❊ Chapitre 40 bis - Мама

❊ It is often after seeing evil that one understands the righteous. ❊

❊ Pdv Asena ❊ 

Je fronce les sourcils et descends les escaliers quatre par quatre. 

Bordel. J'aurais dû mettre autre chose qu'une putain de serviette. 

- Maman ? Ça va ? lancé-je d'un air perplexe.

Surprise par ma présence, ma mère se redresse tout à coup, essuie frénétiquement les larmes roulant sur ses joues et me sourit comme elle sait si bien le faire.

- Oui, oui tout va bien, juste un petit coup de mou et toi ? Tu vas bien ?

Encore perturbé par l'incongruité de son état, je ne prends pas la peine de répondre à la fin de sa phrase et poursuit.

- Qu'est ce que tu fais là. Tu devais être à Moscou pour la semaine.

L'air coupable, elle fuis mon regard et croise les bras contre sa poitrine.

- ...Mon voyage s'est annulé. Et puis jusqu'à preuve du contraire c'est ma maison mon ange. J'espère pouvoir y être la bienvenue quand bon me semble. 

Sa voix est fébrile et sa respiration saccadée. Bordel mais qu'est ce qui ne va pas encore ? En ce moment c'est les montagnes russes. Entre mon père qui refuse de revenir à la maison de puis l'accusation de Peter, et ma mère qui au milieu de tout ces événements semble aussi perdu qu'un brin d'herbe dans une étendue de goudron, c'est plutôt agité. Tant et si bien que parfois cela frise le comique.

Mais avant que je ne puisse rétorqué quoi que ce soit concernant l'annulation de son voyage, le noir de ses yeux revient sur les miens. 

Elle me fixe, inquiète.

- Mais toi Asena ? Comment tu vas ? Tu as un peu dormi depuis mardi ? Tu as pris tes médicaments ? 

Et c'est reparti pour un tour. Elle m'a déjà fait le coup toute la semaine dernière. Je sais pertinemment pourquoi elle n'est finalement pas parti à Moscou. Je sais qu'elle est resté pour moi, et quelque part, ça me fait plaisir.

Notre relation est loin d'être fusionnelle. J'irai même jusqu'à dire qu'elle est presque neutre, comme si nous cohabitions tels deux colocataires. Alors ce soupçons d'inquiétude provoque malgré tout en moi un brin de chaleur. 

- Ne te fais pas de soucis pour moi. Tout vas bien.

À demi convaincue par ma réponse, elle s'avance vers moi et frictionne mes bras comme pour tenter de me réchauffer, avant de laisser retomber les siens le long de son corps, épuisée.

Désespérément résignée.

- Tu sais, c'est... c'est terrible mais... Je n'arrive plus à te croire. Murmure-t-elle.

Son sourire s'estompe et ses yeux redeviennent brumeux, quant à moi, je ne réagis pas. Je sais que ma tentative de suicide l'a boulversé. Nous n'en avions pas vraiment parlé depuis l'hôpital. De toute façon dans cette baraque personne ne parle jamais à personne. Exception faite à Peter, mais lui c'est différent puisqu'il ne parle pas mais hurle à la moindre occasion. Et puis, je ne le considère pas franchement comme un membre à part entière de ma famille.

Pour moi, il n'est qu'une erreur.

Ce jour là, ma mère aurait mieux fait d'avaler.

Cette dernière empreinte soudain un air renfrogné et, les sourcil froncés, se corrige :

- Évidemment je ne t'accuse pas Asena. On est bien d'accord ? Tu n'es pas responsable de tout ça. Quand je dis que je n'arrive pas à te croire, c'est que le problème vient de moi. 

Je hôche la tête simplement, l'impression d'être un gosse de cinq piges dont les parents viennent de se séparer. 

Pathétique mais vrai.

Elle reprend. 

- Je crois que je suis passé à côté de trop de choses... Quand je pense à nous... Parfois j'ai peur d'être passée à côté de toi. Continue -t-elle à voix basse.

Ses yeux recommencent à rougir et je sens que cette conversation va bien me faire chier. Ma mère a beau faire tous les efforts du monde, je crois que nos conversations ne rimeront jamais à rien.  Elle n'a jamais été faite pour être mère. Toutes ses tentatives maternelles se sont soldées par de cuisants échecs. 

Enfant, la nourrice me donnait bien plus d'amour en jour qu'elle en un an. 

Mais je ne peux pas l'en blâmer. Son boulot était harassant. Néanmoins je me demande qu'est ce qui pourrait lui faire croire que cela va subitement changer aujourd'hui ? Nous sommes identiques. De ce fait je la connais mieux que personne. Nous détestons les conversations. Et nous sommes terriblement nuls pour exprimer nos sentiments. 

Continuer cette discussion reviendrait à pisser dans un violon.   

- Maman. On parlera de ça à un autre moment. Je dois...

- Non. S'il te plais écoute moi pour une fois Asena ! S'agace-t-elle.

Elle saisit fermement ma main et m'entraine vers le fauteuil du salon où je m'assois et saisi hâtivement le plaid qui y trône pour recouvrir mon corps à moitié nu. 

Putain elle à vraiment bien choisi son moment. 

Je repense momentanément à Lily est à ses yeux doré qui m'attendent à l'étage. Chaque seconde loin d'elle me semble durer une éternité.

Putain. Je suis drogué ! 

Après une longue inspiration durant laquelle elle triture ses bagues nerveusement, la voix assurée de ma génitrice coupe mes réflexions fantasques.

- Je sais que l'on ne parle pas souvent tous les deux... Et je m'en veux. Nous avons un caractère introverti, nous nous effaçons, nous ne nous exprimons pas beaucoup... C'est assez difficile de nous cerner. De plus, le caractère impétueux de ton frère prend souvent le pas sur le tien, plus réservé. Je sais que tu es très sensible... Me confie-t-elle

Je reste impassible. Elle croit m'apprendre quelque chose ? Est-elle seulement au courant que je vis dans le même monde que le sien ?  Mais je crois que le pire reste le fait qu'elle s'adresse à moi comme plaiderai l'avocate face au tribunal de sa vie. 

- ...Je m'en veux terriblement d'avoir pu te donner l'impression d'abandon face aux caprices de ton frère... Sache qu'il n'y a pas une seule seconde depuis ta naissance où je ne pense pas à toi.

Instant émotion. Merci, non merci.

Il y a bien une raison pour laquelle nous ne sommes pas proche et elle le sait. Elle n'aurait jamais dû pardonner Peter. Mais elle l'a toujours fait. Et maintenant qu'il est dans la merde jusqu'au cou, elle se rabat sur moi. Je suis son nouveau protégé, l'enfant aux problèmes à résoudre.

Je fais donc signe d'acquiescer ses dires une énième fois pour qu'elle me fiche la paix et commence à me relever en direction de quelqu'un qui en vaut réellement la peine. 

Ça va bien un moment mais faudrait pas non plus lui donner l'impression que sa transformation Caroline Ingalls fonctionne avec moi.

Mais étonnamment elle ne se dégonfle pas et me fais signe de rester à ma place.

- Je n'ai pas fini. Reste assis. J'ai besoin de te parler. Coopère un peu bon sang ! Pour une fois ! 

Cette fois ci sa voix se brise. Elle perd momentanément le contrôle ce qui me laisse entrevoir l'ampleur de son trouble. 

Attention Margaret, ta carapace semble s'être fissurée...

- Ton père et moi...On t'a bien souvent oublier, trop soucieux de gérer Peter et son caractère querelleur, ses crises d'adolescence, ses rebellions, ses fugues, ses problèmes... Et aujourd'hui j'ai la sensation d'être passé à côté de mon fils, de ne pas avoir su comment t'aborder. Et je... je te demande pardon de ne pas avoir vu ton sourire se transformer et autre chose...

Qu'est ce que je disais... Je sais très bien qu'elle se sent coupable. Mais c'est trop tard. Le mal est fait.  Néanmoins je ne me permettrait jamais de le lui dire. La froideur de nos échanges ne le lui explique que trop bien. Je décide donc de couper court à cette conversation -que dis-je- ce monologue sans queue ni tête.

Celle qui mérite toute mon attention ne se trouve pas dans cette pièce. 

Lily est pourtant la seule à pouvoir m'aider.

Je me relève alors calmement et la quitte sur ces mots :

- Ça sert strictement à rien de broyer du noir comme ça. Je ne t'en veux pas. Alors arrête d'y penser. Passes à autre chose. Et s'il te plais, arrête ton plaidoyer. Je suis ton fils, pas ton client.

Le ton de ma voix ne contient aucune amertume. L'insolence ne fais pas partit de mes habitudes. Néanmoins, je choisi d'être cash pour m'éviter une énième explication avec elle.

Simple mais efficace. Cela nous fera économiser du temps et de la salive. 

Alors satisfait de mon coup, je remonte tranquillement les marches une à une, apaisé qu'elle ne me retienne pas.

Puis, étrangement, au fur et à mesure que le gravis l'escalier, mon coeur s'alourdit.
Une mauvaise impression s'insinue en moi, et arrivé à mis chemin entre les deux femmes de ma vie, je prends conscience de quelque chose. 

Moi qui ne fais que penser à Lily, je ne me met jamais à sa place. 

Elle qui a perdu sa mère. 

Lily, cette fille qui n'aura plus jamais la chance d'arranger les choses. 

Lily, qui, dans son coeur, aura toujours le regret de ne pas avoir su pardonner.

Lily, qui, très certainement, à entendu notre conversation. 

Si elle était à côté de moi je sais ce qu'elle me dirait. Elle me supplierai de faire un pas vers ma mère, de lui parler, de m'excuser et de la chérir. 

Mais elle ne me conseillerai pas cela uniquement dans l'optique de ressouder mes liens familiaux, non, elle me supplierai de lui obéir pour que je me réconcilie avant tout avec moi même. 

Je crois que c'est la première fois que je me rend compte que tout est lié. Lily me sauve en me guidant vers se qui s'apparente être le vrai moi.

Je me sens soudainement con. Il faudrait être aveugle pour ne pas voir que ma mère, aussi imparfaite soit-elle, tente tant bien que mal de faire des efforts pour ce rapprocher de moi. De plus la connaissant elle a certainement pris sur elle pour venir me parler. Je peux comprendre à quel point ça lui a coûté de se livrer à moi, maladroitement, certes, mais elle à fait le premier pas. 

C'est à moi de faire le second.

Je peux critiquer la façon qu'elle a de m'aimer mais je ne peux nier l'existence de son amour. 

Je tente alors un coup d'oeil vers le salon et la découvre recroquevillée sur le canapé, la tête dans les mains. 

Je fais demi tour. 

Parfois dans la vie il faut savoir mettre de l'eau dans son vin et savoir pardonner. Mais ça aussi, c'est Lily qui me l'a enseigné.

Être plus vicieux que sa fierté. 

Être plus vaillant que son orgueil.

Cette fois ci, face au canapé et accroupis à sa hauteur, j'adopte un regard nouveau sur la femme se tenant devant moi. 

C'est une femme comme les autres, avec ses qualités et ses défauts, ses craintes et ses espoirs, ses échecs et ses victoires.

Et je ne veux pas être son nouvel échec. Elle ne mérite pas ça. Et moi non plus.

- Je suis désolé. 

Son visage se relève vers moi. Tout d'abord étonnée, ses yeux se baladent sur les formes de mon visage comme pour s'assurer que je ne suis pas un mirage.
Ma main viens chercher les siennes.

- Je suis désolé. Je n'ai pas mesuré l'impact de mon acte. Je suis désolé de ne pas avoir su te parler de ma détresse, mais à vrai dire, ma lâcheté m'empêchais moi même de m'y confronter. Je suis désolé de te faire vivre un enfer avec tous mes problèmes, car je suis persuader que tu as d'autre choses à te soucier en dehors du fait de savoir si ton fils va "recommencer"... Maman, je sais que tu n'es pas partie à Moscou pour moi. Et ça aussi, j'en suis désolé. 

Comme pétrifiée, ses mots ont du mal à sortir.

- Désolé ? Mais... Mais... Tu n'as pas à être désolé ! Tu n'es pas coupable ! Tu... tu sais, parfois le courage ne suffit plus... et pourtant je sais que tu en as! Tu es fort, tu es battant. Tu as tes forces mais aussi tes faiblesses ! Comme tout le... 

Je la coupe d'un signe de la main, prends une grande inspiration et poursuit.

- Je sais beaucoup de choses. J'en sais même peut être trop. Mais ce que je sais par dessus tout c'est que peu importe le nombre de fois que l'on se parle dans une journée tu seras toujours ma mère. La seule et l'unique. Et ce que je sais aussi c'est que peu importe les raisons qui m'ont poussé à commettre le pire, tu n'en fais pas parti. C'est important pour moi que tu le sache. J'ai trop longtemps enduré la culpabilité pour savoir qu'elle est la pire des alliées. Maintenant ce que je voudrais c'est que tu sèche tes larmes et que tu respire un grand coup. 

Elle m'écoute attentivement comme fascinée par mes paroles et, à l'aide de son mouchoir, essuies ses joues.

- Tu sais très bien que je n'ai pas l'habitude de m'exprimer sur ce que je ressens. Mais il n'est jamais trop tard pour commencer. Et ça je l'ai compris le jour où j'ai cru que tout était terminé... D'ailleurs si je suis ici aujourd'hui, si je te parle et si je souris, ce n'est pas un hasard. J'ai... J'ai rencontré quelqu'un, une fille formidable. Si tu pouvais la voir tout comme je la vois, tu comprendrai à quel point elle m'a aidé, à quel point sa présence me fais sentir vivant et à quel point je l'aime.

Le regard de ma mère s'illumine, un halo de lumière fait étinceler les perles salées menaçant de s'échapper au coin de ses paupières. 

- ... Je...Je...Je suis vraiment, vraiment très heureuse pour toi...

Sur ces mots, ses bras s'enroulent maladroitement autour de mes épaules. Ce contact est si rare entre nous que son inhabituelle puissance me blesse momentanément. L'odeur de son parfum vanille me rappelle les effluves de mon enfance. C'est doux, réparateur. 

- Tu mérite tout ce qu'il y a de mieux mon ange... J'ai espéré si longtemps que quelqu'un te redonne le sourire... Murmure-t-elle contre mes cheveux.

Nous restons quelques instants dans cette position puis ma mère rompt le contact puis dépose un timide baiser sur mon front.

- Je... Je vais préparer le repas... Si tu as besoin de quoi que ce soit je suis dans la cuisine...

- D'accord. Merci. 

Un sourire plaqué au visage, elle s'apprête à quitté la pièce le coeur léger puis se retourne finalement vers moi :

- Je serai vraiment ravi de rencontrer cette personne... 

- Tu la connait déjà. 

Interloquée, elle semble fouillée dans ses idées, quand soudain les joues rosies, elle m'annonce : 

- Mais... Mais... Tu ne m'a jamais présenté personne !... Enfin... Oh ! Mais... Je pensai que vous étiez amis ! Qu'elle nouille ! En tout cas ce garçon à l'air très gentil... Et puis, ses cheveux arc-en-ciel sont charmant ! 

Confus, je fronce les sourcils un instant avant de comprendre le quiproquo et que l'hilarité s'empare de moi.

- Bordel t'es pas sérieuse ?! Jugh' n'est pas mon mec ! Et je suis pas gay ! Où tu vas chercher tout ça ?!

Terriblement gênée, elle rougie instantanément avant de me rejoindre dans mon euphorie. 

- Mais je ne sais pas ! C'est la seule personne que tu m'a présenté c'est deux dernières années ! 

- N'importe quoi, tu as déjà vu Jordan ! Lui rappelé-je.

- Oui mais il à une copine celui là ! Et ce n'est pas un crime d'être gay ! Tu ne m'a jamais présenter de fille ! J'ai le droit de me poser des questions ! 

Je peine à reprendre mon souffle. Mon estomac me blesse tant j'ai rit. Je note que c'est la première fois depuis une éternité que nous partageons un réel moment de complicité.

- Enfin... Réfléchis un peu. Tu en as bien vu une !

- Et bien... Je ne vois pas du tout...

Je la laisse chercher un instant puis, impatient, lui avoue.

- Elle s'appelle Lily. Lily Krauser... Ça ne te dis rien ? 

Ma mère penche la tête d'un côté, perdu dans ses pensées, puis soudain plaque sa main devant sa bouche les yeux exorbités. 

- Mais oui ! Mais bien sûr ! C'est la fille du bibliothécaire ! Bon sang ! Que je suis bête ! J'aurai dû y penser plus tôt ! 

- Oui tu aurai dû... Plaisanté-je.

-... Alors c'est donc elle... Je suis vraiment heureuse... Elle m'a donné l'impression d'être une personne très douce et passionnante ! Dis lui bien qu'elle est la bienvenu à la maison ! Je serai ravie de la rencontrer une seconde fois ! 

Puis son enthousiasme se brise et, soudainement intimidée, cette dernière ajoute plus discrètement :

- Enfin, si tu es d'accord. Surtout ne te force pas. Je ne veux surtout pas te mettre de pression ! C'est ta vie mon ange. Je ne t'impose rien, tu vas à ton rythme.

- Si, vraiment. Ça me ferai plaisir que tu la rencontre. L'interrompt-je.

À cette annonce ses lèvres s'étirent encore un peu, et cette dernière, après m'avoir excessivement souri, tourne les talons en direction de la cuisine, plus heureuse que jamais.

Quand à moi, assis sur le cuir du canapé, j'entrevois l'esquisse de se qui s'apparente à du bonheur. 

Et tout cela en parti grâce à elle, encore une fois.

Je remonte paisiblement les marches, et lorsque je tourne la poignée de la porte je découvre ma belle brune le drap noué autour du corps et les yeux étincelants de joie. Assurément elle à entendu notre conversation, comme je l'avais présager.

Chaque millimètres dévoilant un peu plus la perfection de son sourire me fait réaliser la justesse de mes actes. Et je ne comprend l'entièreté de sa fierté que lorsque son corps vient s'abandonner contre le mien dans un engouement passionnel.

Puis tandis que j'embrasse chaque parcelle de sa peau frissonnante, qu'elle encercle ses jambes autour de mes hanches, qu'elle répète mon prénom comme si c'était une évidence, je sombre un peu plus loin dans l'amour. Dans le besoin des autres. 

Dans le désir que connaitre autre chose que la douleur et la rancoeur. 

Et au fond de moi, le saignement de mon coeur se tari.

❄︎  ❄︎  ❄︎  ❄︎  ❄︎  ❄︎  ❄︎

OMAGAD C'EST LE RÉVEILLON !

Et qui dit Noël, dit chocolat, chocolat, chocolat et... chocolat !!!!

(Effectivement, cette perspective me rend très enthousiaste MDR)

Breffouille, **je remet mes lunettes d'intello/auteure/enfant sérieuse** aujourd'hui ce fut au tour de Margaret de s'ouvrir à nous !

La figure maternelle n'avait pas encore été abordée, de plus,  il est important de replacer le cadre familial de notre Asena national pour mieux comprendre certains événements antérieurs à ce chapitre... 

Alors comme d'habitude j'espère qu'il vous a plu et vous dit à bientôt pour de nouvelles aventures !! 

GROSSE ANNONCE :

UN CHAPITRE BONUS A ÉTÉ PUBLIÉ !
RDV AU DEBUT DE L'HISTOIRE !

Ps : On frôle la fin de l'histoire les trésors... 😇

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