les lettres à envoyer, les autorisations à donner, etc... Il y en avait plus que d'habitude, mais heureusement il y voyait enfin le bout.
Même si depuis quelques jours il n'avait pas la tête à travailler. Il n'avait qu'une chose en tête, ou plutôt une personne. Il rêvassait quelques secondes lorsque quelqu'un ouvrit la porte violemment. Il reconnue sa future femme, qui entra en trombe dans la pièce.
Irissa : C'est inacceptable !!! Comment cela a pu se produire au sein du palais !!??
Izana : Quelque chose est arrivée ? Demanda-t-il le nez dans ses papiers pensant que ce n'était rien de grave. (C'est compréhensible, vous connaissez Irissa, toujours à chipoter)
Irissa : Comment ça !!! Évidemment que quelque chose est arrivé. Ma sœur a manqué de se faire kidnapper par deux brigands et personne ne fais rien !!! J'espère que vous allez y remédier ?!
A cette nouvelle, il arrêta d'écrire et regarda la première Princesse avec surprise. Jamais il n'aurait pensé que quelqu'un veuille enlever Ana, surtout dans l'enceinte de se château.
Soudain une puissance colère l'envahi, il fera tout ce qui est en son pouvoir pour retrouver ses ennemis et leur faire regretter leurs gestes.
Il se leva et déclara :
Izana : Je ferais tout mon possible pour la protéger. N'avez crainte, elle est en sécurité. Cachant son inquiétude et sa fureur.
Irissa : Je vous remercie. Je savais que je pouvais compter sur vous. Souffla la brune soulagée.
Elle s'assit dans le fauteuil près du bureau, et ne comptait plus bouger avant la fin de la journée. Ces derniers jours, elle n'avait qu'une seule activité : suivre sa majesté peu importe où il allait (pot de colle).
La jeune femme (même s'ils s'adressent très peu la parole) ne pouvait s'empêcher d'être là, au cas où le prince et sa sœur aient dans l'idée de se parler. Cette situation commençait à énerver Izana. Il avait l'impression d'être l'otage d'une sorcière dans son propre château.
Malheureusement, il ne pouvait rien dire, de peur de frustrer ce qui devait devenir par la suite sa future femme. Le jeune prince se rassit et replongea simplement dans ses papiers, faisant comme si elle n'était tout simplement pas là. Il irait voir Ana une fois ses tâches terminer.
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La journée passa à une vitesse folle et Izana venait enfin de terminer de remplit ses papiers. Ça avait pris plus de temps que prévu, trop occupé à penser à sa jolie blonde. C'était pratiquement devenu une obsession. Mais elle lui a dit qu'elle ne ressentait rien pour lui, alors peut-être faut-il mieux tourner la page. C'est ce que sa tête lui dicter, mais son cœur, lui, lui disait le contraire : ne pas abandonner et continuer à se battre.
Après avoir rangé son bureau il décida d'aller faire un tour, s'aérer la tête et réfléchir tranquillement. Irissa semblait dormir profondément sur le canapé, c'est donc le moment parfait pour s'éclipser sans se faire prendre. Il va juste falloir faire attention et revenir avant qu'elle ne se réveille. Discrètement, il sorti et parti en direction des jardins.
Le vent était léger et frais, le soleil commençait à descendre dans le ciel encore bleu, et c'est un temps magnifique pour se rafraîchir les idées. Sa majesté se sentait bien à déambuler ainsi dans les sentiers fleuris. Étrange, quand on y pense il n'a jamais vraiment été se promené dans la nature, il n'a jamais profité de l'environnement qui s'offrait à lui chaque jour. Finalement, c'est plus reposant qu'il ne le pensait. A force de marcher sans but précis, il arriva près d'un kiosque qui se trouve un peu en retrait du château.
Ses occasions de venir ici sont assez rare, il faut dire qu'a la moindre tentative quelqu'un venait le consulter pour une quelconque urgence.
Le jeune homme comptait se rendre en dessous de celui-ci jusqu'à ce qu'il réalise qu'une autre personne était présente. Le blond comptait rebrousser chemin quand il vit de qui il s'agissait mais, dommage pour lui, cette personne l'avait repéré. (Et ne comptait pas sur elle pour le laisser partir comme un voleur.)
Ana : Izana !!! Qu'est-ce que tu fais là ?
Le jeune homme s'arrêta net, et se montra avec un petit sourire sur le visage. Il s'avança jusqu'aux pieds du kiosque afin de la voir.
Izana : Je me promenais, rien de plus. Répondit-il. Et toi ? N'est-ce pas dangereux de rester ainsi, seul, après ta mésaventure de ce matin ?
Ana : Ah, tu en as entendu parler... Je ne voulais pas t'inquiéter, C'est bandit ne perdent rien pour attendre. Sourit la blonde. Si c'est si dangereux, tu n'as qu'à rester avec moi et me tenir compagnie. Izana sourit lui aussi face à cette réponse et s'avança alors, prudemment, jusqu'à elle pour s'assoir sur le banc. L'espace d'un instant, il y eu un blanc. Elle dit alors : En fait, pour tout avouer Zen est venue à la pharmacie tout à l'heure. C'est à ce moment-là que je me suis éclipsée, je ne voulais pas les déranger. Shirayuki et lui forme un beau couple.
Izana : J'avais cru remarquer son attachement. Il est prêt à tout pour elle. Même s'il y a des fois, je me demande ce qui lui passe par la tête.
Ana : Il est tout simplement amoureux. Dit-elle simplement comme une évidence.
Un silence pesant se mit alors en place entre les deux amis. Pendant de longues minutes, ils restèrent sans se manifester attendant un signe venant de l'autre. La discussion reprit finalement son court avec difficulté. Izana voyant le livre dans les mains de celle qu'il aime, trouva enfin un sujet de discussion qui pourrait les aidées à rompre se sentiments de malaise qui s'est accrue ces derniers jours.
Izana : Que lis tu aujourd'hui ?
Ana : Roméo et Juliette. Je viens de le terminer. C'est une histoire vraiment horrible et je n'arrête pas de me dire que finalement ce qui les aura tout deux tués, c'est la haine entre ses deux familles. Si on y réfléchit bien, s'il n'y avait pas eu cette rivalité, le stratagème de la fausse mort de Juliette, n'aurait pas eu lieux et donc Roméo ne se serait pas tué pensant l'avoir perdue à tout jamais.
Izana : Oui, c'est vrai. Tu as raison. Chaque événement à une conséquence sur l'avenir. C'est une fatalité.
Sur ce début de conversation, chacun commença à donner son point de vue sur l'histoire et sur la vie en général. Et l'espace d'un instant ils eurent la sensation que tout autour d'eux avait disparue. Ils se parlaient comme de vieux amis qui venaient de se retrouver. Il n'y a pas à dire, ils se sentaient mieux maintenant que tout était redevenue à la normal. Ils s'étaient enfin retrouvés. (On entend par là qu'il se reparle)
Le soleil commençait à disparaitre derrière l'horizon et ses rayons donnaient au ciel une belle couleur orangé qu'Ana ne rata pas. Elle se leva suivit du prince et s'avança sur le bord du kiosque pour poser ses mains sur la rambarde. Ses yeux bleus brillaient d'émerveillement face à ce si beau spectacle.
Sa majesté, dans un élan de courage posa sa main sur la sienne. Celle-ci surprise tourna la tête en direction du blond. Ils se regardèrent, sans un mot, les yeux dans les yeux. Il n'y avait qu'eux, rien d'autre. Ils étaient seul au monde...
Aucun des deux n'avaient remarqué qu'ils s'étaient grandement approchés. Leur visage n'était plus qu'à quelques centimètres l'un de l'autre. Poussé par une force invisible, ils avancèrent encore... encore... jusqu'à...
Zen : Mon frère, j'ai à vous parler !!!
Tous deux s'éloignèrent précipitamment l'un de l'autre à l'entente de cette voix. Izana maudit son petit frère pour être venu le déranger à un moment si crucial. Ana était plus rouge qu'une Urashigure venant d'éclore. Elle avait encore du mal à croire qu'elle était sur le point de... Rien que d'y penser ça la rendait toute chose.
Izana sourit à la belle, lui fit une révérence et parti à la rencontre de son frère (qui entre nous, ne comprenait rien à ce qui se passait). Il était en colère contre Zen qui venait d'interrompre quelque chose d'important, mais d'un autre côté il se sentait bien maintenant que le doute qui s'emparait de son esprit fut dissous. Il en était sûr : elle partage ses sentiments. Ses précédentes paroles n'étaient que du vent. Avec tout ça, il avait presque oublié qu'il devait retourner dans son bureau avant qu'Irissa ne se réveille. Enfin, si elle ne l'est pas déjà.
Dans le bureau du prince, Irissa n'avait pas bougé et dormait toujours. Mais, son esprit « tourmenté » ne pouvait rester inactif. Alors, il décida de jouer un peu avec ses sentiments. Il la fait sourire, lui fait froncer les sourcils, la fait gesticuler dans tous les sens et la mets en colère sans vergogne. (Limite son esprit est une personne XD) Pour comprendre de quoi il retourne, il est nécessaire d'entrer dans sa tête, et de voir ce qu'il si passe. (Entrons dans le monde des rêves... ou des cauchemars)
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Il faisait noir. Tout était noir, engloutis par l'obscurité. Elle ne ressentait rien, comme si tout avait disparues, réduit dans le néant. Et en un instant, une lumière aveuglante apparu devant elle. Elle grandissait, grandissait encore jusqu'à l'envelopper totalement.
Tous resplendissaient. Tout était blanc, engloutis par la lumière. Elle était émerveillée, plusieurs émotions ne cessaient de la bousculer. Le soleil brillait et on pouvait entendre les oiseaux chanter. Soudain, une voix retentie...
???: Votre majesté, il est l'heure. Entendit-elle.
En parcourant du regard l'endroit où elle se trouvait, elle se rendit compte qu'elle se trouvait dans sa chambre. La brune ne comprenait pas exactement ce qu'elle faisait là ni ce qu'il se passait. Quand elle tourna la tête, elle vit une servante lui sourire.
Domestique : C'est un grand jour pour madame. Cette robe vous va à ravir.
De quoi parlait-elle ? Quelle robe ? Devant elle, un miroir apparu comme par magie reflétant son reflet. Elle était vêtue d'une magnifique robe blanche composée de plusieurs couches de volant, quelques perles vertes étaient dispersées un peu partout. Des gants blancs couvraient également ses mains et remontaient jusqu'au début des avant-bras. Sans oublier le voile posé sur sa tête. C'était sans conteste une robe de mariée.
Elle n'eut le temps de poussé son analyse plus loin qu'on la prit par la main et qu'on la fit sortir de sa chambre. Elle traversa rapidement le dédale de couloirs et fut emmené presque immédiatement jusqu'à une immense salle où devait se dérouler les événements royaux important (tel que les couronnements, les mariages, etc...) A son entrée toutes les personnes présentent se levèrent de leurs sièges. Devant elle, se trouvait la reine, et un magnifique jeune homme aux cheveux blond lui tendait la main l'incitant à s'avancer. Sans attendre, elle marcha jusqu'à l'autel. Des applaudissements commençaient à résonnait dans la salle au fur et à mesure que la jeune fille avançait.
Arrivé près la reine, elle reconnue sans peine sa majesté Izana. Magnifique dans ses habits de cérémonie. Sa majesté Haruto commença donc un petit discourt sur les jeunes mariés. Irissa était heureuse, elle allait enfin épouser son beau prince. Tout est absolument parfait. Elle ne pouvait s'empêcher de regarder avec intention son altesse qui avait un sourire gravé sur le visage. Un si beau sourire, rien que pour elle.
Quand la souveraine de Wistar posa la fameuse question « princesse, êtes-vous prête à épouser sa majesté ici présente pour le meilleur et pour le pire », elle n'hésita pas et répondit très fort « Oui ! ». Quand cette même question fut posée au Prince, il répondit également par un « Oui ».
Haruto : Vous pouvez dès à présent embrasser la mariée.
LA phrase qu'elle attendait depuis si longtemps. Elle ferma les yeux et s'approcha du visage de son marie encore, encore... Au bout d'un certain temps, ne ressentant aucune présence elle finit par ouvrir les yeux. Izana n'était plus en face d'elle. La jeune femme se trouvait maintenant au bout de la salle.
Mais ce qui la mit hors d'elle fut quand elle comprit que ce n'était pas elle qui embrassé le prince mais une autre jeune fille qu'elle reconnaitrait entre mille puisqu'il s'agissait de sa petite sœur. Elle avança vers eux, Ana se tourna vers sa sœur avec un sourire victorieux. La tête posait sur le torse de son « mari » elle clama :
Ana : Il est à moi maintenant.
Irissa : Comment oses-tu me faire ça à moi, ta propre sœur !!! Il me revient de droit !!! Il est à moi ! Ragea-t-elle.
Ana : Mais enfin, tu n'as toujours pas compris ? Rit la blonde. Aussi longtamps que je serais ici, je te prendrais tous ce à quoi tu tiens. C'est moi la reine désormais, et toi tu n'as pas ta place ici. N'est-ce-pas mon cher époux ?
Izana : Je ne peux qu'être d'accord avec vous ma douce.
Ana : D'ailleurs, tu devrais aller te changer, ça sans vraiment mauvais.
Irissa baissa le regard pour voir sa magnifique robe déchirée de tous les côtés et couverts de boue. Il lui manqué une chaussure et ses cheveux partait dans tous les sens. Elle n'avait aucune classe et ressemblait, d'après elle, à un âne qu'on aurait habillé de guenille. En clair, elle ne ressemblait plus à rien. Avec ses mains, elle essaya de cachait du mieux qu'elle le pouvait son corps. Elle se sentait dénudé. D'un rire mauvais Ana commençait à se moquer d'elle suivit d'Izana et de toute l'assemblée.
Ana venait de tout lui prendre : sa place, sa couronne, sa robe, son prince...
Dans un élan de rage, Irissa se jeta sur sa sœur mais fut retenue par deux gardes qui la prient par les deux bras pour la trainer dehors. Les rires redoublèrent d'intensités pendant qu'Irissa essayait de se dégageait.
Ana : Adieu ma chère sœur, j'espère que tu trouveras quelqu'un d'aussi minable que toi.
Irissa : Non ! Non ! NON !!!
Dans ce dernier cri, les portes se refermèrent devant elle et tout redevint noir complet.
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Irissa : Non !!!
La princesse se réveilla en sursaut, haletante, et toute secouer. Avoir dormit sur le canapé était une mauvaise idée, maintenant elle a mal partout. Elle regarda autour d'elle pour resituer les choses et fut heureuse de voir que ce n'était qu'un cauchemar. Rien d'autre qu'un rêve. Elle sourit doucement, ce mauvais rêve avait ravivé ses craintes et sa colère. Comme un rappel à l'ordre. Il fallait qu'elle fasse attention à Ana. Il ne fallait baisser sa garde, ne pas la laisser tout lui prendre. Rien. Elle n'aura rien.
Izana : Avez-vous bien dormit votre altesse ?
Irissa se redressa et se mit bien droite sur le canapé, regardant son futur époux pour remarquer avec soulagement qu'il n'avait pas bougé de son siège et qu'il était toujours dans ses papiers, à les signer et à les lire (Ah, si elle savait). Elle savait pourtant qu'elle ne pourrait pas continuer à le suivre de la sorte. Ça devenait bien trop dangereux et on ne sait jamais, Izana pourrait finir par se poser des questions.
Alors à partir d'aujourd'hui, elle essayera de moins être collés à lui. Malgré ce cauchemar, elle était comme confiante. Elle avait cette étrange impression qu'Ana ne pouvait rien faire contre elle et son amour. Mais attention, cela ne veut pas dire qu'elle n'est pas méfiante, elle fera sûrement en sorte de savoir où se trouve Izana, à chaque heure du jour et de la nuit et pour parfois allait voir ce qu'il fait.
Irissa : J'ai magnifiquement bien dormi votre majesté.
Izana : Ce n'est pourtant pas ce que vous laissez paraitre
Irissa : Ne vous inquiétez pas
Elle se leva, remit sa robe en place et se dirigea vers la porte sous le regard curieux du blond.
Irissa : A plus tard votre majesté. Je vous laisse.
La jeune femme sortit ainsi de la pièce avec un grand sourire. Elle se sentait libéré de tout. Elle ne laissera pas sa sœur faire mais essayera de faire confiance à son futur époux. Après tout, il n'oserait pas la trahir de la sorte.
Izana, de son côté, se leva de son siège pour se tourner vers la fenêtre. Il ne faisait que repensait encore et encore à ce qui s'est passé... enfin, à ce qu'il a failli se passer quelques temps plus tôt. Son cœur s'emballait dans sa poitrine rien que dit penser. Et Ana pensait la même chose.
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Allongé sur son lit, Ana prenait (enfin) conscience de ce qu'elle ressentait. Mais malgré cela, elle avait peur car elle savait que c'était impossible. Il devait épouser sa grande sœur. Comment cela serait vu par le peuple ? Par ses parents ? Par Irissa ? Elle ne savait pas exactement quoi faire mais pour les deux concernés il n'y avait aucun doute : Ils étaient tous deux éperdument amoureux l'un de l'autre. Alors oui Ana c'est bien de l'amour...
Finalement, cette histoire vient à peine de commencer et elle a déjà son lot de surprise et de problème...
A SUIVRE...
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Tribulations : Suite d'aventures plus ou moins désagréables, de revers, d'obstacles surmontés
(Oui parce que j'avoue, je ne savais pas ce que ça voulait dire avant qu'Ana ne m'explique)
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Alors les montages : 1) Alors le premier c'est très simple j'ai pris une base, je l'ai entièrement redessiné (parce qu'elle était pixélisée) et j'ai mis un fond.
2) Le deuxième, un peu plus compliqué. Il a fallu trouver une bonne base, et c'était pas facile. Ensuite il a fallu trouver la robe adapter, dur dur aussi. Tout assembler. Trouver un fond. Changer les couleurs. C'était compliqué mais moins que les précédents quand même. Ce n'est pas l'un de mes meilleurs.
Je pense que les meilleurs seront ceux du prochain chapitre ^_^
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Concernant les prochains chapitres, le rythme va ralentir (un à chaque vacances) Parce que comme on l'a expliqué au niveau du timing c'est assez serrer. Si on voulait faire plus court il faudrait travailler la nuit ^_^
Ah oui, vous avez remarqué les photos du kiosque ? Eh bien contrairement à ce que vous pouvais penser elles ne proviennent pas d'internet, ce sont des photos que nous avons prises nous-même lors du voyage scolaire de l'année dernière à Séville, en Espagne (K : C'est surtout toi qui les a prises étant donné que je n'avais plus de batterie XD C'était tellement, ahlala l'Alcazar de Séville c'était peut-être la plus belle journée du séjour. Je me souviens, les jardins nous avez beaucoup inspirés) J'aimerais tellement y retourner (K : Moi aussi) D'ailleurs l'Alcazar à était l'un des lieux de tournage de la saison 5 et 6 de Game of Thrones (K : Je ne vous dis pas les délires qu'on a eu, on donnait des noms aux pigeons... Ca a l'air complètement con dit comme ça mais genre on les appelait Daenerys, Viserys, etc... C'était génial XD)
On vous fait de gros bisous, et on vous souhaite une bonne rentrée !!!
Sayonara !!!
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