Chapitre 4 : L'embuscade et la nuit

Le périple devait durer pendant un jour et demi. Normalement il fallait à peu près une journée pour atteindre Arinthod mais la végétation se faisait dense et gênait nos aventuriers. Ben ouvrait la marche avec un merlin, qu'ils avaient trouvé dans une coupe de bois abandonnée, dans les mains. Il était suivit de Florian et de Maëva qui avait leurs arcs à l'épaule. Corentin et Maud fermaient la marche. Ils étaient partit depuis trois heures et avaient parcourus au moins cinq kilomètres. Ils avaient fait quelques pauses pour se désaltérer. Tout se passait bien, jusqu'à ce que Ben s'arrête.

- Qu'est ce qui ce passe ? Demanda Maud.

- J'ai cru entendre un bruit. Répondit Ben. Non je crois que j'ai rêvé.

Et ils reprirent le chemin. Sur le chemin ils se racontèrent leur passé. Ben s'appelait Benjamin, il était venu à Thoirette pour voir de la famille. Florian était fils de fermier si la Tempête n'était pas venus il aurait reprit la ferme. Maëva avait déménagé depuis peu, elle vivait avant la Tempête avec sa mère et ses deux deux sœur. Celles ci sont mortes lors de la Tempête.

Ils s'étaient arrêté dans une clairière au alentour de midi pour manger un bout. Ils se massèrent les pieds rempaquetèrent leurs affaires et commençèrent à partir. Mais une flèche fendit l'air et rata de près Corentin. Une dizaine d'homme en armure sortirent des buissons les arcs pointé vers nos héros.

- Rendez-vous ! Vous êtes cernés ! Beugla un homme au crâne rasé et remplit de tatouage de la tête au pieds.

Ce qui impressionnât les aventuriers ce fut que ces hommes furent des adultes non transformés en mutants. Mais ils n'avaient pas l'air très aimable. Alors Corentin sortit son katana de son fourreau et les autres ados firent de même. Corentin ce mit en position de garde et murmura

- mais pas niqué ! Ce rappelant du film humoristique américain « Hot Shot 2 »

Les preneurs en embuscade dégainèrent leur épées et se ruèrent sur les ados. Corentin esquiva un coup d'épée et d'un mouvement ample planta le fil de son arme dans la jugulaire de son assaillant. Un long jet de sang sortit du cou de l'homme et le corps tomba dans un bruit sourd. Corentin choqué par ce qu'il venait de voir perdit les esprits quelque instant. Une douleur se réveilla dans sa cuisse et s'aperçut qu'on lui avait planté une flèche dans la jambe. Il se retourna et fit face à un autre assaillant. Après quelque esquive et parade, il blessa à la jambe son adversaire. Un coup lui fut porter sur la tête et il perdit connaissance.

Il reprit connaissance quelque heures plus tard il se trouvait dans un camp, sur une table, attaché par les chevilles et les poignets. Il testa la solidité des cordes qui s'avéraient plutôt robuste. Il regarda autour de lui. Il était dans une grande tente remplit d'instrument de torture. Une scie par-ci un scalpel par-là. Il se rappela quand il faisait semblant lui et ses amis d'être sadique. Il regretta cette période. Un homme rentra dans la tente . Il avait de long cheveux bordeaux avec un regard sévère et portait une cotte de maille. L'homme prit la parole :

- Alors comme ça on tue un de mes hommes ? Demanda t-il

- Je ne l'ai pas fait exprès, répondit Corentin, s'était un accident, que de la légitime défense.

- De la légitime défense ! Où allez vous chercher tout ces mots ? Demanda t-il. Mais bon on est pas là pour discuter de défense ou autre chose. Tu est là pour me dire où ce cache tes amis.

- on est que nous cinq, mentit Corentin

- Je vois tu ne veut pas me le dire. Très bien. Tu sais la torture est très pratique mais certaine fois elle ne sert à rien. Elle peut être sympa pour sa victime. Par exemple ! Tu vois cette chaussure, dit-il en lui montrant une chaussure en métal avec une manivelle au bout. Elle aussi bénéfique pour celui qui la chausse et le bourreau, car si la victime coopère et que celle ci avait de grand pieds. Il trouveras plus facilement des chaussures à sa taille. Mais aujourd'hui je veut tester autre chose. J'ai trouvé ceci en ville, fit-il en saisissant une bouteille. Il y a un petit dessin avec un œil barré je voudrait bien savoir ce que ça fait. Sur ses paroles il prit une cuillère et en versât dans un gobelet. Il s'approchât de sa victime et commençât à renverser le contenu dans les yeux du malheureux. Celui ci fermait les yeux mais le liquide passa entre les paupières. Ses yeux ce mirent à brûler et la douleur s'intensifia. Il hurla et commença à voir flou. Et puis le noir complet. Il perdit connaissance pour la deuxième fois de la journée.

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