Chapitre 2: Le nouveau monde

Corentin était tout endolorie. Il était allongé sur la route qui était bordé par la forêt. Aucun signe de tempête comme ci celle de la veille avait pas eu lieu. L'eau recouvrait l'ancien village. Quelqu'un était penché sur lui et lui donnait des petite claque pour le réveiller. Corentin ouvrit les yeux et vit un garçon blond s'était Samuel son pote qui était aussi un voisin.

- Qu'est ce qui ce passe? dit Corentin en se frottant le crâne et en se remémorant les événement de la veille

- Ch'ais pas, mais c'est bizarre le barrage pété, des éclair nous a foudroyé et les parents ont disparus.

Ceci était vrai aucun adulte était visible. Que des tas d'habits de ça et là. Et des enfant qui pleurait à la disparition de leur parents

- On a juste vue des sorte de mutants entre l'homme et le bouledogue. Ils se son enfuient quand on s'est réveillé. Tien.

Samuel tendit un katana à Corentin. C'était celui de son Grand-père.

- Merci comment la tu retrouvé.

Il avait lâché son katana quand l'alerte a sonné et ne l'avait pas pris.

- Ch'uis passé chez quand ça a sonné mais tu était partis. J'ai vus le katana que tu m'avait envoyer en photo alors je l'ai pris.

- Merci. Solène elle et où?

- Là! répondit une petite voix derrière lui.

Il se retourna et prit Solène dans ses bras. Une voix féminine l'appela. Son cœur fit un bond et vit Maud courir vers lui. Il lâcha Solène et pris sa petite amis dans ses bras et ils s'embrassèrent.

- T'es vivante c'est incroyable.

- Toi aussi t'es vivant.

- Bon! Je sais que s'est les retrouvailles mais on fais quoi,là? Grogna Samuel.

- Il faut qu'on s'organise et qu'on rassemble tout les enfants. Continua Corentin.

- D'accord!

- Ceci ne fut pas mais pour avoir le silence pour pouvoir parler ce fut une autre paire de manche.

- Excusez-moi, s'il vous un peu de silence. Criait-il en au d'un rocher

tout le monde se tut.

- Merci. Je vous parle en se moment pour vous dire que nous avons pas le temps de pleurer. Il faut qu'on s'organise.

- Il a raison, cria un gamin.

- Ouais mais on commence par quoi, annonça une fille.

- Je ne sais peut-être par faire des abris je ne sais pas!

- Ouais commençons par faire des abris.

- Mais où?

- Bah! Dans la forêt!

- Ouais allons-y! Ce qui ce sente pour travailler venez!

Une vingtaine d'ados prirent la direction de la forêt suivit de quelle-que enfants qui ne savait pas quoi faire. La construction des abris s'organisa rapidement. Des enfants allaient chercher des grand bout de bois, d'autre les assemblaient pour faire des sorte de grillages, certain faisaient des fagot avec des grandes herbes qu'ils avaient trouvé et les mettaient sur les grilles de bois. Les derniers prenaient le travaille et les assemblaient pour faire des abris. Mais quelle que chose perturbais Corentin. Il avait parcouru la forêt de long en large avant la tempête à ses temps libre et là, il ne la reconnaissait plus. Des arbres avaient poussé. La végétation était plus dense et il vit des arbres qui lui sont inconnus. Une flore complète avait poussé pendant la tempête. Il fit part de sa découverte à d'autre enfants qui ne comprirent pas autant que lui.

La matinée passa et une vingtaine d'abris pouvant accueillir une dizaine de personne étaient monté. Ceux qui était sur la route les rejoignirent et s'installa avec les autre dans les cabanes.

La faim commençait à ce sentir. Des enfants partir aller chercher à manger Corentin parti avec eux.

Il avait prit son katana en espérant trouver du gibier à abattre et au cas où un mutant comme lui avait décrit son amis l'attaquerait. Il cherchait un coin qu'il avait trouvé où des mûres poussaient à profusion. Il le retrouva sans problème. Il en goutta une. Elle était sucrés et avait un goût incroyable. Il cueilli des mûres et fit plusieurs aller-retour entre le camp et le mûrier. Quand il ne resta plus de mûres on les partagea entre eux mais se ne fut pas assez. Corentin essaya de chasser mais avec un katana c'est pas très pratique. Il réussit à avoir deux lapin mais rien d'autre. Il rentra au camp avec deux lapin. Il arriva dans une clairière et entendit un bruissement. Soudain une forme le plaqua au sol et vit un tête de bouledogue recouvert de pustule penché sur lui. De la bave coulait sur son visage. Il donna un coup de tête sur le visage du mutant et réussis à ce libéré. Il se mit debout se mit sur ses appuis les jambes fléchis et pris le katana qu'il sortit de son fourreau. Le mutant s'était levé et avait le visage dans ses main. Celui-ci grognait et crachait de rage. Après s'être massé le nez le monstre chargea à l'attaque et Corentin l'esquiva et d'un geste ample et décapita son agresseur. Le corps tomba avec un bruit sourd. Corentin détourna son regard du cadavre. Il ne pouvait pas supporter la vue de celui-ci et senti une remontée gastrique. Il alla vomir dans un buisson. Il prit ses affaires et retourna au camp l'esprit embrumé. Il n'allait plus voir son arme comme un cadeau. Il se rendit compte que celle ci était autant mortel que n'importe quelle arme.

Il rentra au camp sans autre désagrément. Quand il vit un sanglier ainsi qu'un cerf accrochés par les pattes au-dessus d'un feu. Corentin fut bouche bée. Maud l'accueilli et lui expliqua:

- C'est Ethan qui les a chassé.

Ethan était champion de l'Ain au tir à l'arc. Il avait du se fabriquer un arc et cette fut approuvé quand il vit le chasseur jouer avec son arme. Corentin alla le féliciter.

Il donna ses lapin à un ados qui alla les vider. Il avait assez vu de sang pour aujourd'hui. Il raconta son aventure à Maud qui le consola. Quelque minute plus tard le gibier était cuit. On partagea la viande en part un peu équilibrées. La viande était cuite à la perfection elle fondait dans la bouche. Celui qui l'avait cuite était un bon cuisinier.

Après mangé les enfant partirent prendre du repos. Corentin alla faire la même chose mais il fut intercepté par un garçon un peu enrobé. Celui-ci était Julien un copain d'enfance.

Corentin il faut que les plus vieux se réunisse pour savoir se qu'on fait.

- Ouais mais où? Et quand?

- Tout de suite à une clairière à l'est.

- D'accord!

Corentin prit directement le chemin de la clairière. Quand il arriva il trouva une quinzaine d'adolescents assis sur le sol ou sur des cailloux. Corentin prit place sur un rocher et attendit. Quelque minute plus tard cinq ados rentrèrent dans la clairière et s'installa. Julien était parmi eux. Il se mit debout et prit la parole:

- Comme vous le savez on est ici pour fonder une société pour pouvoir survivre ensemble. Il nous faut un « gouvernement » qui instaurerait des lois etc...

- Ouais s'est bien beau ce que tu dis mais comment on fait on choisi un chef et on se le coltine jusqu'à qu'il meurent. Non merci sans moi, cria un ados de grande taille.

- Non moi je pensais à un conseil que l'on vote qui compterait au moins 10 personne .

- Ouais s'est faisable mais faut savoir qui vote et qui voter.

- Moi je pense que les enfants qui on 12 ans ou plus peuvent voter et peuvent être voter, s'écria une fille.

- Qui est pour? Demanda Julien

tout le monde approuva et alla réunir tout ce qui connaissaient et qui avaient l'âge pour voter. On demanda à ces personnes si il voulait se présenter au vote une 15 enfant sur 30 se présentèrent. Le vote se fit à main haute et se déroula sans accrocs. On présenta les membres du conseil:

Julien, Clara, Paul, Quentin, Clément, Lisa, Sarah, Louis, Maëva, Julie. Julien fut celui qui eu le plus de voies. La première réunion du conseil était programmé pour le lendemain.

Bạn đang đọc truyện trên: AzTruyen.Top