J'ai toujours vus Jason comme une sorte de Superman.

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-Le monde à besoin d'un héros et le héros à besoin de toi pour avoir un monde.

Jason avait toujours eu une famille étrange et le fait que son père soit agent secret et sa mère à moitie folle n'aidait surement pas. Non, sa mère était folle et cela n'aidait absolument pas. Et en réalité cette triste conclusion aurait pus n'avoir que cela comme raison mais dieu étant injuste, il lui avait fournit dans le pack « la famille que personne ne veut », une sœur ainé qu'il ne connaissait que depuis six ans et qui était dans le coma depuis dix ans, qui était agent secret et fiancer à un homme porter disparut et ancien militaire de carrière Luck. Un héros qui aurait sauvé des dizaines de vies avant de disparaitre au cours d'une mission suicide. Sa sœur aurait sombré après ça, elle était enceinte de déjà six mois. Il pouvait facilement comprendre que quand votre fiancer disparait c'est dur alors quand en plus on attend un bébé...notre monde s'effondre.

Mais sa sœur est incroyable et elle à tenus bon, elle c'est relever, elle c'est accrocher solidement aux restes de son navire. Capitaine intraitable de sa vie. Elle à poser un congé, ranger, classer et harceler  le gouvernement : pas de corps ; pas de mort. On ne tuait pas son fiancer comme ça. Alors elle l'avait cherché un peu partout, elle avait fait appel à chacun de ses réseaux mais personne ne comprenait comment il avait pus disparaitre tel un fantôme. Néanmoins, elle avait eu leurs enfants et pour la première fois depuis des mois elle c'était effondré à nouveau en serrant sa petite fille dans ses bras.

Sa nièce s'appel Natacha, elle à déjà trois ans et n'a jamais vus son père, sa mère est formidable et très occuper, encore une future espionne. Jason à divers relation avec sa famille mais la plus connue et la lassitude, son père n'est jamais là pour lui, l'ignore et ne sait pas s'occuper de lui, ni de sa sœur, ni de sa petite fille, ni de sa femme. Il ne pense qu'au travail et à ses missions. Sa mère est malade et bipolaire, elle est à l'hôpital depuis ses deux ans et il ne se souvient pas lui avoir parlé en dehors de sa chambre capitonner. Puis sa sœur et lui avait hélas le même caractère autant dire abominable. Puis ses oncles étaient aussi étranges que son père et malgré ses deux cousins et sa cousine germaine qu'il adorait, il devait avouer se sentir seul et surtout en manque d'affection et ceux depuis longtemps.

Il adorait sa famille se n'était pas la question mais il y à une différance entre aimer et supporter. Il avait besoin de vivre, d'aimer quelqu'un qui l'aime autant qu'il en aurait besoin. Percy était affectueux mais son cousin était aussi son rival et leurs relation était plus un je t'aime- te hais. Bianca était trop absente et occuper avec ses propres problèmes pour voir cela. Nicolas est surement beaucoup trop timide et réserver pour admettre qu'il puisse seulement désirer de l'affection alors en donner ? Non...il l'était depuis tout petit seul, enfin il s'entrainait seul, il mangeait seul, il jouait seul et après il avait rencontré sa famille. En fait, il était entouré d'handicapés sentimental.

Soupirant il ferma son livre et regarda le paysage défiler à travers la vitre de son métro ; la thérapie familial d'agent secret n'existait toujours pas et de tout manière son père aurait refusé et sa mère n'aurait même pas comprit de quoi il parlait. Soufflant de lassitude il ne remarqua pas tout de suite qu'une jeune femme c'était assise face à lui et le fixait amuser du titre de son livre.

« Vous avez des problèmes qui mérite que vous achetiez ; La famille pour les nuls ? » ; son rire tel un éclat de rêve s'éleva dans le vaguons et Jason se tourna vers elle pour tomber sur la plus sublime des créatures. La jeune fille devait avoir la vingtaine, une peau bronzer et parfaite, des cheveux retenue en chignon bas, d'une jolie couleur cacao, un nez droit, des lèvres épaisses et mordu, un visage délicat. Mais le plus fou était ses yeux, ses yeux violets dans lesquels il lisait toute la douceur du monde. Et sa voix, chaude et agréable, un instant il pensa que même Aphrodite serait jalouse d'une telle femme encore plus quand cette dernière lui sourit gentiment. Alors pour la première fois il fut désarmé et a cours de répartie choisit la sincérité.

-Il se trouve que ma famille nécessite cette option de désespoir totale. Il dit cette réplique avec plus d'humour que prévue et pensa après coups qu'elle était réellement pathétique. Elle rie et il sourit. Penchant la tête elle sembla hésiter un cours instant avec de sourire.

-Piper. Il la regarda encore une fois surprit et elle sourit. Je m'appel Piper et vous ? Il sourit doucement et répondit « Et toi ? » avant de répondre.

-Jason. Jason Grace. Elle sourit et contempla un instant le paysage qui s'étendait juste devant eux dans se lever de soleil en plein New-York, les rayons doré, oranger se reflétaient sur les vitres des immeubles, les nuages rose laissait apparaitre le ciel bleu pale. Le mélange de moderne et d'anciens, du verre et des briques.

Il n'avait jamais le temps de se poser, jamais le temps d'arrêter trente seconde, il en avait mare de courir dans tout les sens, de sauter d'avions en avions, de passer et repasser sans jamais s'arrenter, ne prendre le temps de rien. Obéir aux ordres,  sauver des vies, en prendre le double, sa vie d'agent secret ne suffisait plus, il en avait mare des hôtels, il avait mare de son costard-cravate, ras le bol de son père, de ses oncles et de ses réunions sans fin qui on toutes la même dynamique. Jason n'était pas du genre à réagir sur un coup de tête, la dernière fois datait de quand il avait seize ans et que en mission Nicolas c'était fait frapper au visage et traiter de tout les noms après avoir dit que les filles n'étaient pas son genre. Il avait perdu tout self-control et avait rué de coup l'agent russe. Aujourd'hui en se levant rien ne présageait que aujourd'hui il allait faire se qu'il voulait pour un foie. Il se tourna vers Piper qui le fixait maintenant, aller savoir ses lunettes étaient peut-être de travers.

-Piper puis-je demander quelque chose de totalement dingue ? Demanda Jason, il eu le plaisir de la voire tourner aux rouges tomates en croisant ses jambes et en lissant sa jupe crayon noir, jupe qui lui allait à merveille d'ailleurs.

-Vas-y. Répondit malgré sa gène apparente la jeune femme qui avait maintenant qu'il faisait attention un accent français délicieux, il sourit soudainement timide mais se repris et lissa également son pantalon de costume.

­-Passe la journée avec moi. Elle ouvrit de grands yeux et il surprit encore une fois une nouvelle couleur, un vert pomme longeait le bord de sa pupille et le blond trouvait cela sublime.

Elle regarda étrangement comme tenter d'accepter et en même tant effrayer par la possibilité qu'il soit un fou sociopathe qui l'assassine au fond d'une ruelle. Il la regarda faire la moue partager entre le fait qu'il soit sympathique et le fait que se sois un parfait inconnue qu'elle rencontre dans le métro à six heures du matin. Finalement elle se leva, lissa sa jupe, prit sa veste qu'elle enfila et son sac avant de le regarder. Jason n'avait pas bougé se disant qu'elle allait fuir dés l'arrêt du vaguons. Pourtant elle lui adressa un magnifique sourire.

-C'est d'accord. Elle tourna les talons et partir vers les portes le laissant encore une fois immobile et totalement idiot face à son assurance et à sa lumière. Piper le regarda et dit. Par contre on s'arrête ici, mon café préférer et juste devant la station et je conte bien le prendre. Il rie doucement et s'approcha d'elle.

-Accorder. Il se tient à la barre et la regarda sourire doucement à leurs reflets dans la vitre. Il les regarda, le contraste était saisissant entre eux deux et il ne pus s'empêcher de sourire.

Elle n'était pas très grande et ressemblait à une ballerine avec ses épaules musclées et ses longues jambes, sa peau était foncer et ses cheveux était bien attacher d'un châtain foncer avec des yeux maintenant aux reflets bleu. Sa robe blanche moulait son corps et sa veste bleu marine était plus longues, des escarpins. Il se demandait se qu'elle faisait dans la vie. Lui était bien plus grand qu'elle, au moins vingt centimètres, ses épaules était carrer et sa peau de pale, ses cheveux blond platine et ses yeux bleu azure contrastait avec la jeune femme. Son costume noir et sa robe blanche.

Le métro ralentit et s'arrêta, alors que la foule fonçait pour monter, eux descendait en riant doucement du visage étonner des gens quand ils les avaient vus exploser de rire tout les deux une fois le métro repartit sans eux.

Jason ne faisait jamais rien de fou, plus par restriction que par manque d'opportunité, il n'avait jamais non plus désobéit à son père, il n'avait jamais été en retard à une réunion. Jason n'avait pas non plus eu de petite amie, ni même de rendez-vous avec une fille en dehors de l'agence. Jason n'avait jamais coupé son portable ou rie avec des inconnus croisé dans le métro tout comme jamais, au grand jamais, il n'avait passé une journée sans pensé à son boulot.

Mais certaine journée sont décisives, certaine journée laisse imaginer tout à n'importe qui, tout peu être exceptionnel, chacun l'est et certains jours le sont. Alors aujourd'hui Jason à surement prit la plus folle et merveilleuse décessions de toute sa vie en invitant son inconnue du métro à passer la journée avec lui.