Une femme entre dans la maison. C'est la mère de Carl. Elle est venue suite au conseil du boulanger, qui lui a parlé de la récente visite de son fils. Elle ne sait pas ce qu'elle va trouver, elle espère juste qu'il n'est rien arrivé à son fils. Elle trouve rapidement la porte qui mène au jardin, et sort d'un pas hésitant. Elle aperçoit une silhouette se profilant sous un arbre, et s'en approche avec une nouvelle énergie, intriguée. Mais plus elle s'approche, plus son inquiétude se mue en terreur : la silhouette qu'elle voit, c'est celle de son fils, couché à même le sol, inanimé. Instinctivement, elle commence à courir, et se jette à terre devant son seul enfant.

     Elle le bascule sur le dos, et laisse échapper un hurlement de terreur : la motte de terre sur laquelle il est allongé est imbibée de sang, sang qui provient de ses avant-bras... Son hurlement s'éternise, lorsqu'elle constaté qu'il ne respire plus, que son cœur s'est arrêté de battre. Et, les yeux remplis de larmes roulant à toute aller le long de ses joues, elle relève légèrement la tête pour lire l'inscription de la pierre plantée à la tête du monticule de terre fraîchement retournée :
<< Ci-gît Lucy Harch, la fille du banc, que j'ai aimée à en mourir, mais que je n'ai su aider >>
    Et serrée dans sa main, un bout de papier froissé, sur lequel se trouvent inscrit deux simples mots :
<< Pardonnez-moi >>

Voilà donc l'épilogue de cette nouvelle, je vous ferai une petite note d'auteur demain pour expliquer quelques trucs, mais c'est tout pour aujourd'hui !
Je vous aime mes sushis ❤