*Keith*
-À tout nos « je t'aime » qui résonneront jamais dans ma tête. A tous nos souvenirs qui ne suivront a jamais. Et à tous nos moments qui entraîneront ma chutes, je vous en supplie, ne me quitter jamais. Je préfère tomber en me souvenant de toi que d'avancer en t'oubliant...
Quand Keith poussa la porte, il s'attendait à un sentiment de solitude, un sentiment de peur mais pas à se vide totale, pas à se vide qui engloutie tout autour de lui sans rien laisser d'autre que le manque cruel de l'autre. Et soudainement il se rendit conte que Lance n'était plus la, il prenait réellement conscience que plus jamais il ne serait avec le cubain, qu'il ne pourrait plus jamais le voir sourire, que tout leurs moments n'étaient plus que des images figées dans son esprit. Il fit un pas en avant, bancal, hésitant comme par peur que le sol ne s'ouvre soudainement devant lui. Keith ferma la porte et posa son sac de voyage dans l'entrée avant d'avancer, d'aller dans le salon et de voir. Il vit que le manque allait le faire devenir fou, fou de chagrin.
Le salon était le même que quand ils étaient partit, les même deux canapés en cuir sombre, la même table basse, la même télé, la même pile de journaux poser sur une petite table japonaise. Il y avait toujours leurs cousins colorées, leurs plaides bleu et rouge affreusement doux. Il vit ses tableau, ses photo de voyage toujours là, les fenêtres donnaient la même vue sur le parc du quartier. Il s'approcha et regarda la lune haute dans le ciel, la nuit tombait, la première d'une interminable existence. Le regard du brun fus attirer par la porte de leurs chambre, il frissonna et s'approcha, la porte était ouverte, il vit leurs armoire, une armoire qui sentait encore leurs odeurs, il vit leurs tables de nuit dépareiller ; il vit leurs bibliothèque remplis de livres et de bibelots. Puis le lit, un lit vide, froid, un lit avec encore leurs couverture bordeaux, une couette froide et sans odeur. Il ferma brusquement la porter et se colla au mur. Il n'avait pas la force de bouger, de voir le reste, de voir les vêtements de Lance dans la salle d'eau, de voir sa tasse, ses tasses dans la cuisine, sa vielle radio, son fauteuil devant la cheminer, sa chaise à table, de voir le restes de leurs souvenirs accumuler sans lui.
Il se sentait étouffer ; il se sentait affreusement seul, abandonner par celui qu'il aimait plus que tout au monde, abandonner par la vie entière. Lance n'était plus avec lui, plus là pour l'aimer, pour l'embrasser en passant, pour le consoler, pour vivre tout se qu'ils devaient vivre ensemble. Putain, six ans de vie commune qui s'envolait comme un nuage poussé par la brise. Il sentit une larme couler et se laissa glisser jusqu'au sol, il avait froid, un froid que personne ne pourras plus lui enlever, un froid de Lance, de son affection débordante, de ses sourires lumineux, de ses mains.
Il regarda le sol et vit une pille de lettres poser devant leurs porte, il n'y avait pas fait attention, il la ramassa et regarda les enveloppe, des publicités, une carte postale de Shiro. Une larme coula, Shiro était son mentor, il lui avait tout appris, ils étaient comme des frères tout les deux et maintenant il allait devoir prendre son portable et appeler le brun pour lui annoncer que...que Lance ne reviendrait jamais plus manger le dimanche. Il regarda la suite, des lettres de Voltron, une invitation à une œuvre caritative ou Lance l'aurait certainement trainé de force et enfin une lettre. Blanche avec un tampon rouge en forme de croie. Son sang se glaça et il saisit le papier brulant dans sa main et l'ouvrant. Il lut les yeux remplis de larme, le visage déformé par des sanglots, par une fulgurante douleur finalement il la laissa tomber.
Cela faisait trop mal, leurs noms communs, pourquoi ? Pourquoi Keith et Lance Mc.Clain ? Pourquoi lui rappeler cet anneau qui lui brule le doigt, ses « oui » qui résonnent en lui ? Trop mal, cela faisait trop mal de savoir qu'ils étaient mariés, que pour cette vie Lance lui avait appartenue. Trop mal de savoir que c'était leurs dernières missions avant la retraite, qu'ils n'avaient que vingt-cinq ans. Et cette lettre, cette lettre de la mère porteuse qui lui annonçait que son septième mois de grosses s'engageait sans problème et qu'ils seraient papas. Cette lettre qui lui annonçait que leur plus grand rêve allait avoir lieu, que leur bébé allait bien. Un bébé, bon sang, ils allaient avoir un bébé, un bébé à eux, un bébé de Lance. Un mini-Lance qui ne saura jamais combien il ressemble à son père, combien ils auraient été beaux tous les deux ensemble. Son cœur se brisa plus que possible, il venait de perdre le sens de sa vie, son chemin c'était avec Lance, sa vie futur c'était avec le cubain. Seul qu'aillait-il bien pouvoir faire ? Il ferma les yeux et retient un sanglot en entendant quelqu'un frapper à la porte.
Se n'était pas l'agence Voltron, Keith avait prit sa retraite et Lance était mort, se n'était pas la famille du cubain, elle avait trop à faire, pas la sienne, pas leurs amis qui n'étaient pas encore au courant et qui ne viendrais pas maintenant, pas deux semaines après sa mort. Alors qui ? A trois heures du matin ? Il alluma sa lumière et essuya le reste de larme sur ses joues avant d'ouvrir la porte.
Une jeune femme blonde se tenait là, un homme brun derrière elle, tout deux en costume noir à chemise blanche, ses yeux gris orageux le fixaient avec un mélange étrange de sérieux et de douceur. Non, une ancienne douceur, perdu et disparut. Il la regarda de haut en bas, elle était musclée, sportive sans aucun doute, ses épaules carrée et sa taille fine, sa veste noir était parfaitement lisse. L'homme était un peu plus grand qu'elle, les épaules carrées, la carrure fine mais forte en même temps, des yeux bleus lagon à faire tomber les filles. Il retient un rire moqueur, le seul regard à avoir un jour changer son monde avait le plus beau des bleus dans les yeux. Il souffla et les regarda, ils l'examinaient aussi, des agents peut-être mais alors de quoi et pour qui allez savoir.
-Monsieur Kogan ? Son cœur s'arrêta et il sourit tristement, sa faisait tellement mal, tellement vide quand on l'appelait comme cela. Il secoua la tête tristement et la regarda, ses sourcils froncée elle semblait affreusement perdu.
-Mc.Clain ; je suis marié....sa voix se brisa en le disant. Il se rendit conte qu'il ne pourrait plus dire cela, c'était faux alors sans lui laisser le temps il rectifia la gorge nouer avec tout le peine du monde abattue sur ses épaules. Veuf, je suis veuf...il vit un instant un éclaire de tendresse passer dans ses yeux gris mais ne dit rien de plus.
-Toutes mes condoléance monsieur. Elle chercha ses mots et fini. Nous sommes des agents d'Olympus et nous aurions des questions à-propos de la mission GREEN il y à trois ans. Ses yeux étaient plus sombres, vous étiez un des agents envoyer par Voltron n'est-ce pas ?
Keith fronça les sourcils mais hocha la tête, il comprenait doucement ou voulait en venir ses gens, il comprenait aussi pourquoi ils n'avaient pas trainé à venir le voir malgré l'heure tardive, ils devaient attendre qu'il rentre chez lui. Il souffla, il n'avait pas vraiment envie d'en parler, il n'avait pas envie de parler tout cours, mais ses gens avaient besoin de lui, il avait promis d'aider son prochain et de faire le bien au péril de sa vie. Il regarda les deux jeunes gens, bien qu'ils soient musclées et avait l'air entrainer il était sur qu'il saurait les neutraliser. Le coréen hocha la tête et se décala, leurs faisant comprendre d'entré. La blonde lui sourit timidement et rentra vite suivit du brun qui le salua d'un signe de la tête en soufflant. Ils semblaient s'entendre à merveille, se fus encore plus flagrant quand ils s'assirent sur le canapé aux antipodes l'un de l'autre. Keith haussa un sourcil, posant une question muette au brun qui secoua la tête. « C'est compliquer » comprit Keith avec un sourire de compassion, lui aussi il avait eu un binôme « compliquer » ; il sentit une larme couler, il ne remercierait jamais assez les dieux d'avoir mit Lance Mc.Clain et son sourire sur sa route.
-Je m'appel Percy Jackson et voici Annabeth Chase. Le brun venait de prendre la parole et Keith comprit qu'il avait vue la larme couler. Nous sommes des agents d'Olympus. Keith hocha la tête, il le savait déjà mais ne dit rien, Percy tentait simplement d'être aimable.
-Keith. Il leurs sourit doucement et demanda avec gentillesse. Qu'est-ce que je peux faire pour vous ? Percy regarda Annabeth qui fixait les yeux remplis de question le cadre photo posée à côté d'elle. Dessus deux jeunes hommes souriaient dans un fou rire, ils étaient jeunes, dix huit ou dix-neuf ans peut-être. Ils semblaient heureux, rieur et joyeux. Percy la regarda aussi et Keith soupira tristement.
Lance rayonnait dessus, tellement joyeux, tellement colorée, tellement beau tout simplement ; ils venaient de se mettre ensemble à l'époque et leurs amis les avaient photographiés alors que Lance explosait de rire. Ses grands yeux bleus resplendissaient de joie, ils brillaient du plus beau des bleus et Keith pouvait encore visualiser l'amour qu'il y lisait. Il regarda son mari, l'homme de sa vie, ses dents blanches contrastaient avec sa peau bronzée et ses cheveux chocolat étaient cours. Il entendit tout juste Percy parler.
-Qui est-ce ? Il regarda Keith. Les hommes sur la photo ? Le cœur du brun rata un battement et il regarda Percy, il chercha ses mots mais aucuns sons ne sortie de sa bouche, il était rouiller et se retenait de ne pas exploser en larmes. Finalement Annabeth prit la parole avec une tendresse nouvelle.
-C'était Lance Mc.Cain n'est-ce pas ? Son regard était compatissant. C'est votre époux depuis presque cinq ans maintenant. Percy ouvrit de grands yeux et fronça les sourcils alors que Keith était toujours assis face à eux l'air peiner et ses cernes noirs plus visible que jamais.
-Oui, c'était mon époux. Il sourit tristement et répondit à la question muette des deux jeunes. Il n'est plus avec moi désormais ; Olympus ne doit pas encore être au courant mais mon époux est mort durant l'attaque de Gaia sur notre base. Sa voix se brisa et il se remit à trembler en revoyant le visage larmoyant de Lance derrière la vitre de la capsule. Excusez-moi. Dit-il en sentant les larmes couler. C'est juste que...c'est récent, je ne me suis pas fait à son...manque.
-Ne vous excusez pas voyons. Annabeth le regarda et avec douceur commenta. J'ai moi-même perdu mon époux il y a quelques mois de cela. Il hocha la tête et elle posa sa question. Vous voulez bien nous parler de cette fameuse mission ?
Il hocha la tête, s'appuya contre le dossier de son fauteuil et ferma sa main en caressant son alliance avant d'ouvrir les yeux et dans un souffle résumer la triste affaire.
-C'était un massacre....
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