Chères lectrices,
C'est ici que s'achève mon histoire en espérant qu'elle vous a plu.
Merci d'être chaque jour plus nombreuses et fidèles.
Je tenais à vous dire que je lis chacun de vos commentaires ( parfois très drôles ) et chacun de vos messages.
J'étudie chacun de vos demandes et bien sûr j'espère pouvoir les réaliser.
Bien évidemment vous l'aurez compris, ma prochaine histoire sera consacrée à Jabbar. Mais je tenais à rassurer celles qui m'ont émis des souhaits d'histoires. Elles viendront prochainement.
Et enfin je voulais remercier celles qui m'ont récemment contacté pour m'informer que l'on plagié mes histoires sur wattpad. Si au début j'ai voulu me montrer tolérante, je suis de plus en plus agacée par ces personnes qui n'ont pas le moindre respect pour mon travail. Écrire un livre ce n'est pas seulement écrire, c'est un travail de tous les jours, passionnel certes mais dur. Je penses, j'imagines et j'écris. Seulement écrire est la partie la plus difficile cela demande de la réflexion et du vocabulaire soigné. Alors je trouve ça très facile de prendre sans vergogne le travail des autres et de ce l'approprier.
Alors si l'une d'entre vous, tombe sur ce genre de personne veuillez soit m'en informer soit le signaler à cette personne poliment, sans insulte, car je ne prône pas la méchanceté, je veux seulement protéger mes œuvres.
Merci à vous toutes pour votre soutien et vos messages.
Je reviens au plus tard lundi avec l'histoire de Jabbar.
Mais comme je suis généreuse, vous trouverez après l'épilogue un extrait du premier chapitre que j'ai commencé aujourd'hui.
Gros bisous à toutes.
Raphaël gara sa voiture dans l'allée et soupira. Il jeta un regard sur sa maison inspira l'air marin et sortit de la voiture avec son bouquet de roses rouges à la main.
Même dans ses rêves les plus fous, Raphaël n'avait jamais osé imaginer avoir la vie qu'il avait secrètement toujours voulue.
Quatre mois s'étaient écoulés depuis la mort d'Haley et enfin, il se sentait vivre. Mais très vite, il avait compris qu'il ne pourrait jamais se défaire de son passé de nettoyeur. C'est grâce à cette dévotions de vouloir combattre le mal qu'il avait trouvé celle qui maintenant, faisant battre follement son cœur.
Il pénétra dans la maison par derrière, afin de pouvoir la surprendre.
Grâce à elle, aujourd'hui, sa société venait d'exploser tout les records. Il avait enfin réussi à faire de son père plus qu'un souvenir lointain. Aujourd'hui c'est son travail qui était reconnu. C'est lui qui avait battit l'entreprise avec un renouveau qui l'avait propulsée au sommet en quelques mois.
Et derrière toutes ces bonnes nouvelles, il y avait une femme.
Sa femme.
Il fouilla la maison en l'appelant et sentit son cœur battre rapidement.
Où était-elle ?
Une inquiétude ridicule s'empara de lui avant qu'il ne trouve un mot sur la table du salon avec une rose blanche posée dessus.
Zola posa son panier et s'agenouilla en déposant Sofia entre ses genoux.
Déjà l'émotion lui tenait la gorge douloureusement.
En caressa les cheveux de Sofia assise dans l'herbe et réajusta son petit chapeau.
Elle ramena son panier à côté d'elle et pris les roses blanches pour les déposer devant la tombe de Jamie.
- On a réussi Jamie. Murmura-t-elle en posant les petites voitures sur la pierre tombale.
Les yeux embués de larmes, elle souleva Sofia et lui fit mettre le petite tracteur à côté des petites voitures.
Même si elle ne comprenait pas, Sofia poussa des petites exclamations presque silencieuse et essaya de faire quelques pas en avant pour toucher avec son petit doigt les lettres du prénom de son grand frère.
La gorge nouée par l'émotion, elle se releva en serrant sa fille contre elle et déposa les lys devant la tombe de la mère de Raphaël.
Elle se recula et silencieusement, elles restèrent devant les deux tombes avant qu'une silhouette noire ne fasse relever les yeux.
Vêtu de noir, il s'avança plus imposant que jamais entre les tombes avec la rose blanche qu'elle lui avait laissé.
Son regard si pénétrant la saisit avant même qu'il n'arrive à sa hauteur.
Secrètement, Zola s'était souvent rendue près de la tombe de Jamie. Aujourd'hui elle voulait partager ce secret avec lui.
- Mi dulce...
Il glissa sa main dans ses cheveux et ne lui cacha pas de son émotion qui se lisait dans ses yeux opaques.
Les yeux emplis de larmes, Zola rabaissa sa tête vers la tombe de Jamie.
- Je voulais que l'on partage ce moment ensemble. Confia-t-elle en relevant les yeux vers lui.
- Tu as bien fait mon amour. Assura-t-il d'une voix éraillée par l'émotion.
Sofia ramena un peu de gaieté en riant.
Raphaël posa un baiser sur le front de sa fille et posa la rose parmi les jouets qui reposaient sur la pierre.
- Jamais je ne pourrais l'oublier, il est ancré en moi. Il est cette partie qui ma sombrement aidé à te trouver. Expliqua l'homme d'un murmure en posant son index sur son menton.
Les émotions se bousculèrent alors dans son esprit. Zola rejeta sa tête en arrière pour plonger son regard dans le sien.
- Tu m'as trouvé en effet chéri et je...t'appartiens corps et âme maintenant.
Cette déclaration eut bon de faire briller une intense lueur dans son regard. Il se pencha en avant et passa son bras dans son dos pour la ramener à lui. Sofia qui ne comprenait rien, en profita pour attraper sa cravate.
De sublimes émotions s'imprégnèrent d'eux, plus fortes chaque seconde.
- Je vous aime madame Alvarez...
- Te quiero señor Alvarez.
Il l'embrassa fougueusement et il sut au plus profond de lui, que maintenant il était guéri.
Extrait : Envoûtée par le cheikh.
Maisie présentait tous les signes d'alertes lorsque l'on est victime d'une crise de panique. Ses jumelles lui échappa des mains lorsqu'un klaxon retentit derrière elle.
Son rythme cardiaque devint incontrôlable lorsque le cheikh Al Karban descendit de sa voiture. Maisie reprit ses jumelles en essayant de le regarder.
- Oh...
Il était d'une beauté indéniable !
Habillé d'un sombre manteau, celui-ci faisait ressortir la dureté dans son regard. Ses cheveux noirs étaient impeccablement coupés, son visage était sévère mais d'une beauté à couper le souffle. Sa bouche...
Maisie fit tomber de nouveau les jumelles et les rattrapa avant la chute.
Son cœur s'affola quand l'esquisse d'un sourire se dessina sur ses lèvres fermes.
Ainsi c'était lui ?
Maisie lâcha les jumelles et déglutit péniblement alors qu'il s'élançait d'une démarche nonchalante vers les portes d'un somptueux immeuble. Ses larges épaules, son dos et ses jambes...
Un frisson se mit à faire son chemin le long de son épine dorsale.
Maisie secoua sa tête dans tous les sens pour se reprendre.
L'angoisse l'éloignait de son objectif.
Ses mains tremblaient si fort qu'elle les joignit pour interrompre les tremblement.
Elle rangea les jumelles et se mit à évaluer la situation dans laquelle elle s'était fourrée. Elle vacilla en réalisant que sa mission serait inévitablement un échec ni plus ni moins.
L'objectif était de ramener le cheikh dans son pays afin qu'il le sauve et en échange, elle recevrait la sommes qu'on lui avait promis pour mettre son père diminué à l'abri du besoin. Rien de moins !
Seul brouillard à l'horizon, le cheikh en personne.
Fatima, la mère du fils disparu depuis des années n'avait ni cœur, ni foi, ni loi. Seulement, elle se savait dans la misère et en danger depuis qu'elle avait de ses propres mains, réduit le pays a néant.
Pouvait-elle faire ça ? Avait-elle assez de force pour mener cette mission suicide ?
Prise de nausées, Maisie se laissa tomber contre le mur désespérément et songea sérieusement à faire demi-tour.
Puis son père lui revint subitement en mémoire.
Elle se redressa, se couvrit de son manteau et traversa la rue d'un pas hésitant.
Si elle était là, si elle avait réussi l'impensable c'est parce qu'elle avait exploré les seules pistes que Raoul et les autres conseillers avaient délibérément évitées.
Pendant deux longues semaines elle avait remué ciel et terre pour le trouver. Et maintenant qu'elle se trouvait à quelques mètres de lui, Maisie ne parvenait pas à faire le moindre pas.
La seule photo qu'on avait bien voulue lui confier était vieille de quelques années. Mais après maintes recherches Maisie avait eu la chance de tomber sur un article concernant un accident horrible dans une auberge située entre Moscou et st Pétersbourg. Sur le cliché, on y voyait deux hommes et l'un d'entre eux avait une forte ressemblance avec l'ancienne photo du cheikh.
Plus de doute c'était lui. Elle en avait la certitude.
Devait-elle appeler Raoul en renfort ou se débrouiller seule ?
Maisie sortit son téléphone de sa poche, le déverrouilla et tomba sur la photo de son père. Des larmes lui brouillèrent les yeux, son souffle lui manqua.
Elle quitta la photo des yeux pour relever le regard vers l'immeuble. Et c'est avec l'impression que le sol se dérobait sous ses pieds qu'elle avança d'un pas décidé vers la tour de verre.
Elle gravit les marches, manquant de trébucher et dut se cacher honteusement lorsqu'elle le vit dans le hall en train de trier son courrier. Malheureusement, ses deux pieds gauches s'emmêlèrent et elle tomba de tout son corps accompagné d'un cri aigu.
Maisie préféra rester à terre dans cette position. Oh oui c'était mieux ainsi, songea-t-elle désespérément en espérant que personne ne l'ai vu chuter.
À son plus grands malheur, quand elle redressa la tête en soufflant sur ses boucles rousses pour y voir plus clair, Maisie vit deux grandes chaussures noires à quelques centimètres de son visage.
- C'est bien la première fois qu'une femme tombe à mes pieds si rapidement. Lança une voix grave mais sensuelle qui la fit chavirer.
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