6... The past is past


Flashback

Debout dans son jardin près de la piscine Aiden attend impatiemment sa nouvelle copine. Cette fille qu'il ne croyait pas partagé ces sentiments jusqu'à ce que celle qui occupait cette place il y'a deux semaines lui fasse ouvrir les yeux involontairement bien sûr.

Elle arrive toute souriante dans son bikini à deux pièces et se jette sur ces lèvres

- Mon amour

- Ça me fait tout bizarre de t'entendre m'appeler comme ça

- Tu ferais mieux de t'y habituer hein bébé

- Dis-le moi encore

- Bébé... Bébé. Dit-il entre deux baisers

Très vite ils se retrouvent dans sa chambre sur son lit en train de se bécoter comme son ami aime le dire

- Hmm... j'aime sentir tes baisers sur ma peau

Il continue tout en lui enlevant son haut. Ça devient vite très chaud...

Fin du flashback

- Aller on se réveille

Elle se demande ce qu'ils ont tous à vouloir l'attacher comme ça. Sauf que cette fois-ci les noeuds sont plus serrés. Travail de professionnels. Bon il va lui falloir une bonne stratégie.

Cet homme semble être seul, mais plutôt coriace pour avoir pris le dessus et parvenir à la maîtriser au point de tomber dans les vapes. La fatigue peut-être. Elle aurait sûrement dû écouter Enzo se dit-elle.

- Pas de papiers ni de téléphone, rien.

- C'est donc toi qui à ce que je recherche ?

- Je ne sais pas de quoi tu parles mais par contre tu sembles être bien entraîné et les gadgets que j'ai trouvé sur toi parlent d'eux-mêmes. Je vais quand même te poser la question. Qui es-tu?

- C'est dingue ça on n'arrête pas de me la poser ces jours-ci... Juste pour que tu le saches, tu as eu tort de toucher à mes affaires

- Menaçante... Ça ne prend pas avec moi. Alors tu vas devoir répondre à mes questions.

- Je n'y suis pas obligée

- Voyez-vous ça. Ce n'est pas moi qui suis ficelé comme un rôti.

- Plus pour longtemps

- Si tu le dis, mais pour l'instant tu es ma prisonnière

- Bizarrement c'est ce qu'il paraît.

- Dis-moi, pourquoi tu as tué tous ces gens?... Pour qui tu travailles ? ... D'accord partons du principe que tu es une espèce de tueuse à gages, qui est-ce qui te paie pour éliminer tous ces braves gens?

- Braves gens? Tu veux rire... Cette conversation a l'air importante pour toi mais d'une telle ennuie pour moi alors...

L'élan qu'elle prend pendant qu'il lui tourne autour le fait basculé en arrière elle roule sur le sol pour éviter ces coups et brise la chaise au passage.

- Prête pour le deuxième round ?

Hannah envoie valser la corde avant de se mettre en position. Je suppose que c'est le signal pour dire oui. Cette fois-ci Hannah contre bien prendre sa revanche. Certainement du fait qu'elle n'a pas apprécié d'être attachée par un seul type...

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Aiden passe sa main dans ces cheveux histoire de comprendre ce qui se vient de se passer. Il la tenait pourtant. Comment elle a fait pour s'échapper? À quel moment a-t-elle eut le dessus? Et surtout pourquoi s'est-il laissé distraire?

À l'arrivée de son pote Jayan il tente de lui expliquer ce qu'il n'arrive pas à l'expliquer lui-même

- Tu l'as laissé filer ?... Attends, tu veux dire que t'es fait doublé par une nana?... Sais-tu qui elle est au moins?

- Ça je ne vais pas tarder à le savoir vu qu'elle sait que c'est nous qui protégeons les autres.

Attendez, il cherche quoi au juste? C'était un match nul non? Il a gagné le premier round et elle le deuxième, personne n'a été tuer du coup pourquoi se chercher des noises?.

Aiden a fait capoter son plan et il le sait que ça ne va pas en rester là. Il l'a certainement vu dans ces yeux qu'elle n'est pas du genre à laisser un travail inachevé. Lui non plus d'ailleurs

- Elle avait un truc, je ne sais pas comment te l'expliquer mais... Laisse tomber

- Aiden, je sais qu'elle te manque, et à moi aussi.

- Tu ne peux pas comprendre Jay. Airelle était...

- C'est quoi tout ce bazar agent Rider?

- Monsieur je suis désolé

- Ne soit pas désolé et rentre à la maison. Tu sais comment peut être ta mère si tu rates notre déjeuner

- J'arrive papa

Jayan lui fait son sourire moqueur. Bien qu'Aiden soit le fils de Robert Rider, il n'est pas plus tendre avec lui que les autres agents.
Mayuri accueille son fils et son mari avec son plus beau sourire. Elle ne les voit pas souvent à cause de leur travail mais une fois par mois ils se réussissent tous ensemble pour partager un bon déjeuner, histoire d'avoir l'impression d'être toujours une famille...

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À suivre

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