*Nico*




-Le plus dur c'est le moment où l'on comprend que l'on n'a plus la force d'avancer...

Il se réveilla à cause de la lumière qui passait à travers les rideaux blancs, une douce lumière doré qui éclairait la pièce et donc le lit dans lequel, il était allonger. Frottant ses yeux, baillant un coup avant d'ouvrir ses yeux noir charbon sur le plafond blanc. Il inspira, une douce odeur de désinfectant et d'eau salé était mélanger à celle de son savon du moment, soit un odeur de miel. Il inspira l'odeur familière et pourtant nouvelle de la forme sur laquelle il était allonger de tout son long.

Il se sentait bien, enfin bien, tellement bien que l'idée de bouger ne lui traversa même pas l'esprit, c'était devenue bien trop rare ses matins ou il pouvait profiter de son lit et de lui. Nicolas ne se considérait pas comme « sentimentale », ni même romantique et encore moins niais, il était seulement totalement accroc à son petit ami. Un sourire naquit sur ses fines lèvres alors que se tournant vers le tors bronzé, il regardait sa main, une main pale, maigre et couverte de pansements dus à sa dernière mission, une bombe imprévue. Mais il regardait les yeux plein d'étoile, l'anneaux d'or qui ornait son doigt depuis bientôt six mois, un anneaux qui prouvait que pour aujourd'hui, demain et durant toutes leurs vies, ils seront chacun à l'autre. Oui, Nicolas n'était pas un romantique, fleure bleu qui sanglotait devant les films romantique que pouvait regarder certaines personnes ; il était peut-être même totalement l'inverse. Il rie doucement, faisant trembler ses épaules et résonner un rire claire et léger dans la pièce. En fait, il n'y avait que dans ses bras, que avec lui qu'il l'était soudainement, romantique. Et il aimait cette facette de lui même, quand il rougissait, quand son coeur battait plus vite au moindre contacte, quand il bégayait d'un coup et surtout quand il ronronnait de bonheur dans ses bras. Toutes ses petites choses qui faisait que c'était eux ensemble et pas autrement, des réactions qui prouvait qu'il était vraiment revenue. Nicolas caressa discrètement du bout des doigts, les traces blanche et rosée qui parcouraient irrégulières et diverses le tors bronzé de son mari. Il sourit. Son mari. A lui. Il posa une main sur le ventre du blond qui grogna dans son sommeil tirant un nouveau sourire au brun. Tellement de bonheur dans un seul petit geste, il aimait se réveiller le matin près de lui, il aimait caresser sa peau, l'embrasser toute la journée, porter son nom, le voir sourire, le voir courir dans les couloirs de la base les bras charger de bandages en rallant sur leurs incapacités à rentrée en un seul morceau. Il aimait le voir rire avec Jason, blaguer avec Léo, parler avec Magnus et Annabeth, il aimait le voir vivre simplement, virevolter autour des autres tel un soleil passager.

Son soleil, son astre brillant et chaleureux qui brulait parfois sa peau de baisers, un astre brillant qui éclairait ses journées, ses nuit et chassait de sa lumière tout ses ténèbres. Il en avait besoin, quand la nuit viens de tomber, quand le nuit prend possession de lui et que les cauchemars revenaient, il avait besoin de lui. Alors il posa sa tête sur son épaule et retraça des yeux les courbes de son visage. De ses boucles blondes qui chatouillait son nez à ses lèvres pleines et rose et passant par son nez retrousser et ses longs cils noir et courbée. Il frotta son nez à son coup, Nicolas entendit un grognement avant que deux bras se referme sur lui, il cria de manière ridicule avant de rire. Plaquer contre un tors chaud, leurs jambes emmêler sous la couette, ses petits poings contre sur tors. Il entendit une voix ensoleiller grommeler quelque chose d'incompréhensible et sourit.

-Bonjours mon amour...Will sourit, Nicolas le savait, il le sentait contre son crâne, comme une sorte de brulure au coeur agréable et rassurante. Il sentit une main caresser son dos, frôler ses côtes et sa nuque alors que l'autre était plonger dans ses mèches brunes.

-Bonjours...il vit enfin son époux rentrée dans son champs de vision et un sourire rayonnant prit les lèvre du blond alors qu'il l'embrassait enfin. Un sentiment de plénitude, de joie euphorique le prit comme à chaque fois qu'ils s'embrassaient, la moindre pression de ses lèvres sur les siennes et tout son corps rentrait en ébullition, un frisson le prit et il sourit contre les lèvres de son blond.

Et c'était comme cela tout les matins ou presque, il l'embrassait tout les matins, peu leurs importait leurs odeur peu attirante, leurs allène du matin ou leurs cheveux en bataille. Ils s'en moquaient, ils avaient connue la séparation trop longtemps pour s'en soucier, avait connue trop de matin solitaire et de cauchemar pour se soucier de savoir si ils étaient attirant pour l'autre, tout se qui contait c'était cette bouche qui les obligeait à s'embrasser. Ses cousins se moquaient parfois gentiment en disant qu'il faudrait peut-être les décoller, mais ils comprenaient, ils avaient vus leurs cousins mal trop longtemps pour pensée seulement à les séparer une seconde.

Nicolas se décolla à manque de souffle, embrasse chastement son époux et se leva doucement du lit, il sentit une caresse sur son dos, là ou il y avait sa cicatrice, la seul qui barrait son corps aussi profondément. C'était il y à quatre mois, il était en mission avec l'équipe et un des membres de Gaia l'avait blesser avec un sabre alors qu'il soutenait Annabeth blesser à la jambes par un balle. Il n'avait sentit qu'une brulante douleur, le sang qui coulait avant de s'effondrer au sol comme un loque. Son souvenir suivant c'était l'infirmerie, les machines qui bipaient en même temps que son coeur, la perfusion de liquide bleu et enfin le regard remplis de larmes de Will qui en blouse blanche semblait ne pas connaitre le sommeil et leurs lits depuis un moment. Le blond avait pleuré, crier, taper du poing pour finalement s'effondrer en larmes dans ses bras et lui raconter la frayeur qu'il avait eu en le voyant arriver dans l'infirmerie le dos ouvert et sanguinolent.

Le blond ne faisait pas de mission, son retour avait changer beaucoup de choses et malgré ses capacités extraordinaire il avait refusé. Nicolas le revoit encore debout dans le bureau d'Hadès, tremblant et bredouillant qu'il ne voulait pas y retourner. Son père n'avait rien forcer, le blond avait proposer son aide comme médecin et étrangement Percy et Annabeth avait sauter sur l'occasion d'avoir un médecin juste pour eux. Alors Will avait poser les armes et avait enfiler une blouse blanche, Nico pouvait dire que depuis un an, sois le temps que Will était arriver, il en avait vue passer des patients atteint de tout et n'importe quoi, surtout que Will faisait psy, c'était assez courant que les membres de l'équipe aille dans l'infirmerie lui raconter et parler avec lui. Ça le le faisait toujours bien rire de les voir raconter leurs problème à son blond alors qui rangeait ou nettoyait ses ustensiles.

C'était leurs vies, à eux, a personne d'autre, ils la vivaient ensemble pour le meilleur et pour le pire. Il se leva et se dirigea vers la salle d'eau, pénétrant directement leurs douche commune, allumant l'eau froide. La douche n'était pas un lieu de plaisir pour lui, il aimait l'eau, aller dans la mer était agréable et faire quelque longueurs de temps en temps avec Percy était sympa. Mais la douche pas vraiment. Il en sortit propre et frais quelques minutes après enfilant un caleçon propre. Will était debout à la fenêtre, ses bras poser sur la rambarde qui le séparait du vide, son dos nue, ses hanches étroites et ses jambes longues et svelte, il sourit et lui lança un caleçon.

-Je t'ai déjà dis de ne pas trainer nue à la fenêtre Will! Il rie doucement alors que le blond enfilait le vêtement en souriant, le même sourire ravageur qu'il avait toujours quand Nicolas lui faisait remarquer sa nudité et parfois même la sienne. Il sourit embrassa Nicolas.

-Alors évite de me laisser nue dans une pièce! Nicolas lui tira la langue avant d'enfiler son jean qui trainait là, poser sur leurs chaises de bureau, il enfila un débardeur vert sapin, une paires de bottines en cuire noir à imprimer tête de morts.

Il sentit Will saisir son jean claire qui trainait derrière lui, il l'enfila, Nicolas l'entendit grogner car se dernier était devenue trop large pour lui. Il vit également passer une chemise à manche courte et à plume corail. Il regarda son époux boutonner le bas de sa chemise et enfiler une paire de baskets blanches. Il sentit une bise lui être claquer sur la joue avec tendresse et un main caresser sa hanche alors qu'il coiffait ses mèches brunes, ses bracelets enfiler, ils quittèrent leur chambre. Cette pièce était la leur depuis que Nicolas l'avait demander en mariage il y plus de dix mois, c'était la seule ou ils étaient seuls, ou ils avaient eu le droits sur la décoration et ou Nicolas pouvait devenir un guimauve et Will un époux possessif et protecteur. C'était leurs petit chez eux, pas grand mais largement assez pour deux personnes coller l'une à l'autre en permanence.

Ils étaient dans les couloirs, leurs mains lier, leurs doits entrelacer et Nico regardait amoureusement son anneaux qui brillait à sa main. Ils ne parlaient pas, ils n'en avaient jamais eu besoin pour se comprendre, c'était un silence léger, reposant. Ils arrivèrent dans un salon moderne et épurer, un salon commun à tous ou ils trouvèrent Percy et Grover en pleine discutions.

-Hey! La voix chaude de Will les fit tourner la tête vers eux et un sourire prit place. Percy souriait tout le temps lorsque Nico était avec Will, même lorsque Nico souriait en fait, le brun savait que son cousin germain était simplement heureux pour lui et rassurée de le voir sortir de sa dépression.

-Salut les amoureux. Grover rie doucement, cette manière de les saluer était venue du fait que Piper les qualifiait elle même « d'amoureux transits », ce qui venant d'elle et de Jason était franchement ridicule, et que Grover comme Clarisse avait reprit. Nicolas grimaça comme à chaque fois et Will sourit simplement.

C'était une scène commune pourtant quand Will se décolla et lâcha sa main Nicolas pâlit soudainement et trembla; c'était involontaire évidemment, une des rares choses qu'ils ne contrôlaient pas chez lui, le manque. La peur sourde qui lui serrait le ventre à chaque fois que Will disparaissait, s'en allait; à chaque fois que le blond n'était pas en sécurité.Ça arrivait assez souvent et à chaque fois Nicolas paniquait, réellement, une crise violente et involontaire que seul le blond pouvait totalement calmer et que seuls ses cousins pouvait apaiser. En mission Nicolas prenait sur lui mais une fois chez eux, à la base, les crises revenaient. Percy vit le moment ou les poumons de Nico se vidèrent d'aire, se remplir de vide, ou son cerveau ne vit plus Will, ou le sang quitta son visage, où ses mains se mirent à trembler.

Nico tomba au sol, les oreilles bourdonnaient, ses jambes tremblaient et il n'entendait plus rien, sa vue se floua et il n'arriva pas plus à expirer. Il essaya de se clamer, en mission quand cela lui arrivait il contait dans le désordre mais là, il en était parfaitement incapable. Un instant il pensa qu'il allait vomir ou s'évanouir, pire les deux en même temps. Puis il pensa qu'il allait mourir comme une merde d'une crise de panique. Puis il n'arriva plus à pensé, a rien, son esprit se vida alors qu'il ne sentait même plus d'air dans son corps. Il vit dans ses yeux brumeux le visage inquiet de Percy puis entendit une vois douce.

-Mon amour...un souffle puis deux bras qui l'enfermait contre un tors, chaud, rassurant, familier, celui de son homme, de son époux, de son soleil. Voila, Will était son soleil, son unique soleil et ceux depuis le premier jour quand il la vu seul sourire à cette petite fille.

-Bébé....Percy ouvrit de grands yeux devant le ton suppliant de son cousin. Percy avait toujours sue que son cousin était sensible et très fragile quand il s'agissait de Will mais c'est seulement quand il croisa les yeux orageux d'Annabeth qu'il comprit.

Nicolas souffrait, a chaque fois que Will partait, il étouffait mais ne disait rien, gardait tout pour lui, il n'aimait pas que l'on le regarde, que l'on le trouve niais. Nicolas avait tout le temps peur de perdre Will, on ne se remet jamais de la perte d'un être cher, même quand il revient, on panique. Il vit Will serrer Nico plus fort en lui murmurant que tout irait bien et qu'il était là. « Bébé ». Nicolas l'avait appeler « Bébé » devant eux, jamais son cousin ne s'autorisait se genre de faiblesse devant eux, les petits noms d'amour était réserver à quand le blond et lui étaient seuls. Mais là...

-Je suis là, mon coeur...il entendit un sanglot étouffé et Nicolas comprit que Will pleurait, les yeux cacher dans ses ondulations. Il paniqua, se rapprocha et s'accrocha à sa chemise de toutes ses forces.

-Ne pars pas...ne pars plus jamais...Will caressa ses cheveux tendrement. J'en peux plus! Il sentit tout le monde se tendre alors que les larmes dévalait ses joues, un aveux, il avouait tout. J'en peux plus mon coeur...Et Will comprit de quoi il parlait, il n'en pouvait plus des missions, de la fatigue, de revenir défigurer, de partir tout les trois jours pour l'autre bout du monde, qu'ils soient séparer.

Un silence se fit, il sentit Will lui caresser les cheveux, il se sentait en apnée, il avait avouer le plus secret de sa vie, le métier d'agent, sa vie lui pesait. Il voulait arrêter, acheter une maison à Londres, partir avec Will, tout recommencer la bas, avoir un chien qu'ils appellerait Titus comme dans Batman, aller au ciné, de réveiller tout les matin collé. Oui, Nicolas Di Angelo voulait prendre sa retraite. Il entendit un soupira de soulagement puis sentit le blond hocher la tête.

-Okay...il le regarda dans les yeux, leurs regards pleins de larmes. Un sourire triste vient prendre possession des lèvre du blonde qui frotta leurs nez avec tendresse. On arrête la....il caressa sa joue du bout des doigts et sourit doucement en hochant tristement la tête.

-On arrête la....

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