Chapitre 4
«Cinq minutes de plus!» Du ricanement masculin est a entendre à côté. Encore une fois secoue mon épaule. «C'est bon, c'est bon!» En grognant, je me assois, mais n'ouvre toujours pas mes yeux. Je m'étire et bâille brièvement. Je cligne des yeux et vois Lee, George et Fred qui se tiennent devant moi. «Qu'y a-t-il?» Je demande, en me frottant les yeux. «Le petit déjeuner fini dans une demi-heure!» Au ralenti, je laisse tomber mes mains, j'ouvre la bouche, mais je la referme juste après. «Merde! Vous n'auriez pas pu me réveiller plus tôt.» En m'emmêlant mes pieds, je retourne au dortoir des filles . Lorsque je suis sortie de la chambre des trois ils se sont mis à rigoler. 'Idiots' je les gronde dans mes pensée.
*
En mettant mes chaussures, je descends les escaliers. Ce n'était pas une bonne idée, de les descendre en mettant ses chaussures. Il mes restes environ cinq marches quand je marche sur mon lacet et je dégringole les escaliers. J'atterris sur mes fesses avec mes jambes étendues et écartées sur le sol. Les quelques personnes qui se trouvent dans la salle commune ont l'air troublés. Troublée, je regarde toute la pièce avant de réaliser ce qui s'est passé et de dire «Aïe». Maintenant, tout le monde me regarde comme si je suis une folle, tandis que même certains rigolent. Les jumeaux et Lee rient. Je secoue la tête et me lève en me frottant les fesses. Ça fait tout de même mal de tomber dans les escaliers.
Accompagné de Fred, George et Lee, je cours dans la Grande Salle. Je avale rapidement un bol de céréales, pour ensuite pouvoir recommencer à courir. Heureusement, je suis encore arriver à temps. En soupirant, je me laisse tomber à côté d'Hermione sur le banc. «Où étais-tu? Je me suis inquièté!» «J'ai dormi chez les jumeaux, je ne pouvais pas dormir à cause du troll, et bien sûr, ils m'ont réveillé quand il ne me restait plus qu'une demi-heure avant que le petit-déjeuner soit terminer.»
*
Je me suis de nouveau entendu avec Ron, c'était plutôt bizarre. Je me sentais comme si j'avais un lien avec lui. Pas d'amour, mais fraternellement. Je ne pouvais plus être en colère contre lui en quelque sorte.
En ce moment, Harry et Ron sont plutôt bizarre, comme s'ils cachaient quelque chose. Chaque fois que je leur parle ils change de thème.
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«Attention Ron! Il pourrait encore y avoir quelqu'un dans la salle commune.» « C'est bon!» Je dresse les oreilles. Rapidement, je me suis roulé sous le canapé après avoir éteint la lumière. J'entends des pas doux descendre les escaliers qui mènent aux dortoirs des garçons. Sans faire de bruit, les deux se faufilent hors de la salle commune. Sans qu'ils me remarquent, je les suis. En dehors de la salle commune, je les vois se mettre une cape, avant qu'il soit invisible. Sans les voir, j'essaye de suivre leurs sons jusqu'à ce que je l'aie perdue.
J'illumine mon chemin avec ma baguette. J'entends des pas dans le couloir à côté de moi. «Nox» Je range ma baguette et prétends que je dors encore «Mademoiselle!» J'entends la voix de Rogue. Je ne réagis pas. Il vient vers moi rapidement et me parle encore et encore, jusqu'à ce qu'il me secoue finalement. Je cligne des yeux. «Où suis-je?» «Que faites-vous dans les couloirs à cette heure-ci?» «Je suis désolé, Professeur. Je suis une somnambule.» « Quand même cinq points de moins pour Gryffondor. Je vous ramène dans votre salle commune et je ne veux plus vous voir dans les couloirs à cette heure-ci.» «Oui, Professeur, je ne peux rien faire contre mon somnambulisme.» Snape ne fait que marmonner quelque chose d'incompréhensible.
Au portrait de la grosse dame, je dois la réveiller, c'est pourquoi elle se plaint bruyamment parce que je l'ai dérangée à pendant son sommeil de beauté. Un sommeil de beauté ne l'aidera pas beaucoup, je pense, en secouant la tête. Après qu'elle se soit plus ou moins calmée, je lui dis le mot de passe et peux enfin entrer dans la salle commune. Immédiatement, je vais dormir.
*
«Pourquoi êtes-vous sorti hier? Que cachez-vous?» Je demande tout de suite Harry et Ron le lendemain matin, ils me regardent surpris, mais ils essayent de le rejouer. «Que veux-tu dire?» Agacée, je roule mes yeux. «Vous savez exactement de ce que je parle!» «Non, nous ne savons pas.» Harry dit avec un peu d'emphase. Je regarde Ron. «Que dit-tu de cela?» Il avale le morceau de pain qu'il avait encore dans sa bouche, «Nous ... étions nulle part» bégaie-t-il et rougit sur les oreilles. «Mauvais menteur! Alors? J'attends une réponse!» «Tu ne lâcheras pas, n'est-ce pas?» soupire Harry. Énergétiquement, je secoue la tête. «À 23 heures dans la salle commune», dit-il juste avant de continuer manger. En haussant les épaules, je me consacre aux délices qui sont sur la table jusqu'à ce qu'il soit temps d'aller en cours.
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