La lettre de ma vie (Tome 1)
« Chère Demi Lovato,
Je m’appelle Alissia, j’ai 14 ans et je t’écris pour me raconter ma vie, la lettre peut être longue, mais j’aimerais que tu la lise, tu verras mes joie, mes peine, mon chemin, les endroits ou j’ai trébuché mais aussi toujours relever et tu verras ou tu es rentré dans ma vie. S’il te plaît, lis cette lettre jusqu'à la toute fin. Et si tu veux répond y.
Et bien, je suis née le 7 juillet 1999, j’ai un grand frère. Mon frère et moi avons toujours été proches, il m’énerve, mais s’il lui arrivait quelque chose, jamais je ne le supporterais. Mes parents se sont séparer quand j’avais 8 ans, et ma vie c’est détérioré peut a peut, mais elle avait déjà commencé à être moche, mais ça n’a pas du tout amélioré les choses, loin de là. Quand j’étais jeune, je n’étais pas très sociable, les gens me rejetais, même en maternelle, cette place ou tout les enfants jouent semble sans se soucier de rien, et bien, j’étais mise a part, hors du groupe. Ont m’as toujours dit : vas jouer avec les autres, vas leur parler. Mais quand je le fessais, les autres partaient. J’ai appris à être seule. Mais la solitude, je ne l’aime pas. Les années ont passé et en 4e année du primaire, les grand des années plus haute que moi venais m’énerver, me traiter de pleins de nom. Je savais ce que tout le monde pensait de moi. J’étais un petit rejet, que personne n’aimait, qui pleurait, mais qui ne disait rien. Mon frère a 3 ans de plus que moi, alors, il était au secondaire dans une autre école quand les gens se sont mis à me traiter de plein de nom, à dire pleins de chose dan mon dos, a même venir me les dirent en pleine face.
Les années ont passées, j’étais maintenant au secondaire, première année du secondaire, et mon frère en 4e année. J’étais contente d’être enfin dans la même école que lui. Mon frère était grand, fort, gentil, aimable, il avait de tat d’amis. Quand a moi, j’étais encore le rejet, la laideronne de l’école, en fait en premier secondaire il n’y avait pas grand monde que je connaissais, les autres, en fait la plus part, étaient aller dans les écoles privé, mais moi j’étais rester au publique puisque je n'avais pas du tout le gout d'aller au privé, et moi, changer d’école pour continuer à être avec les mêmes personnes qui m’insultaient… et bien, devine, ça ne me tentait pas. Le matin je me rendais a l’école en marchant avec mon frère, ont passait et rentrait par les portes de derrières. Personne ne nous voyaient ensemble, parce que une fois a l’intérieur, il allait a son casier et moi au mien, nous n’étions pas dans le même secteur de casiers, alors, ont ne se revoyait que après l’école pour marcher jusqu'à chez nous et encore là, des fois, je lui disais que j’allais a la bibliothèque parce que je ne voulais pas lui montrer a quel point je souffrais. Même dans une nouvelle école, les gens me jugeaient. Les gens parlaient dans mon dos. Mon frère n’a jamais rien sut sur mon primaire horrible. Et j’avais l’intention de ne pas le lui dire, jamais. Il était protecteur, ce que j’aimais bien, il était mon frère mais aussi mon meilleur amis, celui qui m’aidait avec mes devoirs, me motivait. Ma mère travaillait beaucoup, en fait, elle travaille tpour oublier je croix mais elle gagne beaucoup plus d’argent que nous n’en avons besoin, il n’y a que moi, mon frère et ma mère. Nous vivons dans une maison, nous avons tous notre chambre, grande, nous avons aussi chacun notre salle de bain. Notre maison est grande. Il y aurait eu de la place pour papa. Mais il n’est plus avec nous. Alors, ce que je disais c’étais que je ne voulais surtout pas tout dire à mon frère. Mais je croix que c’étais au milieu de ma première année du secondaire, il y a eu cette journée…
J’étais a mon casier, je ramassais mes chose, et quand j’ai levé la tête, j’ai vue mon frère qui parlais avec cette fille, elle était en deuxième secondaire, je la détestais. C’était une fille très populaire. Et elle me poussait toujours quand elle passait à coté de moi, parfois, elle me trouvait avec ces amis, et ils m’encerclaient tous, et se mettais à me dire plein de chose… des choses que je n’ai jamais oublié, des choses horribles. Alors, mon frère marchait avec ce monstre et j’avais l’impression qu’ils venaient vers moi, alors, je me suis dépêcher pour partir, j’ai été obligé de passer près de eux, priant pour que mon frère ne me voit pas. Mais trop tard… il me prit par la main et…
- Ali!
J’ai lentement relevé la tête puisque je regardais mes souliers. Quand j’ai levé les yeux vers lui, j’ai regardé Cassie, c’était son nom à la fille, elle avait cette expression troubler.
- Peter? Que fais-tu?
Lui a-t-elle demandé avec ce ton interrogatif pour ne pas dire de dégout.
- Cassie, je te présente Ali.
- Je sais qui est cette fille, mais pourquoi me la présente tu?!
Elle cracha ces mots comme si elle était offusquée.
- C’est ma sœur, Ali, je te présente Cassie, une amie.
- Quoi? Ahahha… très drôle, ce n’est pas ta sœur… elle est… elle est…
Mon frère regarda Cassie tout en se tournant vers elle, pendant que je baissais la tête.
- Elle est comment? Comment est ma sœur?
Mon frère la regardait toujours, et je savais qu’il la regardait avec un regard dur, j’avais entendu le changement du ton de voix qu’il avait. Et moi je sentais les larmes couler le long de mes joues. J’avais tout fait pour qu’ils n’apprennent rien. Et il sait tout maintenant, en fait presque
- Comment est ma sœur.
Il avait pris le temps de bien détacher les mots.
- Elle est rejet.
Elle devait avoir vue que mon frère ne plaisantait pas, qu’il disait la vérité. Elle n’a rien dit d’autre et est partie. Quand mon frère c’est retourner vers moi, je ne l’ai pas vue, mais je savais qu’il était déçut, je ne voulais pas lui montrer mon visage, et je fixais encore mes souliers.
- Ali…
Je ne voulais pas l’entendre, je ne voulais pas. Je suis parti à courir, j’ai sortie de l’école et j’ai couru vers la maison. Il ne me suivait pas, si oui, je ne le voyais pas, la maison était à 3 ou 4 minutes de l’école, alors, j’ai décidé de cours jusqu'à la maison. J’ai enfoncé la clé dans la serrure et je me suis précipiter dans ma chambre. J’avais barré la porte, et quelques minutes plus tard, j’ai entendu mon frère rentrer a la maison et cours pour frapper a ma porte, crier de lui ouvrir, je ne voulais pas, a un moment, les coup devenaient de plus en plus lents et moins forts. Je n’avais pas répondu quand il appelait mon nom.
- Ali… je t’en supplie… ouvre moi…
Je n’ai pas répondu, mais je pleurais toujours sur mon lit, je fessais de mon mieux pour ne pas faire de bruit, pour faire comme si je n’étais pas là.
- Ali, je t’entends pleurer, laisse moi t’aider, ouvre.
Je n’en pouvais plus, je me suis lever, mais pas pour lui ouvrir la porte, je me suis enfermer dans ma salle de bain, soit il avait abandonné soit je ne je l’entendais plus. J’ai pris une douche, je sentais la colère monter en moi, la peine, j’ai regardé mon ventre, j’étais mince, pas anorexique je te l’assure, mais dans la dernière année, j’avais perdu du poids, non, je ne veux pas perdre du poids, je n’ai pas arrêté de manger, quoi que oui, parfois au diner je ne mangeais, parce que c’étais pénible aller a la cafétéria… mais bon, j’avais commencer a faire un peut plus de sport. Même si quand les gens m’intimident j’ai l’air d’avoir seulement peur d’eux, il y a aussi la rage. Alors, parfois quand mon frère s’entrainait dans le sous sol, je m’entrainais moi aussi. Mais bon pour en revenir a mon ventre, sur la droite de mon vendre quelques centimètres plus bas de la fin de mes cotes, il y avait une cicatrice. Elle était récente quand même. À peine un mois. Et c’étais dans ma salle de bain que je me l’étais faite. Je me l’étais faite. Je n’étais pas tombé, je me l’étais infliger. J’avais commencé à me mutiler. À me faire encore plus mal, à me faire souffrir encore plus que j’en soufrais déjà. À date, je ne me l’étais faite qu’une fois, mais cette soirée là, je me suis faite une deuxième «blessure». J’avais laissé le sang couler et j’avais bandé ma blessure. Quand je suis revenue dans la chambre, j’ai mis un chandail et un pantalon de pyjama. Je m’étais couché dans mon lit, entouré de mes peluches, mes meilleurs amis. J’avais un jour entendu a la radio, une personne dire que son meilleur amis était son miroir, car il nous montre qui nous sommes vraiment et c’est la seule personne qui ne rira jamais quand nous pleurons. La personne avait raisons. Et ce soir là je m’étais regardé dans le miroir. Mes longs cheveux encadraient mon visage. Mes yeux bleus étaient bouffis, et mon visage strier de mes larmes. J’étai perdu, les gens me disaient plein de choses, et ces choses je les entendais en répétition dans ma tête, au début, j’essayais de ne pas les écouter, de les ignorer, mais, je me suis mise rapidement à penser que si tout le monde le disaient, si tout le monde le pensaient, ça devais être vrais. Je m’y suis mise à y croire. Et maintenant, quand je me regarde dans le miroir et que j’essai de me convaincre que ce n’est pas vrais, que je suis belle, je sais que même moi je ne me croix pas, je sais que je me mens. Et cette soirée là, je suis allé dans la chambre de mon frère, il était sur son ordinateur et quand il m’a vue entrer dans sa chambre, il m’a regardé et m’a assise sur lui et m’a sérer contre lui. J’ai continué de pleurer. Pendant que je pleurais il n’a rien dit, mais quand j’ai commencé à me calmer. Il m’a demandé :
- Depuis quand Ali? Depuis quand?...
- Tou…touj…toujours…
Je lui ai répondu avec difficulté.
Et dans les jours qui ont suivi, mon frère prenais souvent de mes nouvelles, il me demandait si j’allais bien. Je lui mentais, je lui disais que tout allais bien depuis que je lui en avais parlé. Mais bien sur, mon frère n’est pas dupe. Il savait que je lui mettais, mais il devait se dire que je ne voulais pas en parler, ce qui était totalement vrai. Rendu aux vacances de Noëls, maman nous a annoncée qu’elle n’allait pas passer noël avec nous, à l’hôpital, il avait besoin d’elle, nous comprenions, elle était médecin et elle sauvait des vie, nous comprenions mais bien sur nous étions déçus. Et à noël, maman nous a tout les deux offert un Iphone. Quesque j’allais bien faire d’un Iphone? Et bien, je pouvais écouter de la musique, mais je n’écoutais pas vraiment de musique. Mon frère lui sautait de joie, et m’a prise par les mains pour me tirer vers lui. Ce qui m’arracha un petit cri de douleur, même si ma «blessure» avait cicatrisé, j’avais encore un peut mal. Et bien sur mon frère avait entendu mon cri. Il baissa les yeux pour voir les mains, bien sur j’avais été intelligente, j’avais mis un chandail à manche longue pour masquer la cicatrice. Mais, malchance pour moi, ma manche était retroussée. Il n’a pas lâché mon bras ou j’avais la cicatrice mais l’autre oui pour utiliser sa main pour remonter la manche de son chandail. J’essayais je me retirer de l’emprise de mon frère, mais il était plus fort que moi, il a regardé la cicatrice pendant un moment, puis m’a lâcher pour me regarder avec un regard surpris, mais surpris pour une mauvaise raison, j’ai vue ces yeux, plein d’eau et je me suis rendu conte que moi aussi j’avais les yeux mouiller par mes larmes. J’avais mis mes bras dans mon dos et mis ma main sur la blessure. Et il m’a regarde un moment avant de murmurer :
- Ali-chou…
Il m’avait ouvert ces bras et je m’y suis lancer, il a refermé mes bras autour de moi. À ce moment, j’avais un certain bonheur, mon frère, mon meilleur ami, mon seul ami, il savait tout à ce moment là.
Le lendemain, j’écoutais la télévision, je ne sais plus c’étais quoi, mais il y a avait toi, Demi, sur l’écran de ma télévision. Et tu parlais, de ton enfance, de ton adolescence. Et dans l’histoire que tu as racontée, (ta vie) je me suis reconnue, tu disais avoir été exclu des autres, de t’être fait intimider, que tout le monde te traitait de plein de nom, tu disais t’avoir mutilé. Je me suis reconnue dans ta propre histoire de ta vie. Tu avais vécu des choses atroces dans ton passé. Mais, a ce moment là, ou je te regardais, tu étais à la télévision. Et je me suis dit : cette personne a vécu ce que j’ai vécu, mais elle n’a jamais baissé les bras. C’étais la preuve que même si la vie est dur, ont peut faire ce que l’ont voulais.
A ce moment là, je me suis juré à moi-même d’arrêter de me faire mal. Je me suis promis a moi-même que un jour je serais heureuse, qu’a partir de ce moment là, j’allais arrêter de l’apitoyer sur ma vie, que j’allais tout faire pour être heureuse. Et dans les jours, les semaines les mois qui ont passé, je me suis affirmé. Les fois ou les autres venaient me dire plein de choses, je me dégageais, et leur disait que je me foutais de ce qu’ils pensaient et que j’avais trop longtemps été leur souffre-douleur, et que c’étais fini. Ils m’ont lâché, et à ce moment là de ma vie où j’ai commencé à m’aimer moi-même, je devenais de plus en plus heureuse. Tu m’as sauvé la vie si ont peut dire. Je me suis trouvé des amies qui m’aimaient pour ce que j’étais, pour celle que je suis. Tu m’as aidé à devenir celle que je suis aujourd’hui.
Je te remercie pour toute l’aide qu’inconsciemment tu m’as donné. Croix moi, je ne croix pas être la seule que tu as aidé. Après t’avoir écouté a la télé, je suis allé mettre sur mon Iphone toute tes chansons, et une des mes préférés est : This Is Me. Même si cette chanson est vielle, moi je l’aime. Il y a aussi Skyscrapper. Et j’ai commencé a écouter beaucoup de musique, mais surtout des chansons qui veulent dire quelque chose, une autre de mes chanson préféré est : Who you are de Jessi J. il y a Aussi True Collors. Ces Chanson me touchent personnellement parce que je me suis rendu conte que la personne que j’étais avant n’étais pas vraiment moi, que la personne que je suis réellement est merveilleuse à sa façon.
Et grâce à toi, j’ai découvert une passion, la musique. Je me suis mise à chanter dans la chambre en premier. Ensuite, il y a eu mon frère qui est venue me voir pour me dire qu’il m’avait entendu chanter. Il a demandé à maman de m’offrir comme cadeau de fête des cours de chant, ce qu’elle fit. J’étais folle de joie. Depuis, je chante, partout quand je le peux, je suis rentré dans une chorale, j’ai chanté a un spectacle de l’école, je chante dans ma douche, dans ma chambre le soir ou le matin.
Si il y a quelque chose que j’ai appris, c’est que la vie peut être dure, mais jamais il ne faut baisser les bras, il faut persévérer et continuer d’avancer.
Depuis, ma vie c’est amélioré. Je suis mieux dans ma peau. Je dois te remercier pour ce que tu as fait pour moi, mais aussi pour des milliers d’autre jeunes, que tu as aider et inspirer.
Merci de m’avoir aidé, merci aux noms des millions d’autres jeunes
Alissia
-xox-»
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