Après que je sois aller m'excuser auprès d'Alec pour ma réaction de l'autre soir. Il y avait quelques choses que j'avais envie de faire.
Je partais vers la bibliothèque et par chance il y en avait un.
Il y avait un piano !
J'avais fais du piano depuis que je suis toute petite mais j'ai dû arrêter avec toute ces histoires de ShadowHunters.
Je m'assis sur le tabouret et commença à jouer.

À la fin de cette musique, quelqu'un tapait dans ses mains je relevais la tête et vis Sébastian

Sébastian : Bravo, tu te débrouilles bien !👏
Mayna: Ah euh..merci, tu es là depuis le début ?
Sébastian : Oui
Mayna: Ah
Sébastian: Je peux ? Tu chantes ?
Mayna : Euh..si tu veux, je chante pas souvent surtout devant les gens en fait...
Sébastian : T'inquiète pas, faut pas avoir peur de moi, je joue et tu chantes ?
Mayna: Ok

Il commença à joué Thousand Years de Christina Perry, j'adore cette chanson !

Je chantais sa le faisais du bien de pouvoir penser à autre chose. Quand je chante je me sens libre et dans un autre monde qui n'appartient qu'à moi.

Liam : Tu as une voix d'ange Mayna ! Sa tombe bien t'en ai un !
Mayna : Liam ! C'est pas drôle ! Toujours avec tes blagues pourries😂
Liam : C'était pour vous prévenir que ton père organise un repas.
Mayna: Ok merci, on arrive😉

***

Un peu avant le repas, j'avais pu faire la rencontre de la mère de Keyna, Sara, elle ressemble à Keyna.
Je m'étais installés à côté de mon Parabataï et en face d'Izzy. Raziel et Sara étaient à côté et Keyna en face.

D'un coup les portes s'ouvrent, Sébastian entre, accompagné de deux gardes, le tee-shirt en sang. Que c'est il passé ?!

Sébastian : Je suis désolée Keyna

PDV OMNISCIENT

Keyna se lève et monte jusqu'à la chambre de son fils.

Keyna: NOOONNN

Keyna découvre son fils dans son lit, en sang.
Elle tomba à terre en pleure.
À ce moment-là, une bombe traverse la fenêtre.
Keyna déploie ses ailes pour la protéger et cela fonctionne. Elle est sauve.
Alec suivi d'Izzy arrivèrent peu après.
Keyna était à genou ses ailes toujours déployer, elle devenait plus forte que jamais une colère immense la dominée...