おはよ ! お元気ですか ! Est ce que vos vacances ce passe bien ? Perso tout vas bien de mon coté, au moment où je vous parle je suis en vacances a Moissac (dans le sud) près de Montauban. Quant a ma collègue elle est... (K: Dans son canapé à s'occuper des futurs montages =D Oui cette année je ne pars pas, il y a beaucoup trop de travaille a la maison. Et puis je suis déjà parti cet hiver) Comme vous pouvez le voir on a beau être séparé on ne s'arrête pas de bosser pour autant. (K: Au fait je ne t'ai pas demandé, alors la Japan Expo ? Génial je me suis éclaté, j'ai acheté un paquet de truc et surtout un katana. Et toi alors ? (K: Pareil, j'ai adoré ! Et j'ai fait plein de rencontres et d'achats. A l'occas passe chez moi on se fera un petit combat XD) Parfait, dès que je rentre on se fait ça. D'ailleurs dites en commentaire, d'après vous qui va gagner ce combat d'épée. (K: Ne vous inquiétez, elles ne coupent pas, il n'y a aucun risque qu'on se fasse mal) ^_^ Sur ce, on vous laisse...

Bonne Lecture !

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Elle laissa Morphée l'emportait dans le pays des rêves pour une paisible nuit... Enfin c'est ce que l'on pourrait croire...

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Ou suis-je ? Qui suis-je ? Se demanda-t-elle. Celle-ci était allongée au sol, frigorifié et complètement désorienté... Ses yeux s'ouvrir mais elle ne voyait rien, il faisait noir, le vide complet. Pas un bruit ne venait troubler le silence de cet endroit... Il faisait froid, très froid... Pourquoi suis-je seule ?

Elle se leva avec difficulté, et commença à mettre un pied devant l'autre : un, deux, trois... le bruit de ses pas résonnaient en écho, un écho des plus sinistre. Mais ce n'était pas la seule chose qu'on pouvait désormais entendre. Des voix ? Oui, elle entendait, d'où venaient-elles ? De quel côté aller ? Mais que disaient-elles ? Que voulaient-elles ? Elle ne les comprend pas... Elles s'amplifient... Se bousculent, se mélangent... Puis... disparaissent....

Ana : Non, ne me laissez pas, je vous en prie... Ne m'abandonnez pas... murmura-t-elle

La blonde s'arrêta, tout est redevenu silencieux. Est-ce la fin ? Non... Ça recommence, des dizaines peut-être des centaines de voix marmonner des choses incompréhensibles. Leur chant infernal l'emprisonner comme si elles cherchaient à lui parler !!!

Ana : Que dites-vous ?! Qu'essayez-vous donc de me dire ?!

Souviens-toi... Souviens-toi... Souviens-toi... » Dit l'une des voix à travers se torrent de tourment.

Ana : Me souvenir ? De quoi ? Qu'ai-je donc oublié... Qu'ai-je donc oublié... Qui ai-je oublié... Dites-moi...

Tous se meurt, tous se tait... le silence règne de nouveau... Une brise, une douce brise frôla sa blanche peau. La jeune femme reprit sa marche tandis que ce vent si réconfortant se transforma en une violente tempête.

« Regarde... Ressent... » Fut la seule chose qu'elle entendit avant de tomber dans les tréfonds de l'infini. La sensation de se noyer, de s'étouffer de ne plus pouvoir respirer se faisait ressentir. Elle ferma les yeux une douleur tellement intense derrière la tête lui fit perdre connaissance.

Quand elle entrouvrit ses iris elle était debout devant un grand arbre, avec en son centre une inscription, trop flou pour y voir quoi que ce soit. Elle tendit le bras espérant pouvoir le toucher, le sentir du bout de ses doigts. Une fois... juste une fois sentir l'écorce au creux de sa main et lire le message... Ce message qui semblé écrit pour elle...

Malheureusement, cette image se brisa en mille morceaux avant de disparaitre. Des flashes de lumière apparurent devant ces yeux. Elle fut frappée par un horrible mal de crâne qui la prit en tenaille. Elle tomba à genoux, ce tenant la tête en priant pour que cela s'arrête. Inconsciemment, ces yeux se fermèrent alors des larmes coulèrent le long de ses joues.

Ana : Arrêtez... Arrêtez... Reprend-toi Ana, reprend-toi !!! S'ordonna-t-elle paniqué

Soudain le mal qui la rongeait disparu et toutes les lumières qui brillaient s'éteignirent. Elle rouvrit les yeux et observa les alentours.

Deux enfants étaient devant elle, main dans la main, ne bougeant pas d'un centimètre. Qui sont-ils ? C'était une petite fille et un petit garçon, tous deux blonds et sûrement du même. L'un d'eux tenait un médaillon. Elle voulut s'approcher d'eux pour pouvoir voir leurs visages et peut être prendre le médaillon. Se pourrait-il que ce bijou soit la réponse à tous ses tourments ? Elle n'en doute pas, mais il lui est impossible de bouger.

Ces chevilles étaient manifestement maintenues par quelque chose. Des chaines ? La jeune femme se recroqueville sur elle-même sans quitter les enfants des yeux. Elle tire sur la chaîne en espérant se libérer mais cela n'y change rien. Ana tourne une nouvelle fois son regard vers le garçon et la fille. Leurs lèvres... Bougeaient... Ils parlaient ! Ils lui parlaient, mais aucun son ne lui parvenait. Ne comprenant a rien à tout ce qui se passé elle fondit de nouveau en larmes. Sa tête était posée dans ses bras qui eux même était posé sur ses genoux.

Ana : J'ai... J'ai peur ! Pourquoi ? Aidez-moi... Aidez-moi je vous en prie... Supplia-t-elle

Enfants : ...-toi !

Elle leva brusquement la tête. Qu'avaient-ils dit ?

Ana : Quoi... Qui êtes-vous ? Que me voulez-vous ? Pourquoi êtes-vous encore là ? Dites-moi... Les interrogea-t-elle avec les dernières forces qui lui resté.

Enfants : RÉVEILLE-TOI !!! Crièrent les enfants à l'unisson

Ce fut la dernière chose qu'elle entendit avant que le noir complet ne la gagne. Dans un dernier effort une question passa la barrière de ses lèvres : « Qui suis-je ? ».

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Ana se réveilla en sursaut, haletante, et en sueur, d'horrible tremblements secouer toutes les parcelles de son corps. Ce cauchemar, elle ce le repassait en boucle. Il était bien plus violent que toutes les autres fois, bien plus violent et très différents.

La Princesse essaya tant bien que mal de se calmer, en vain. Un simple coup de vent, le grincement d'une fenêtre, le craquement d'une branche, le silence... le moindre bruit l'angoissait. Elle s'agrippait à ses draps comme à une bouée de sauvetage. Elle avait de plus en plus de mal à respirer, c'est tremblement ne cessaient de s'accentuer et sa peur de s'endormir n'avait jamais été aussi grande.

Elle descendit de son lit, il lui était impossible de rester dans cette chambre une minute de plus. Une fois sorti de ses appartement la jeune femme commença à longer les couloirs du palais pour se rendre inconsciemment vers un lieu qui ne lui était pas inconnu.

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Son altesse Izana, lui, ne trouvait pas le sommeil. Il avait beau se retourné plusieurs fois dans son lit, aucune fatigue ne se faisait ressentir. Trop de chose c'était passé ces derniers jours. De nombreuses pensées se bousculer dans sa tête : Son futur mariage avec la princesse Irissa (qui il faut le dire ne l'enchanté pas au plus haut point) ; Ou les sentiments qu'il ressent depuis quelques jours.

Il sait qui en est à l'origine et si ce n'était pas « elle » ? Non... Il ne peut pas lui faire ça, il ne peut pas lui donner de faux espoirs... Si s'avère qu'elle ne soit pas delle qu'il croit... ce sentiment ne serait que mensonge...

Le blond ferma les yeux espérant chasser ces mauvaises pensées, mais avant qu'il n'ait pu ne serais ce que s'endormir il entendit frapper à la porte. Qui cela pouvait-il bien être ?

Il se leva et se dirigea vers la porte. Lorsqu'il l'ouvrit qu'elle ne fut pas sa surprise, quand il comprit qu'il s'agissait de la princesse Ana.

La jeune femme ne bougeait pas, la tête base, silencieuse... Le prince voulu lui demander ce qu'il se passait mais il n'en eut pas le temps. Ana s'écroula à genoux mais le blond la rattrapa in extrémis avant qu'elle n'ait pu toucher le sol. Izana pouvait ressentir les différents tremblements qui parsemaient le corps de la princesse, ainsi que ses difficultés à respirer. Il remarqua bien vite les larmes qui coulaient le long de ses joues.

Il lui fit lever les yeux et la prit dans ces bras. Il lui frotta le dos le plus doucement possible et se mit à lui parler.

Izana : C'est fini... Je suis la... Tu n'as plus rien à craindre... Tout va bien... lui murmura-t-il à l'oreille

Ana se calma petit à petit mais restait toujours dans un certain état. Le prince la porta jusqu'à un petit fauteuil et la déposa le plus doucement possible, comme une chose précieuse qui risquait à tout moment de ce brisée en mille morceaux. Le jeune homme s'inquiétait pour elle, il ne supportait pas la voir comme ça. Elle semblait si frêle, si fragile. Il s'installa à côté d'elle afin de la rassurer.

Quelques minutes plus tard, elle se calma enfin, ce qui soulagea le futur roi. La jeune princesse ouvrit les yeux et reprit peu à peu ses esprits. Elle essaya de redresser mais sa tête lui tournait encore un peu.

Izana : Doucement ! Lui dit-il

Elle le fixa droit dans les yeux en se posant une unique question. Que faisait-elle ici ? Tous les évènements lui revinrent en mémoire, elle détourna le regard et prit à son tour la parole.

Ana : Désolé de t'avoir dérangé à une heure pareil !

Izana : Tu n'as pas à t'excuser, je suis même heureux que tu sois venu me voir ! Lui avoua-t-il. Ana ne comprenait pas pourquoi cela lui faisait plaisir, il reprit donc voyant qu'elle était perdue : Je suis heureux, que tu es tenu ta promesse... Maintenant, si tu le veux bien me raconter ce qui s'est passé, tu te sentiras bien mieux après.

Elle hésita un peu, même beaucoup. Elle n'avait aucune envie d'y repenser, de repenser à tous ce qu'elle avait vu. Mais elle en avait besoin, alors après réflexion elle commença son histoire en essayant de ne rien oublié. Elle lui expliqua son cauchemar dans les moindres détails : le silence, le froid, les chaines, les enfants, l'arbre, le vide... Après plusieurs minutes, elle arriva à la fin de son récit.

Ana : ...Deux enfants aux cheveux blonds sont apparues devant moi, se tenant la main avec un air terrifiant. L'un d'eux tenait un médaillon en or. Je peinais à les entendre et lorsque je fermai les yeux ils ne cessaient de me crièrent "réveille-toi ! réveille-toi ! ". Puis je me suis réveillé ; Voilà tu sais tout.

Izana fut surpris, cette scène... Des enfants... Cela lui rappelait des choses, oui de très bons souvenirs, comment les oublier... Il lui sourit et eu une idée. Il se leva et partis dans sa bibliothèque privée pour y prendre un livre. Ana le suivit du regard intrigué. Il revint à sa place et lui tendit le livre.

Ana : "Les milles et une nuit" ?

Izana : Il m'aide à m'endormir lorsque je n'y arrive pas, j'espère qu'il t'aidera aussi à trouver le sommeil.

Sans prévenir elle le prit dans ses bras. Le prince ne comprit pas tout de suite mais lui rendit son étreinte, il se sentait bien... avec elle... Le temps semblait s'être arrêter pendant un instant.

Ana : Merci pour tous ! Lui dit-elle

Ils se séparèrent, et la jeune femme repartit en lui souhaitant une bonne nuit. Le prince éteigna sa lumière et partit se recoucha. Il s'inquiéta un peu, espérant que tous se passerais bien, qu'elle ne fasse plus de cauchemars. Et c'est sur cette dernière pensée qu'il réussit à s'endormir. Il faut croire que la visite de la jeune blonde lui a fait du bien.

Pendant ce temps, la jeune princesse avait rejoint sa chambre ; Elle se mit sous ses couvertures et commença sa lecture. Ce livre lui plaisait beaucoup, c'était une magnifique histoire. Elle aurait aimé le lire jusqu'au bout mais la fatigue l'emporta. Elle posa son roman et se laissa tomber dans les bras de Morphée. Et cette fois pour faire de doux rêve.

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11h. Le soleil était levé depuis déjà un moment sur la ville de Wistar, tout le monde c'était mis au travail, la matinée s'est passé sans encombre et se fut bientôt l'heure du déjeuner. Toute la famille Wisteria et Utau se réunirent pour le repas. Mais une chose frappa toutes les personnes présentes dans la salle : Sa majesté Izana et la princesse Ana ne semblait pas dans leur assiette, ils semblaient tous deux encore dans les "vapes" (fatigué quoi).

Cela inquiéta le prince Zen, qui n'avait encore jamais vu son frère dans cet état, ce qui énerva au plus haut point la princesse Irissa qui se demandait ce qui était arrivé. Quelque chose c'était passé entre ces deux-là, elle en était sûr, mais quoi ? Quant à la reine Haruto cette scène l'amusée, elle découvrit une autre facette de son fils qui ne lui déplaisait pas, au contraire. Enfin, les deux intéressés étaient tellement distraits qu'ils ne remarquèrent pas les regards interrogateurs de leur famille respective. C'est dans cette ambiance assez "particulière" que se déroula le repas.

Dans l'après-midi, le prince Zen décida d'emmener Shirayuki se promener dans la capitale. Ils se promenèrent tous les deux le sourire aux lèvres. Cela faisait bien longtemps qu'ils n'avaient pas fait de sortie ensemble. Rien que tous les deux.

Plus loin, Irissa avait elle aussi trainée sa sœur jusque dans Wistar pour d'après elle "lui changée les idées". Pour elle aussi ça leur ferait une sortie, de quoi prendre l'air et s'amuser un peu. Mais en réalité elle voulait plutôt lui "tirée les vers du nez". Elle veut connaitre la vérité... toute la vérité.

Izana lui restait au palais, il avait beaucoup trop de chose à faire. Sans oublier la fatigue qui le tiraillée, il est hors de question de se laissée aller.

Quant à Hiro et Obi, eh bien ils avaient décidé de faire la course. Ils étaient partis de l'entrée du château pour se rendre jusqu'à la grande place au cœur de la ville. Mais disons que tous ne c'est pas passé comme prévu : ils sont arrivés en même temps et n'ont cessaient de se battre pour savoir qui été arriver en premier.

En ce qui concerne Kiki et Mitsuhide, ils étaient en train de chercher Zen (La vérité c'est que monsieur le vagabond voulait rester seul avec sa dulcinée... le petit coquin XD Et quoi de mieux pour rester seul que de partir sans dire un mot). Cela dit Mitsuhide en profitait pour rester seul à seul avec Kiki.

Cette longue journée fut magnifique, tout le monde y trouva son compte. Et se ne seras pas la dernière, loin de là...

A SUIVRE...

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Et un nouveau chapitre de terminé ! Certes il était un peu plus court que d'habitude mais le prochain n'en sera que meilleur =D

(K: Au fait t'as trouvé le tome 16 de Shirayuki à la convention ?) Bein non puisqu'il n'est pas encore sorti. (K: Quoi ! Mais ils ont dit le 8 juillet sur internet) Le 8 juillet au Japon (K: Ah merde, je comprend mieux pourquoi je ne l'ai pas trouvé) Ahlala d'ailleurs voici le cover du tome 16 :

(K: Bouhhh... Il sort quand alors ?) Le vendredi 6 octobre 2017, deux jours après ton anniversaire (K: Cool mais quand même, je suis trop impassiblement, Zen me manque trop !!!!) T'es pas la seule, moi c'est Izana qui me manque. (K: C'est vrai que maintenant Ana et Irissa ont de la concurrence avec la jeune Haki qui vient d'arriver =D) NE ME PARLES PAS D'ELLE !!! ELLE N'EXISTE PAS POUR MOI !!!! (K: XD XD XD Au fait qu'est ce que tu aimerais voir dans les prochains tomes ?) La scène ou fait un regard noir (Oui on étais tomber sur une page du tome 17 où Izana faisait un regard type Erza, c'est con je n'ai pas fait de screen) Et toi ? (K: C'est dur a dire, j'aimerais bien un baiser romantique entre Zen et Shirayuki. Apres évidemment que j'attend qu'il sa demande en mariage mais ça sera dans le tome 18, enfin je crois. Et j'aimerais également (même si tu ne vas pas aimer ça) voir le mariage d'Izana) Il suffit d'imaginer Ana a la place de Haki et ça passe crème. (K: Je te reconnais bien là XD)

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Instant Montages: (Pour ceux que ça intéresse) Cette fois il n'y en a qu'un, je ne savais pas trop quoi faire d'autre. Alors ce montage représente les deux enfants présents dans le cauchemar de Ana. Je l'avoue, il y a effectivement un faux raccord, ils sont sensé ce tenir la main mais je m'en suis rendu compte trop tard, ça arrive. J'ai également essayer de les rendre flippant, et je trouve que c'est assez réussi. Qu'est ce que vous en pensez ?

Enfin le plus dur je ne vais pas vous mentir c'était la tenu du petit garçon, au putain la galère. D'habitude je déforme les vêtement pour que ça colle a la posture du personnage, mais là c'était impossible. Donc qu'est ce que j'ai fait, j'ai pris le modèle d'une tenu que portais Zen quand il était petit et je l'ai entièrement redessiné sur la base du personnage.

Voilà !

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Surtout n'hésitez pas a poser des questions en commentaire, comme ça nous pourrons y répondre dans le chapitre suivant, ou dans l'immédiat si vous le souhaitez =D Aller...

さよなら !!!