[Point de vue Sans]

Aujourd'hui est un grand jour.
Papyrus rentre enfin à la maison, je suis beaucoup trop heureux.

Mon frère me manque toujours autant, c'est génial lorsqu'il peut venir nous voir pendant quelques jours malgré qu'il doit être assez occupé.

Sinon à part ça, papa est rentré hier. Il m'a raconté son voyage et ce qu'il a fait la bas, je suis content qu'il aime faire le métier qu'il l'a, il est plus..enjoué voir heureux.

C'est sûrement parce-que rester dans un labo le renfermait sur lui ou quelque chose du genre, alors que là il voyage et il est souvent en extérieur.

Fin bref, nous sommes à table, on attend Papyrus qui va arriver dans exactement quelques secondes.

C'est Frisk qui à prédit l'heure, me demandez pas comment mais elle m'a dit qu'il allait surgir de la fenêtre.

J'adore son pouvoir de vision.

Décompte !

Cinq.

Quatre.

Trois.

Deux.

Sans : "Un."

Un bruit de verre se fit entendre.

Papyrus : "Je suis rentré !"

Je me lève et courus vers mon frère adoré.

Sans : "Salut frangin ! Tu m'as tellement manqué !" dis-je en lui faisant un câlin.

Papyrus : "Wowie ! Tu m'as manqué aussi mon frère !"

Notre câlin avait duré une bonne minute à vrai dire. Nous sommes réellement attachés l'un à l'autre, le fait de ne pas se voir est horrible parfois.. fin, nous avions passé toute notre enfance ensemble, sans jamais être séparés donc lorsqu'on se retrouve, c'est une bouffée de bonheur qui vient à nous, à chaque fois.

A la fin de notre étreinte, Papyrus vit soudain la personne derrière moi.

Il la regarda, subjugué voir choqué.

C'est normal après tout, il ne s'attendait pas à le revoir aussi vite.

Gaster : "Heya Papyrus, cela fait longtemps n'est ce pa-"

Notre père n'a même pas eu le temps de parler, Papyrus l'avait déjà pris dans ses bras.

Papyrus : "Cela fait longtemps oui ! J'ai envie de pleurer Sans, est ce que j'peux ?"

Mon frère et ses questions stupides parfois...Mais bon, je l'adore malgré tout.

Sans : "Evidement frangin."

Papyrus : "Wowie !! Je suis tellement heureux que tu sois de retour papa !" avait-il dit en lâchant quelques larmes.

Gaster : "Moi aussi mon petit, moi aussi"

Mon père est heureux, cela se voit.

Sans : "Le trio est enfin réuni." dis-je en souriant.

Je suis content que Papyrus ait aussi bien pris la chose. Frisk aurait des étoiles plein les yeux devant cette scène en vrai. J'espère qu'elle va bien.

Papyrus : "Dis Sans, elle est où Frisk ? Je ne la vois pas !"

Pile quand je pense à elle. J'vais commencer à te suspecter de savoir lire les pensées si ça continue frangin.

Sans : "Eh bien, elle n'est pas là de la journée Pap's, elle est partie chez Alphys car elle est soi-disant "malade" donc elle est allée se faire OSculter"

Gaster : "Elle est géniale celle là fils."

Papyrus : "Ah nan ne l'encourage pas à faire des jeux de mots stupides ! J'en ai déjà assez !"

Gaster se mit à rire suite à la réplique de Papyrus qui lui aussi se mettait à rire sur la situation.

Je me joins quelques secondes après à leur crise de rire.

Tout va extrêmement bien.

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[Point de vue Frisk]

Je suis partie chez Alphys en début d'après-midi. Je pense que je suis malade, mais je ne sais pas de quoi.

Sans voulait m'y emmener et rester avec moi pour savoir ce que j'avais, mais ne n'avais pas envie..surtout pour une raison très évidente..

Je me rends à l'hôpital et demande à voir le Docteur Alphys, ils savent ici que je suis son amie, et puis je suis l'ambassadrice après tout, j'ai quelques privilèges on va dire.

M'enfin. Après qu'ils ont appellé Alphys pour savoir si elle était disponible, la réceptionniste m'indique la salle où sa supérieure se trouve.

Je remercie la jeune femme et partis calmement vers les bureaux des médecins.

Arrivée devant le bureau d'Alphys, je toque et entre après qu'elle m'ait autorisée à entrer.

Frisk : "Coucou Alphys !"

Alphys : "Bonjour Frisk ! Que me vaut l'honneur de ta venue ?"

J'ai oublié de vous dire. Depuis que Alphys travaille avec énormément de monde et beaucoup de patients, elle ne bégaie plus ! ...ou presque plus.
C'est une bonne chose, elle doit énormément parler avec ses collègues ou à ses patients donc tant mieux si elle a déjà largement plus ou moins réglé ce problème.

Frisk : "Tant de politesses dis donc ! Je suis venue te voir car je crois que je suis malade."

Alphys : "Hm. Assis toi, je vais t'osculter puis nous verrons cela plus en détail."

Je lui souffle un petit merci et elle commence à prendre mon pouls, ma respiration, ma fréquence cardiaque, les battements de coeur et j'en passe.

Après qu'elle ait fini de tout noter sur son calepin, elle me dit d'un air triste :

Alphys : "Je ne vois pas vraiment ce que tu as Frisk..Tu pourrais me raconter quelles douleurs ou mauvaises choses tu ressens ?"

Frisk : "A vrai dire, j'ai des maux de ventre et de grandes bouffés de chaleur."

Elle prend note.

Avant que je continue, je baissa ma tête

Frisk : "Par contre..euh cela m'arrive toujours quand je suis avec Sans ou que je pense beaucoup à lui. Tu crois que c'est une maladie en rapport avec les squelettes ? Genre quand on en est trop proche à force ? Parce-que c'est grave chelou et je...ne sais vraiment pas ce que c'est."

Je relève doucement la tête à la fin de ma phrase et vis Alphys me regardant, les yeux ronds, l'air surprise, étonnée voir même choquée.

Elle a l'air tellement choquée que elle laissa tomber son calepin et son stylo par terre.

Frisk : "Euh...A-alphys ?"

Alphys se reprit et me crie :

Alphys : "TU BOUGE PAS ET TU RESTE ICI."

Okaaaaay.

C'est si grave que ça ?

Alphys prit son téléphone et fit un message vocal.. enfin..Je pense ?

Elle cria sans que je m'y attende un :

"CODE FRANS BOUGEZ VOUS DE VENIR A L'HOPITAL !"

...J'ai pas compris.

Y'a même un putain de code ? Ma maladie est si grave que ça ou quoi ?
J'vais être mise en quarantaine à force on dirait.

Une dizaine de minutes plus tard, j'entendis quelqu'un toquer à la porte et Alphys leur dit de vite entrer.

Et là, je sus que y'a un problème.

C'est Mettaton et Undyne qui viennent d'arriver en trombe.

Undyne portait son uniforme de policière et Mettaton avait l'air d'avoir eu un shooting photo..

Undyne : "On a...fait..aussi vite..qu'on..a pu !"

Mais qu'est ce qui se passe à la fin ?

Mettaton : "Es-tu sûre de toi darling ? Le code Frans est vraiment officiel ?"

Alphys : "Maux de ventre, bouffées de chaleur quand elle est avec LUI. EST CE QUE CELA SUFFIT ?"

Mettaton cria.

Elle criait de joie.

Je suis perdue.

Undyne : "Ah bah enfin ! Je suis contente p'tite punk !"

Frisk : "De..Quoi vous parlez ?"

Mettaton : "Tu ne l'as pas mise au courant Alphys ?"

Alphys : "N-non ! Je voulais vous attendre, je n'oserais jamais lui dire ça !"

Bon. J'en ai assez.

Frisk : "EST CE QUE QUELQU'UN ICI PEUT ME DIRE CE QUI SE PASSE PUTAIN ? Je viens voir Alphys pour lui dire que je suis malade. MALADE. Et là vous arrivez avec votre code Frans j'sais pas quoi et on me dit que vous êtes contentes ?! Expliquez moi !"

Alphys : "E-en.. fait.."

Mettaton : "T'es amoureuse."

Moi amoureuse ? Si je pouvais m'exprimer comme par messages, ça serait un énorme "MDRRRRRRRRR".

Frisk : "Amoureuse de qui ? Que je rigole un peu."

Undyne : "Bah de Sans idiote."

Frisk : "Moi ? Amoureuse ? De Sans ? Qu'est ce qui vous fait dire ça ?"

Ink : "C'est évident !"

INK ?

Frisk : "Qu'est ce que tu fous ici ?"

Ink : "Eh ! Je fais partie du code Frans figure toi donc tu te calmes !"

Je me tus. Eux et leur code Frans j'vais leur faire bouffer par leur nez.

Alphys : "En gros..Tes symptômes qui se manifestent en présence de Sans sont totalement normaux et pas graves. C'est seulement le fait que tu es amoureuse de lui qui te rend comme ça, mais tu ne t'en rends pas compte."

Frisk : "Mais.."

Mettaton : "Pas de "Mais" Frisk, tu es bel et bien amoureuse de lui. Genre, comment te sens tu avec lui, qu'est ce que t'en penses de lui ?"

Frisk : "E-eh bien..Je m'amuse bien avec lui, on a une belle complicité, on rit bien ensemble, même de choses totalement débiles, on se taquine toujours, on se raconte tout, on est compréhensibles quand l'un parle de quelque chose et inversement..et puis..J'adore dormir avec lui, j'adore son odeur quand il me prête sa veste, j'aimerais lui faire une tonne de câlins et de...Ok je suis amoureuse, j'ai rien dit."

Je crois que ces quatre là vont faire une crise âmediaque. On dirait des fangirls qui viennent de rencontrer leur idole.

Ink : "Je meurs. Enfin tu t'en rends compte !"

Mettaton : "Si je pouvais pleurer, ça aurait déjà été le cas !"

Undyne : "Je suis tellement fière de toi ptite punk ! Tu lui avoueras quand ?"

Frisk : "Je..je sais pas trop."

Ink : "Et pourquoi pas lors du nouvel an ? C'est un bon moment et en plus ça sera une soirée énorme entre les AU donc tu pourras le prendre à part sans que personne ne remarque !"

Mon instinct était mitigé mais mon coeur me disait oui.

Cette fois-ci, je décide d'écouter mon coeur.

Frisk : "Pourquoi pas..! C'est d'accord !"

Mes amis applaudissèrent sous la joie et les rires.

J'aime Sans, et je lui avouerais tout à la soirée du nouvel an.

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1586 mots.

Un court chapitre je l'avoue :)

On se retrouve demain, dabisous !