chapitre 128 : un demon particulier
Atlas : la terre ?
Victor : nan mais j'en ai marre de lui il connaît rien.
Marie : Ben quand tu tombe du ciel sans prévenir ça ne m'étonne pas vraiment.
Toma : il vient peut-être du ciel.
Paul : c'est totalement ridicule.
Judge : certe mais ce n'est pas une possibilité à écarté.
Victor : moi je suis d'accord avec paul ! C'est n'importe quoi.
Atlas : ( je suis pas autant avancé que ça. Je ne sais pas c'est quoi ce délire de terre)
Judge : je vais continuer...
Alarme qui sonne.
Les scientifiques : c'est quoi ça ?
Gars random : ( Cours et entre dans la salle )
MR JUDGE !
judge : tu hause nous interrompre ?
Gars random : désolé mais il y à une détenu qui tente de s'évader.
Judge : Comment ?
Victor : préviens les gardes immédiatement. Qu'ils sortent toutes les armes si c'est possible.
Gars random : ( S'en va)
Tout de suite.
Judge : vous venez avec moi. Toi Paul tu reste ici et tu surveille le nouveau.
Paul : entendu.
Judge et les scientifiques sortent laissant atlas dans la salle.
Atlas : vous avez déjà eu des problèmes de ce genre ?
Paul : je n'ai pas à te répondre...
( ce fait assommé )
Atlas : ( Choqué)
??? : ( regarde atlas dans les yeux)
Atlas : t'est la détenu qui...
??? : ( Apparaît derrière atlas !)
Mon identité n'a aucune importance.
Atlas : c'est donc toi qui tente de t'évader ?
??? : Ça se pourrait bien.
Atlas : tu devrais retourner dans ta cellule. Et de tout de suite...
??? : ( Met sa main sous la gorge de atlas et allonge ses ongles jusqu'à ce qu'ils deviennent tranchant )
Sinon quoi ?
Atlas : sinon ça.
( fait une prise à la détenu et la met part terre)
??? : ( ce relève)
pas mal... je t'ai quelques peut sous-estimé.
Atlas regarde la détenu attentivement. Jusqu'à ce qu'il voit une silhouette qui lui est familier derrière elle.
Il regarde son visage et voit une connexion entre elle et la silhouette.
Atlas : ( énervé)
Qu'est-ce que tu fais ici... Lisa ?
??? : ( comprend pas)
Lisa ?
Atlas : si c'est encore l'une de t'est mauvaise blague c'est drôle. Tu m'aura pas.
??? : Hum ! Tu serais pas en train de parler d'une fille aux cheveux roses capable de prendre l'apparence de n'importe qui ? Et qui crée des illusions ?
Atlas : tout à fait.
??? : ( soupir )
Si ça peut te rassurer je ne suis pas elle.
Atlas : tu ment. Ton visage est le même que...
Atlas s'arrête de parler et regarde attentivement la détenu.
Elle a certe le même visage que Lisa mais contrairement à elle ses cheveux sont noir et non rose.
Et elle à une façon de parler différente de la sienne.
Atlas : tu... tu ne serais pas...
??? : bingo ! Je suis sa jumelle.
Atlas : ( Choqué)
??? : pour le reste je m'appelle shear !
Cette dénommé shear a de long cheveux noirs sombre avec des reflets violet et les yeux rouges. Elle
Elle porte une robe violette avec des garnitures rouges ainsi que des ciseaux dessiné dessus.
Et elle porte une père de bottes.
Atlas : ( examine shear)
C'est vrais que tu lui ressemble beaucoup. On pourrait croire que tu est elle.
Shear : logique pour des jumelles.
Maintenant ne parlons plus de cette peste. Car voi tu je la déteste...
Appareil de Paul : Hé Paul tu m'entend ? C'est moi Victor.
Ta des nouvelles de ton côté...
Shear : ( marche sur l'appareil et le détruit)
On sera plus déranger.
Atlas : Pourquoi t'est sortie ? Si c'est pour t'évader tu n'a qu'à partir.
Shear : avant j'aimerais savoir. Est-ce que tu est bien le tueurs de démon ?
J'ai entendu ce minable de victoire t'appelais atlas avant que tu ne rentre.
Atlas : si s'était le cas il se passerais quoi ? Tu va essayer de me tuer ?
Shear : du tout.
Atlas : ( comprend pas)
Hein ? Mais je suis un humain et toi une démone.
T'est censé m'attaquer.
Shear : ( ce plaint)
Roh la la j'en ai marre.
Atlas : Hein ?
Shear : ( Fais l'enfant)
Démon qui tue des humains par ci. Dedans des démons qui attaque machin bidule part la.
Vous me gonflé la vérité.
Atlas : heu... tu pourrais m'expliquer ?
Shear : faut pas croire que tout les démons sont sans cœur. Moi part exemple je n'ai jamais tué un seul humain de ma vie.
Atlas : ( ruby nous à raconter qu'un démon l'avait épargné. Sur ce point là elle a raison quand elle dit qu'ils sont pas tousse mauvais)
Shear : ( joue avec une de ses mèches)
Pour tout te dire je suis même content que tu sois dans ce monde pourie.
Atlas : et en quelle honneur ?
Shear : je ne peux pas te le dire tout de suite. Il faudra attendre qu'on soit plus tranquille sans tout ses gardes.
Atlas : et pourquoi je devrais te faire confiance ? Les dernières personnes qui ont fait confiance à ta sœur ne sont plus là.
Alors tu comprendra que j'ai des doutes à ton égard.
Shear : ( soupir )
Évidemment il fallait que cette vipère mettent son nez là où il ne le faut pas.
Gardes : ( Tape dans la porte qui est verrouillé)
OUVREZ IMMÉDIATEMENT.
Shear : on a de la compagnie.
Atlas : ( regarde la démone)
Qu'est-ce que tu attend de moi ?
Shear : je t'ai dit que je ne pouvais pas te le dire maintenant. Mais... pour faire simple j'ai une faveur à te demander.
Atlas : et c'est quoi cette fameuse faveur ?
Shear : ( lui lance un sourire malicieux)
Aide moi à détruire le roi des démons.
Pdv de atlas
Attend j'ai bien entendu ?
Cette démone veut vraiment que son roi perdent la vie ?
Que des démons soit bon je n'en doute pas mais de la à le trahir...
Elle me regarde avec son sourire malicieux et comprend que je suis Choqué.
Sur ce point de vue la elle me rappelle énormément sa sœur. Mais contrairement à elle je ne vois pas de haine ou de malveillance en elle.
Gardes : ( Détruisent la porte )
Vous êtes cerné.
Shear : ( Lève les mains)
Ok je me rend.
Atlas : ( ne bouge pas et montre que ses mains sont toujours attaché)
Victor : Paul ! Qui lui à fait ça ?
Shear : ( Se pointe du doigt et lui fait un grand sourire)
C'est moi je plaide coupable.
Atlas : ( quoi mais elle est folle de ce dénoncer)
Victor : ( pointe une arme )
Espèce de garce je vais te buter.
Atlas : il respire encore...
Victor : LA FERME TOI. ESSAYE DE PAS DE ME ROULER.
Shear : ( rigole )
Ta entendu atlas ? Ne le roule pas.
Victor : tu trouve ça drôle sale garce ?
Shear : ( ce met à réfléchir)
Ça se pourrait bien.
Victor : ( appui sur la gâchette)
TU EST ALLÉ TROP LOIN.
Fin du chapitre 128
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