chapitre 20 : Alex, oui encore moi !

dédicace : l'auteur a fait ce chapitre avec un veritable gendarme mon amis Nicolas donc voila la plupart des idées du chapitres sont de lui et également a Jules qui a aidé pour les paroles du pompiers et peu le détails autour.

La liste est arrivée quinze jours après la disparition de Louka.

Je n'étais pas chez moi pour le réceptionner puisque j'étais devant chez lui, où j'étais allé pour la énième fois dans l'espoir absurde qu'il y soit. Sur la route, les mains agrippées au guidon, mon iPod éteint, j'avais décidé que si il était là, je ne réclamerais aucune explication. Il n'aurait pas besoin de me dire pourquoi il avait soudain cessé de répondre à mes appels, messages et mails, ni pourquoi il s'était volatilisée en même temps que ses parents et leur voiture. Je savais que c'était un raisonnement idiot, comme si j'avais affaire à une puissance cosmique capable de me garantir que le deal serait respecté.

Mais ça ne mempêchait pas de m'y agripper en approchant de mon vélo. Et je voulais bien promettre n'importe quoi si ça pouvait me ramener Louka. Parce qu'alors, les choses retrouveraient du sens. Je pouvais dire sans exagérer que les deux dernières semaines avaient été les pires de ma vie. Le premier week-end des vacances, malgré mes protestations, mes parents mavaient traîné.

Louka dans la seconde qui avait suivi mon retour à ma ville natal, sur mon vélo, impatient de savoir où il était pour pouvoir le rejoindre. Mais il navait pas répondu; ni alors, ni une heure après, ni plus tard dans la soirée, ni juste avant que jaille me coucher. Le lendemain, en passant devant chez lui, jai dû constater que la voiture de ses parents n'était pas là et que tout était éteint. Louka ne répondait pas à mes messages et ne décrochait toujours pas. Je tombais directement sur sa boîte vocale. Je n'en étais pas encore à m'inquiéter.

Il lui arrivait de tomber à court de batterie et il n'avait jamais l'air de savoir où était son chargeur. Ses parents, Jean et Mireille, oubliaient régulièrement de le prévenir de leurs projets de voyages. Ils l'embarquaient sans crier gare à a une plage et il revenait quelques jours plus tard avec un léger hâle, un petit souvenir pour moi et plein d'histoires à raconter. C'était sûrement ce qui s'était passé.

Au bout de trois jours sans nouvelles, là, jai commencé à m'inquiéter. Au bout de cinq, j'étais paniqué. Quand je n'en pouvais plus de tourner en rond chez moi en suppliant mon portable de sonner, je sillonnais la ville en vélo en passant par tous nos coins à nous. Je n'avais aucun mal à le visualiser en contexte, avant d'arriver sur place et de constater son absence. Non, il nétait pas en train de faire bronzette allongée sur une table de pique-nique dans le parc, ni d'inspecter les présentoirs de soldes à Il était deux fois, ni de finir sa part de pizza à l'ananas chez Pizza Cut.

Il n'était nulle part.J'étais perdu. Il se passait rarement une journée sans qu'on se voie. On n'arrêtait pas de se parler ou de senvoyer des messages et rien n'était trop tabou ni trop insignifiant, même les échanges du style :

«Je trouve que jai lair dune amis dans ma nouveaux short, jure-moi de me le dire si cest vrai » (moi),

ou : «Tas remarqué que personne n'a repéré le monstre du loch Ness depuis un moment ?» (lui).

Depuis mes deux ans quon était meilleurs amis, je partageais la quasi-totalité de mes pensées et de mon vécu avec lui, et ce brusque silence était assourdissant. Je ne voyais pas quoi faire d'autre que continuer à lui envoyer des messages et à la chercher partout. Et je n'arrêtais pas de sortir mon portable pour signaler à Louka que je vivais mal le fait qu'il ne réponde pas à mes messages.

Arrivée devant chez lui, j'ai inspiré à fond et retenu mon souffle. Comme quand j'étais petit et que jouvrais le dernier paquet de mes cadeaux d'anniversaire, en priant pour que ce soit la chose que je n'avais pas encore, la seule que je désirais vraiment. Mais il n'y avait toujours pas de voiture dans leur allée, et toutes les fenêtres restaient sombres. Je me suis quand même aventuré. Louka ne pouvait pas avoir déménagé. il n'aurait jamais fait ça sans me prévenir.

Mais où était-il ? Ravalant mes larmes, je suis descendu de mon vélo et j'ai observé la maison, les yeux plissés face au soleil. Le simple fait quelle soit vide à une heure aussi matinale prouvait qu'ils ne s'étaient pas juste absentés pour la journée : je n'avais jamais vu ses darons debout avant cinq heures. Tout en sachant que ça ne servait à rien, j'ai traversé le jardin et monté les larges marches en pierre, enfouies sous une épaisse couche de feuilles vert vif que jai dû balayer du pied. Une preuve supplémentaire qu'il n'y avait personne depuis un moment. Ça ne ma pas empêché de frapper à la porte avec le heurtoir à tête de lion, pour la sixième fois de la semaine.

J'ai essayé de voir à travers le panneau vitré, espérant encore que, dans une seconde, ou une minute, j'allais entendre les pas de Louka qui accourait pour m'ouvrir et qu'il me serrerait dans ses bras en me noyant sous un flot de paroles. Mais la maison restait plongée dans le silence, et je ne vis rien.

Jai attendu encore quelques minutes, au cas où, avant de m'asseoir sur la marche du haut en serrant les dents pour ne pas m'effondrer. Quelque part, j'espérais encore me réveiller pour découvrir que tout ça n'avait été qu'un cauchemar très réaliste, et que Louka serait là, suspendu à son portable, déjà occupée à programmer notre journée.

La maison de Louka est située dans ce qu'on appelle « l'arrière-pays», où les maisons sont de plus en plus grandes et éloignées les unes des autres, bâties sur des parcelles de terrain de plus en plus vastes. Il n'est qu'à quinze kilomètres de chez moi, distance que je parcourais sans problème en courant du temps où j'étais au top de ma forme physique. Mais malgré cette proximité, nos environnements ne pourraient pas être plus différents. Ici, on voit juste passer une voiture de temps en temps, et le silence semblait souligner le fait que j'étais totalement seul, qu'il n'y avait personne, ni probablement le retour de personne à attendre. Je me suis penché en avant en laissant mes cheveux pas retomber devant mon visage comme un rideau.

Puisqu'il n'y avait personne, au moins, je pouvais rester là un moment sans qu'on me chasse. Peut-être même toute la journée. Je ne savais vraiment plus quoi faire de moi. Soudain, le ronronnement d'un moteur a ravivé l'espoir comme une flamme dans ma poitrine et ma fait relever la tête.

Mais la voiture qui tournait lentement dans l'allée n'était pas la BMW un peu cabossée des Klein. C'était un pick-up jaune, à la plate-forme encombrée de tondeuses et de râteaux. Quand il s'est arrêté devant les marches, j'ai vu l'inscription qui s'étalait en italique sur son flanc : Paris paysagiste.

Conception plantation entretien Ça dépote ! Louka adorait les noms et les slogans ringards.Il n'était pas particulièrement fan de jeux de mots, mais il disait que ça l'amusait d'imaginer les gens en train de se creuser la tête, et leur fierté quand ils avaient trouvé. J'ai tout de suite pensé qu'il ne fallait pas que j'oublie de lui répéter celui-ci, avant de réaliser combien c'était stupide.

Trois gars sont descendus du pick-up pour se diriger vers l'arrière, et deux d'entre eux ont commencé à décharger le matériel. Ils devaient avoir une vingtaine d'années. Je suis restée planté là, à les observer. C'était l'occasion d'essayer d'en savoir plus, mais pour ça, il aurait fallu que je leur parle. J'avais toujours été timide, même si je m'étais amélioré. Avec Louka à côté de moi, j'avais enfin la sensation d'avoir un filet de sécurité. Il était toujours prêt à assurer si ça m'arrangeait, ou à prendre la relève si je me d'égonflais ou que je paniquais en chemin.

Même en son absence, les échanges maladroits ou avortés ne me perturbaient plus autant, parce que je savais que je pourrais en faire des anecdotes dont on rirait plus tard. Mais là, sans lui, je commençais à me rappeler à quel point j'étais pitoyable pour gérer ce genre de situation tout seul.

– Salut.

J'ai sursauté en me rendant compte que l'un des jardiniers sadressait à moi. Il me regardait avec une main en visière face au soleil, pendant que ses collègues déchargeaient un tracteur-tondeuse.

– Tu habites là?

Les deux autres ont posé la tondeuse, et j'ai réalisé que j'en connaissais un. On avait un cours en commun l'année précédente. Ça ma stressée encore plus.

– Non, ai-je répondu.

À force de ne parler que sur la boîte vocale de Louka et de n'échanger que le strict minimum de banalités avec mes parents et mes frères et soeurs, j'avais la voix super enrouée. Je me suis éclairci la gorge et jai recommencé :

– Non. Ce nest pas chez moi.

Le gars a haussé les sourcils en continuant à me fixer, signe qu'il était temps que je m'en aille. À leurs yeux, je n'étais qu'un intrus, qui les empêchait sans doute de faire leur boulot. Ils me dévisageaient maintenant tous les trois, attendant clairement que je lève le camp. Mais si je partais si je cédais à la pression de ces inconnus en tee-shirt jaune, où allais-je trouver des informations ? Est-ce que ça voulait dire que je me résignais à la disparition de Louka ?

Celui qui m'avait parlé a croisé les bras d'un air impatient et j'ai compris que je ne pouvais pas rester là. Si Louka avait été avec moi, je me serais senti capable de les questionner. D'ailleurs, il aurait déjà eu en poche leurs numéros de téléphone et serait en train de négocier un tour sur le tracteur tondeuse en projetant de tracer son nom dans l'herbe.

Mais si il avait été avec moi, je n'en aurais pas été là. Les joues en feu, je me suis levé et j'ai descendu les marches à la hâte. Mes sandale ont dérapé sur les feuilles, mais j'ai réussi à me rattraper avant de me rétamer et de m'humilier encore d'avantage. Je les ai salués d'un signe de tête et j'ai filé à mon vélo. Maintenant que je partais, ils s'étaient mis à s'activer. Ils se distribuaient le matériel en discutant de la répartition des tâches. J'ai hésité, la main sur la poignée de mon guidon. J'allais vraiment m'en aller comme ça ? Sans rien tenter ?

– Dites! ai-je lancé.

Je n'avais pas dû crier assez fort, parce qu'ils ont continué à discuter. Celui qui avait été en cours avec moi joué avec sa casquette de base-ball entre ses mains, tandis que les deux autres se chamaillaient sur qui était de corvée pour répandre l'engrais.

– Dites! ai-je répété, bien trop fort cette fois.

Au moins, ils se sont interrompus. J'avais les mains moites. Mais je ne pouvais plus reculer. Je ne me le pardonnerais pas si je partais sans rien dire.

– Je, euh

J'ai expiré, dans un souffle un peu saccadé.

– Cest la maison dun ami à moi, mais je ne sais pas où il est. Est-ce que vous...

Soudain, jai vu la scène de l'extérieur, comme à la télé, et réalisé à quel point c'était ridicule de cuisiner des jardiniers pour essayer de retrouver mon meilleur ami.

– Enfin, c'est eux qui vous ont engagés ? Ses parents, je veux dire ? monsieur et madame Klein ?

Malgré moi, je commençais déjà à me raccrocher à cette hypothèse, pour en faire une explication qui tenait la route. Si les Klein avaient fait appel à une entreprise pour s'occuper du jardin, ça voulait peut-être dire qu'ils étaient en voyage. Un long voyage, quoi. Pour une destination où les portables ne passaient pas, où il ny avait pas Internet. C'était tout bête. Les gars se sont regardés, mais ces noms n'ont pas eu l'air de leur évoquer grand-chose.

– Désolé, ma répondu celui à la casquette. Nous, la boîte nous donne juste l'adresse. On ne s'occupe pas des relations avec les clients.

Ma dernière lueur d'espoir venait de s'éteindre. En y repensant, cette histoire de jardiniers était plutôt mauvais signe. Je n'avais jamais vu Jean manifester le moindre intérêt pour sa pelouse, malgré l'insistance de la Société historique de truc pour qu'il entretienne le jardin. Les deux autres étaient déjà partis vers l'arrière de la maison, et le troisième ma dévisagé en remettant sa casquette.

– Hé, mais tes pas le copain de Louka Klein ?

– Si ! ai-je répondu avec empressement.

C'était comme ça qu'on me connaissait au lycée, et ça ne me gênait pas plus que ça en temps normal. Mais je n'avais jamais été aussi heureux qu'on me colle cette étiquette. Peut-être quil savait quelque chose.

– C'est justement lui que je cherche. C'est pour ça que je suis là, d'ailleurs, puisqu'il habite ici.

Il a hoché la tête et haussé les épaules d'un air d'excuse.

– Désolé, je ne sais rien du tout. J'espère que tu vas le retrouver.

Il ne ma pas demandé comment je m'appelais, et je ne le lui ai pas dit. À quoi bon?

– Merci, ai-je réussi à articuler.

Trop tard ; il avait déjà rejoint ses copains. J'ai regardé la maison une dernière fois, cette maison qui, quelque part, ne me semblait même plus être celle de Louka , et j'ai compris que je n'avais plus rien à faire là.Je ne suis pas rentrée chez moi directement. Je me suis arrêté au Roi du café, pour le cas très improbable où il y aurait un gars là-bas, dans le fond, les cheveux en blouclettes chatîn clair Mais Louka n'y était pas.

Et en regagnant mon vélo, j'ai réalisé que si il avait été parti quelle part, il aurait été inconcevable que je ne me rappelle pas. Ça faisait deux semaines. Il y avait forcément un problème. Curieusement, cette pensée ma boosté. Quand je partais de chez moi tous les matins, je laissais mes parents croire que j'allais retrouver Louka. Et s'ils me posaient des questions, je répondais vaguement que je cherchais un petit boulot.

Maintenant, je savais que le moment était venu de leur avouer que j'étais inquièt ; que j'avais besoin de savoir. Après tout, ils étaient peut-être au courant de quelque chose, même s'ils n'étaient pas proches des parents de Louka. Ils s'étaient rencontrés un jour où Jean et Mireille étaient venus chercher Louka à la maison à une soirée pyjama avec deux heures de retard. Après les échanges de formules de politesse classiques et les adieux entre Louka et moi, mon père avait refermé la porte et grogné en se tournant vers ma mère :

"On se serait crus dans une pièce de chez pas quoi"

Je navais pas compris mais, au ton de sa voix, j'avais deviné que ce n'était pas un compliment. N'empêche, mes parents savaient peut-être quelque chose. Ou ils pourraient peut-être en découvrir d'avantage. Je m'accrochais de plus en plus à cette idée sur le trajet qui me ramenait à la maison. On habite pas loin de la Seine, dans une zone où on se déplace facilement à pied, et il y a beaucoup d'affluence, à la fois piétonne et automobile, principalement vers le parc qui se trouve à dix minutes en à pied. Même si on na pas de belles plages de sable, un paysage magnifique et de superbes maisons sans jardin car la casi totalité de la ville sont des HLM.

Notre maison à nous est le chateau Saint-ouen.(NDA: c'est dans un monde parallele au notre) Le plancher grince un peu, les plafonds sont haut, et le rez-de chaussée et que la maison est quelle soit bâtie sur trois niveaux la maison a été peinte en jaune. Elle compte une large véranda le long de la façade arierre. En posant mon vélo, j'ai vu Elou' assis sur les marches de la véranda, parfaitement immobile. C'était déjà étonnant en soi. Eloïse a dix ans et demi et bouge en permanence. Elle es toujours en train d'escalader des pentes vertigineuses, de s'exercer à des prises de ninja ou décumer les rues du quartier à vélo comme une sauvage, généralement avec sa meilleure amie Lucie Montpelier, sa mère surtout terrorisant les autre mères avec sa poussette dans un rayon de dix kilomètres.

– Salut! ai-je lancé en mapprochant. Tout à coup, j'ai eu peur d'avoir raté quelque chose au cours des quinze derniers jours, où j'avais passé les repas à dormir les yeux ouverts, prêtant une attention strictement minimum à ce qui se passait autour de moi. Mais peut-être que Eloïse avait poussé le bouchon un peu trop loin et qu'elle était punie. Je n'allais pas tarder à le savoir, puisqu'il fallait que je parle de Louka à mes parents.

Al– Ça va ? ai-je demandé en montant les trois marches de la véranda. Ma soeur a levé le nez vers moi avant de le baisser de nouveau sur ses baskets.

Elou– Ils recommencent.

Al– Tu es sûr ?

J'ai poussé la porte en espérant qu'il se trompait. C'est vrai, les deux fois où c'était arrivé,elle était encore petite. Elle avait peut être mal interprété les signes. Eloïse ma suivie à l'intérieur, dans l'entrée transformée par nos soins en vestiaire-débarras pour nos vestes, écharpes, clés et chaussures. Je me suis enfoncée dans la maison en plissant les yeux dans la faible lumière, qui était toujours un peu insuffisante.

– Maman?

Je croisais les doigts dans les poches de mon short en jean en priant pour que Eloïse se trompe. Mais quand mes yeux se sont habitués à la pénombre, j'ai distingué par la porte de la cuisine une éruption de provisions en provenance du supermarché. Toutes les surfaces disparaissaient sous des montagnes de produits achetés en masse : pâtes instantanées au fromage, boîtes de céréales géantes, méga-packs de lait, et une quantité presque obscène de mini pizzas micro-ondables au fromage. À ce spectacle, j'ai compris avec un coup au coeur que ma soeur avait parfaitement évalué la situation : ils se lançaient dans l'écriture d'une nouvelle pièce.

– Je te lavais dit, ma-t-elle glissé dans un soupir.

Je sais que je né dans une famille nombreuse et que des provisions sont nesccesaire mais la au points ou en est la cuisine, s'était produit que deux fois jusque-là. L'été de mes onze ans, ils m'avaient envoyée en camp de vacances, ainsi que mon frere Oliver et ma soeur Annabelle, une expérience qui, bien qu'horrible pour moi. Ils avaient remis ça deux ans plus tard, alors que j'avais treize ans et que ma plus jeune soeur Thérèse avait 1 an.

– Maman! ai-je répété.

Ma mère est sortie de la salle à manger et j'ai constaté avec un pincement au coeur qu'elle était en tee-shirt et pantalon de jogging.

– Alexandre ?

Elle a regardé autour d'elle.

– Où sont tes frères et soeurs ?

– Euh, ici.

– Ah, parfait. On allait vous appeler, justement. On doit tenir un conseil de famille.

– Attends, ai-je glissé à la hâte en faisant un pas en avant. Il faut que je vous parle, à papa et toi. C'est à propos de Louka.

– Conseil de famille ! a tonné mon père depuis la cuisine.

les enfants ! Il a une voix grave, très douce. Il est sorti de la cuisine et a battu des paupières en nous voyant.

– Oh. C'était du rapide.

Papa, ai-je dit en espérant encore réussir à me faire entendre. Je dois vous parler.

Nous aussi, on doit vous parler, a répondu ma mère. On bavardait hier soir, votre père et moi, et je ne sais pas pourquoi, on en est venus à Pourquoi on a parlé de ça, Esteban ?

Parce que l'ampoule de ta lampe de chevet a grillé, lui a rappelé mon père en la rejoignant. Du coup, on sest mis à parler délectricité.

Voilà, c'est ça. De là, on est partis sur Edison, puis Tesla, puis Edison et Tesla, et...

J'ai hoché la tête, mais je savais bien que ça ne mènerait pas à rien. Mes parents avaient déjà fait ça assez souvent pour reconnaître une idée qui valait la peine d'aller dévaliser le supermarché.

– Du coup, on va peut-être travailler un peu.

Et il y a toujours l'argent pour les urgences dans le bol sur le frigo, a-t-elle poursuivi.

L'énorme coquillage, en plus de contenir la cagnotte familiale.

Comme les petits vont au centre de loisirs toute la semaine sauf les plus p'tits que Barry, pour lui, la question est réglée.

– Et le camping, alors ? s'est-il inquiété, mon père.

– NON trop de morveux dans les pattes, la rassuré ma mère.

Mais, mon père s'est tourné vers la cuisine, le front plissé.

Ma mère a chassé l'objection d'un geste.

– On ne part pas. De toute façon.

Et toi, Alex? ma demandé ma mère tout en se rapprochant déjà de la salle à manger, comme attirée par une force gravitationnelle. Tu as des projets pour les vacances ?

Je tombe au sol et je me suis mordu la lèvre. J'avais des tonnes de projets avec Louka. On avait acheté des billets de concert, il m'avait dit qu'il avait établi la carte d'un truc qu'il appelait la tournée des pizzas, et j'avais pensé qu'on pourrait passer l'été en quête du meilleur patiserie deSiant-Ouen.Louka avait en tête de nous trouver des « Filles d'été », mais n'était pas entrée dans les détails sur la manière de procéder. On avait réservé les week-ends où on filerait écumer les divers stand du marchés aux puces Louka comptait sympathiser avec un heureux propriétaire de piscine, et avait décrété que cet été était celui où il me battrait enfin au minigolf.

J'avais une sorte de don pour ça. De son côté, Louka développait un étrange sens de la compétition dès qu'il y avait des peluches en récompense. Je voulais apprendre la danse zombie de Thriller, et elle, celle de la nouvelle vidéo de £ondon Moore, celle qui avait déclenché les protestations des associations de parents.

Et évidemment, on aurait besoin de trouver un petit boulot à un moment ou à un autre. Mais ça devait être un truc pas trop exigeant qu'on pourrait faire ensemble, comme l'été précédent, où on avait été serveurs au Roi du Café. Louka touchait plus de pourboires que tout le monde et je m'étais fait une réputation de killeur pour le remplissage des bouteilles de ketchup après le service. On s'était aussi gardé plein de temps libre, pour les longues heures à passer en ville ou en balade, ou juste à glander sans autre but que de se trouver un Coca light.

Avec Louka, en principe, pas besoin de plus pour séclater. J'ai senti ma gorge se serrer à lidée de tous ces plans, toutes ces visions de vacances qui partaient en fumée. Sans compter que, si Louka avait été là, le fait que mes parents soient soudain trop occupés pour se soucier de mes horaires aurait pu nous ouvrir les portes d'un été carrément épique. Je pouvais presque le voir, cet été, celui de mes rêves, celui que jaurais dû avoir, qui a scintillé devant moi comme un mirage avant de s'estomper et de disparaître.

Alex ? ma relancée ma mère.

Je l'ai entendu mais vu rien. Je sais qu'elle était là, dans la même pièce que moi, en me regardant elle aussi, mais j'étais incapable de distinguer quand mes parents étaient présents et quand ils avaient l'esprit accaparé par leur travail. L'espace d'un instant, jai failli leur dire pour Louka, failli réclamer leur aide pour découvrir ce qui se passait. Mais je savais qu'ils me diraient oui avec les meilleures intentions du monde et qu'ils oublieraient la minute daprès, absorbés par Tesla et Edison.

Esteban, tu devrait appeller les collegues, il est inconscient. Ma mère inquete tremblée dans sa voix.

Bien! a fait mon père d'un air approbateur.

Ma mère a souri comme si j'avais fourni la réponse adéquate, alors que je n'avais rien dit de concret. Il était clair qu'ils voulaient se débarrasser du problème, pouvoir se dire que leurs enfants étaient à peu près casés pour être libres de se mettre au boulot. Ils se rapprochaient déjà de la salle à manger, où leurs ordis luisaient doucement, leur faisant signe.

Oh, Alexandre Fabrice Léo Johantone ma rappelée ma mère.

Et quand ma mère appelle ses enfants par leurs noms complets c'est qu'on a fait une grosses conneries ou qu'on est completement ailleurs.

– Esteban, tu fait quoi la ils viennent quand ? ma mère énervé.

Mon coeur a commencé par ralentir, avant de se mettre à battre comme un dingue. Quand j'entend presque plus rien à frappe à la porte et se rapproche de moi...

Il est où ? Le pompier questionne mes parents.

Devant le canapé du salon. Répondit ma mère.

- Alexandre, tu m'entend, sert moi les mains ou ouvre les yeux. insista le pompier a me parler

- aller Alexandre mon bébé, courage fait le. Ma mere pleura limite.

Une heures plus tard

- Bon, madame on va transporté votre fils, sur le CHU Bichat j'ai lancé le pronostic vital de votre fils. Le medecin prévenez mes parents.

- Juste une petite question madame, est ce qu'il a des antécédent Medicales, traitement en particulier, allergie ? annonça le medecin.

- Oui il est allergique au fraises et ça fait 2 semaines complete qui ne mange plus rien et ne bois rien egalement, sinon il n'a pas de traitement en particulier. continua mon père.

– Tres bien, je note.

lundi 9 mars 2020

Mon alarme sonne. Je l'eteint donc. il est 6h13

- Alexandre réveille toi ! criea ma mère.

Ne voulant pas lui répondre je continue de dormir.

- Aller mon bébé ! Soupire t'elle.

- Mais non j'veut pas j'commence à 11H05 maman ! je lui lança.

Je me retourne avec ma couverture avec le drapaux de la belgique dessus,sur moi, croissant son regard de petit chaton trop mignon.

- D'accord... Désoler mon bébé, moi j'y vais a ce soir. Rajoutant ma mère.

Elle vient déposer un baiser sur mon front chaud.

-Oui a ce soir Maman... Lui balançant de façon grognon.

Je me retourne vers mon mur la laissant partir, je pense a ma bétise... Je ne commence pas à 11h... Je m'en veut de lui avoir menti... Mais personne ne m'aime la bas,il me frappe pendent les récrés j'essaye de me defendre mais j'abandonne tres vite, mes amis eux m'abandonne pour voir leurs amourettes de jeunnesses, et les gens de ma classe me lance des boulettes de papiers ou d'avion en papiers je leurs relance mais je me fait punir encore et encore...

8h48

Je me lève, je ne mange pas, ne veut plus manger, je prend une douche et je m'habille car je ne fait pas aller en silp en cours.

9h06

Je prépare mes cours. Je les révise un peu avant de prendre le chemin, je regarde l'heure et je vois qu'il est 9h59. Je me leve du canapé du salon, je le deteste ce canapé en cuir un jour il va avoir un accident.

10H39

Je me lève, met mes chaussures, dit au revoir a Lylio qui me colle depuis tout a l'heure pour un bisous, il est mignon il a 15 mois c'est mignon a cette age la. Je part en direction du Lycée Marcel Cachin...

11H00

La porte ce referme derrière moi me laissant seul avec le monde cruel qui est le Lycée.

11H10

Je m'avance vers ma salle, on se range, comme d'hab je suis seul derrière. Mais pas pour tres longtemps a mon avis.

- Aller Maxime dépeche toi un peu ! dit le prof.

Maxime, garçon tres enervant, enchaine les exclusions et heures de colles, aurait probablement fait de la garde a vu.

- Vous aller déposer vos affaires a votre place et vous vous rangerez comme vou etes déjà. Annonça le profs

Apres ces paroles on s'execute tous,on ce dirige dans la salle de reunion, une fois arrivé dedans les (animaux sauvages) élèves se place a coté de leurs amis et evidement je suis encore seul. Le principal et son adjointe nous parle d'un fleau qui frappe tout les etablisements scolaire, le harcelement.

- Bonjour a tous et a toutes, je vais parler du harcelements scolaires, si vous etes vicitmes d'harcelement scolaire, venez en parler a un adultes ou a un eleves, ne garder rien pour vous,confier vous, ne laisser rien passé, surtout dites rien de votre vie personnelle, réfléchisez avant de mettre une photos sur internet, ne pas donné les mots de passe c'est tres important, si les a venir de signaler des abus faite le, si vous n'arrivé pas en parler a vos proches ou au lycée appeller le nunéros qui s'affiche sur le diaporama.

Si vous etes témoins, soutenez votre camarades qui est dans le besoins, ne le laisser pas pas tous seul, ne joué pas le jeux, ne vous moquer pas ce que subis votre camarades, parler en aussi, ne l'humillié pas non plus ou transmettre la photo de votre camarade bébé sur sont pots sur les resseaux sociaux, et essayer de convaincre l'harceleurs

Si vous etes l'harceleurs, faite pas de mal a un ou plusieurs de vos camarades de classe, ne pas lui racketter son ton téléphones a la sortie du lycée, ne pas viré ses affaires que ce sois au vestiaires, au self, en cours... Ne pas le poussé peut importe l'endrois, ne pas l'insulté sur les resaux sociaux, car je sais que vous en avait tous au moins un. Et pour finir meme si ça part d'un truc con ne fait rien de tous ce que j'ai sur l'harceleurs. Sur un air tres serieux.

à la récré pointe sa sonnerie,tout les élèves sorte, moi toujours seul je vais a une table pour posé mon sac,je l'ouvre regarde à l'interieur, tout était dedans, le plus important mes "bonbons" sont dans un tiroir de ma chambre. Puis je sort finalement ma trousse et une feuille puis je me met a déssiné mon pere dans sa voiture accidenté sous un tas d'arbre. La sonnerie ce fait entendre pour aller en cours.

Je vais donc dans mon cours d'art plastique, la prof nous demande de faire un dessin en monocrome donc je me suis lancé sur mon dessin j'ai dessiné (comme un enfant de CP) un gars sur un muret triste avec des ecouteurs caché dans sa capuche. Puis ensuite je lui donne, elle le montre a toute la classe et cette dernieres se mit a rire.

- Silence si vous plait, c'est bien ce qu'il a fait bon il lui faut plus d'entrainement pour le dessin en lui même mais l'idée du monocrome et la donc je vais lui mettre un 12 sur 20 ! Dissait la porf en me felicitant.

Un mec de ma classe le regarde avec de gros yeux noir et fini par parler devant toute la classe.

- De totue façon Alexandre, n'est qui Fils de P**E, son pere est un gros S***UD, il aurait du crever a sa naissance meme sa mère a honte de lui, c'est un gros B****RD, toute sa famille aurait du crever à la guerres dans les camps car c'est un Fils de Juifs il aurait pas du existé... Maxime dissait tout en me menaçant encore.

18h32

C'est la fin des cours. Je regarde si Maxime ne me suis pas, sauf que pendent que je regardé derriere quand je me retourne je me retrouve nez à nez avec Maxime Martin, c'est LE fils DU CPE du College-Lycée de mon père le college-Lycée David Guetta.

- Ton tel B****RD de juifs. Maxime crie dans devant les passants du Lycée.

-Bonjour, jeune homme, alors comme ça on racket les lycéens devant le lycée et on les insulte en plus ? Disant un gendarmes qui fessait sa ronde.

- Non, c'est mon pote, on s'amuse a s'insulté et j'avait besoins d'un telephone pour appeler mon père. Maxime nié tout ses propos en bloc.

Le gendarme me regarda en s'interrogenant.

- Vos noms de familles s'il vous plait. Le gendarme continua de nous parler.

- Maxime Martin, né le 12 avril 2003... dissait ça en provoquant le gendarme.

- Alexandre. Je pleura limite en parlent.

Car mon père l'aprend c'est fichu la france le saura et je serait obligé departir loin sur une autre planete quoi que temp que les les aliens ne sont pas des Maxime ça me va.

- Eh bohnomme faut pas pleurer, mais je dois comme même faire mon boulots et je devrait comme meme t'emener au poste. La voix du gendarme me rassura legerement.

- Alexandre Johatone, né le 16 mai 2003... Tout en continuant de pleurer.

- bon monté dans la voiture je vous emene au poste et j'appeler vos parents. Le gendarme parla d'une voix a mi chemin de la douce et de la colere.

7 minutes plus tard

- Bon commençons par Maxime, alors tu a insulté ton ami pour avoir son telephone pour appeller ton père ? Interrogé le gendarme.

- Oui, et alors j'd'vais l'appeller mon daron pour qu'il vienne me cherché pour rentré dans ma baraque... Commença Maxime.

- Bon déjà, tu va parler autrement jeune homme parce que moi je suis pas ton amis d'accord. C'est du respect à avoir crois moi. Le gendarme s'exprima fortement.

- Ouais ta***le le chikens, t'est pas mon daron. Insista Maxime.

- Ok, alors donc pourquoi as tu insulté ton ami pour avoir son téléphone ? Demanda le gendarme d'epité.

- Qu'il retourne dans pays... répondit Maxime.

- Les juifs n'on pas de pays. Continua Bernard (le gendarme)

- frère j'men bat les Co****le, l'autre il a une grand mere Allemende qui c'est marié avec un grand pere Juifs qui l'a qu'a retourné d'ou il vien. Maxime se croyant plus malin que notre Trentenaire Bernard.

- Bon je conclu que je fait appeller ton père devant toi en suite j'intterogerer Alexandre. Insista Bernard.

Maxime, sort du bureau et attend presque sagement menotter au radiateur du hall.

dans le bureau de Bernard.

- Oui bonjour, commisairiat de police de Saint-Ouen, nous somme en présence de votre fils Maxime Martin, nous l'avons vu mennacé un autre élève du lycée Marcel Cachin. Dissait Bernard au telphone.

- Ah bon, mennacé etes vous sur ? Dissait le pere dans le combiné.

- Oui, oui monsieur, tout va bien pour l'autre éléve je vous rassure, mais votre fils insulte tout le monde il n'a pas le moindre respect. Dissait Bernard.

- Il a insulté un camarade, je comprend pas la expliqué moi je ne peut pas sortir de mon travail pour le moment pas avant 20h ce soir. André expliqua a Bernard.

- Oui, il a insulté de d'apres les mots de l'eleve "Ton tel B****RD de juifs" pour vous appeler... Dissait Bernard.

- Il a insulter un des enfants d'un de mes anciens éléves de lycée, entre 1992 à 1998 j'avait eu une paire de jumeaux Allemand-Juifs ? Demanda gentiment André.

- Vous voulez le noms de famille de l'eleve ? Posa la question Bernard.

- Oui je vais voir si c'est bien la meme famille. André parla.

- Johatone, l'élève s'appelle Johatone, sa vous va comme information ? Demanda Bernard.

- Oui dans mon établisement j'ai sa fille Annabelle née le 16 mai 2003, sa dois etre sa soeur a l'élève. Dissait André.

- Oui je vais prévenir le père et pour votre fils, vous viendrait le chercher au comissairiat de police. Conclua Bernard.

Bernard va en suite parler avec Alexandre, pour avoir sa version des fait.

- Bonjour Alexandre, je suis gendarme qui été devant le lycée, et j'ai vu plutot entendu que tu te fessait insulté pour que tu te faisse racketté par Maxime Martin ? Commença Bernard.

- Oui... toujour timide alors je parle assez bas.

- N'est pas peur, je suis la pour t'aider, est ce que Maxime est ton ami ? Demanda Bernard.

- Non... C'est pas mon amis depuis le début de l'année, il m'embete j'en est déja parler avec le lycée mais ils on dit que sa va lui passé mais ça continu... Je pleura en meme temps.

- Tu veut dire qu'il te harcelé ? Si c'est le cas tu a bien fait de m'en parler. Bernard essayant de me calmé.

- Est ce que je peut aller au toilette ? Je demande comme même on c'est jamais.

- Oui bien sur je te montre ou il sont aller vien. Dissait Bernard.

Dans le toilettes.

Je sort mes "Bonbons" de ma poche je pris la premiere boite pleine, Je pris les 8 gelules de Doliprane je le versa dans la bouteilles d'eau, je la bu entièrement, puis je sorta des Cyamémazine de leurs boite je les prend tous, puis du Propériciazine en plus c'est dégeux j'en laisse pas non plus,Pipothiazine egalement rien dans la boite j'ai tout pris, j'ai continuer j'ai du Chlorpromazine ensuite j'ai du Lévopromazine la j'ai commencé a douté sur ma vie, et hop du Fluphénazine pourquoi tout c'est médocs finisent pas Zine ? De toute façon pas grave je ne veut plus vivre a quoi bon ? J'ai sorti de mon sac du Dropéridol j'ai encore douté si ça fait effet ? Si c'est le cas j'aurait réussi, bon je vais pas dire tout les medocs que j'ai pris vu que j'ai pris des medocs de mon père pour sa schizophrénie ensuite j'ai pris de la nitroglycérine comme ça pas de souci pour mon cur quoi que ? de l'aldostérone j'ai aussi oui j'ai pris ça de mon pere et alors ? Digoxine comme ça sa va accelerer mon coeur ainsi que ba en fait c'est tout et apres je suis sorti des toilettes.

- Alors, j'ai eu le temps d'appeler tes parents pendent que tu été au toilettes. Ajouta Bernard.

- Ok... Je vais les attendre dans ce cas... Je rajouta.

- Ah voila votre pere, venez on va discuter dans mon bureau. Dissait Bernard.

- Bonjour, alors pour quelle raison suis je ici ? Demanda mon père.

- Donc a la sorti du lycée de votre fils, il y a eu une petite embrouille d'ado, sauf que quand nous somme passé devant le lycée l'embrouille c'est transformé en guerre, donc l'un des camarade d'Alexandre a sorti un couteau, nous somme sorti de notre véhicule et on arrêter les deux jeunes, ne vous inquiéter pas personne na été blessé. Ajouta Bernard.

-Super alors, vous voulez que je fasse quelle que chose ? Questionna mon père.

- Oui je vais vérifié le sac de votre fils, il y a peut être le couteaux. Insista Bernard.

Bernard fouilla mon sac de cours, il fait une drôle de découverte dans mon sac se que je présume vu sa tête qu'il tire.

- Alexandre, quand tu ma demander d'aller au toilettes c'était pour prendre tout ça ?! Demanda Bernard.

Bernard vida mon sac sur son bureau, mon père étonné vue le nombre de boites sur le bureau.

- Tu a tout vidé ? Alexandre, tu va aller TOUT DE SUITE DANS LA VOITURE. M'engoula mon père.

- oui mon commandent, a vos ordres mon commandent... Je pleura en même temps que de sortir.

- Attend Alexandre, je suis désoler c'est moi qui m'est comporté comme un idiot, je suis ton père et je veut le bien de mes enfants, mais si tu a pris tout c'est médicaments c'est pas bien, on va aller retourné voir le gendarme et tu va dire pourquoi tu a fait ça. Expliqua mon père.

- Alors, finalement tu a trouvé la raison pourquoi tu voulais te suicider ? mo je pense que tu te fait harceler par Maxime, et tu veut en finir, mais c'est pas comme ça que les problème vont s'arrangé Alexandre, tu va tout m'expliqué en détails ce que Maxime te fait depuis le début de l'année, et n'est pas peur, nous on est la pour t'aidé. Essaya de me faire comprendre Bernard.

Je leur explique je que me fait Maxime et mon père me dit que sa va passé tout ce que j'ai pris mais qu'il mettrais un matelas au sol a coté de mon lit pour me surveillé cette nuit, j'ai comme même de la chance d'avoir un père aiment qui est aussi urgentiste.

mardi 10 mars 2020

- Maman ? Papa ? pour s'avoir s'il y a quelqu'un.

Je dépose mes chaussures a l'entrée puis je rejoint ma mere dans la cuisine.

- Vien Alex, assis toi.Dit ma mère.

Elle me le dit d'un ton froid que j'en ais des frissons je sent que mon pere m'observe dans l'entrée de la cuisine... Je prend une chaise et m'assoie a côté d'elle.

- Qui a t'il ? je demande.

- Ecoute avant de dire non et jusqu'au bout d'accord ? me propose ma mere.

- Bas oui mais je peut avoir la raison ? je lui dit.

- Promet le moi que tu ne va recommencé ? s'iquiete ma mere.

- oui je te le promet que je ne le recommencerais plus. je lui dit.

- Bien... Vu que j'ai legerement un doute et que j'en est discuter avec ton père et il est d'accord que si jamais tu recommence je t'envois j'ai Tonton Pascal. Dit ma mere.

Quans ce mot sorti de sa bouche je me leva d'un coup fessant tombé la chaise au sol. Je secoua ma tête par desaccord (les medicaments que j'ai pris la veille ne me fessait toujours aucun effet).

- On va attendre que tu fasse une bétise et qu'on t'y emene mon bonome moi et ton père. Dit ma mere encore.

- Non ! jamais ! jamais de la vie j'irait chez lui, chez Tonton Bavard. Dit-je d'une forte voix,maman...s'il te plait... tout mais pas chez lui, meme oliver ne veut pas le voir. Je rajoute.

- écoute,je sais que ça te fait pas très plaisir mais quand on na pas le choix... on la pas... Enchaîna ma mère.

Les larmes me coulent sur mes joue.

- Alexandre... Sait tu pourquoi on t'a appelé comme ça ? Moi et ton père on avait et on a toujours cette amie, qui s'appeller Alexandra et quand tu est né avec ta soeur on lui avait déja trouvé son prénom mais pas a toi, donc on a demandé a l'infirmier qui été venu voir si tout aller bien comment on devait d'appeller et il a dit "Appeller votre fils comme moi, Alexandre" et ta marraine et venue au meme moment et elle été d'accord et Pascal arriva avec ses deux jumeaux, Alexandre et Loïc. Raconte ma mère.

Je lui souris et c'est tout.

- Mais pourquoi tu me raconte ça maintenant ? On parle de Pascal et toi tu parle du jour de ma naissance ? je vien de capté un truc, il on deux ans de plus que moi ? je demande.

- Oui alexandre, ils sont tout les deux infirmiers militaires dans l'ecole de Pascal. Mon pere dissais ça en regardent son telephone.

Je leurs tourne les talons pour aller dans ma chambre. Je ferme ma porte à clé, je m'afalle en pleur sur mon lit.

Mercredi 11 mars 2020 14:19

Je vais en perm, je vais en profiter pour dormir un petit peu, je m'assois pose mon sac sur la table et commences a me recroqueviller sur moi même. Maxime me regarde, je lève la tête vers lui.

- Il a une tête Alexandre, on dirait bien qu'il veut se suicider, il lève les bras genre je sais pas et rajoute, remarque tu devrais faire ça nous ferait des vacances. Dit-il ainsi.

Je regarde la porte qui s'ouvre au même moment où il me parle et je vois Lucas et un autre gars, au même moment où il prononce le mot suicide je tourne la tête vers lui.

Les mots resonne dans ma tête "ça nous ferait des vacances de plus te voir tu sais", je me retiens de ne pas prendre ma chaise et de lui enfoncer dans ka tête !

- On ta pas cafté ton avis bouffon ? Maxime lui dit.

-Je te retourne la questions mais d'ou tu sort déjà ? Demande Lucas.

- Il sort de ? Ba en vrai ta pas envie de savoir mon gars ! Aller dit moi, ou ? tu a les boules de nous ? Demande Killian.

Sa bande et composer de Maxime,Lucas,Killian,Alec,Thomas,Victor,Matthieu,Romain,Gabin et Dorian... Les gars n'ont pas de chance face a qui ? Enfin je decide de m'interposé,je me lève prend ma trousse dans mon sac et sort ma paire de ciseaux je monte sur la table.

- Continué et j'hesitterais pas a le faire. Je les menace.

- Il est C*N lui, il se prend pour qui arrete la weed, prend tes affaire, rentre chez et ne revient pas, oui il y a de la weed y a de la weed nananininana... Romain commence a chanté.

Je devient rouge comme une tomate, je sort pour aller au toilette, qui sonta l'autre bout de la cours, sauf que Maxime a fait le tour et été déja dans les toilettes avec Gabin et Victor.

- Ba alors ? tu est tout seul ? Maxime me lança.

- Moooo ! Pauvre petit... Hahahaha ! Rajouta Victor.

Gabin me pousse, je tombe a terre et le trois rigole, j'ai l'habitude maintenant, même ce qu'a fait Bernard hier n'a pas enpeché Maxime de continué, j'ai envie de partir loin et de plus revenir, me perde, ne plus revenir. "Pense a tes proches !" ouais sa change quoi si je part avant le vieux pépé d'ailleurs c'est fou ça c'est mon arriere arriere grand pere est encor vivant est ce qu'il sera encore vivant le jour ou j'aurait un enfants ? Si oui je veut bien resté avec Pépé Appolon c'est plus sont surnom sont vrai prènom c'est Joseph ou Gustave comme Gus c'est moche il préfére qu'on l'appelle Appolon.

Je suis a terre, tout tremblant,j'ai froid, j'ai mal et peur, mais je ne s'ait pas pourquoi j'ai peur ?... Il faut ce dire que demain est un autre jour... Qu'il est meilleur que celui la... Ou peut-etre pire... ça fait Tentre minutes que suis au sol.

14H37 heure actuel

– Et toi, Alex? ma demandé ma mère tout en se rapprochant déjà de la salle à manger, comme attirée par une force gravitationnelle. Tu as des projets pour les vacances ? me dissait ma mère hier encore.Déjà étallé au sol.

– Alex ? ma relancée ma mère.

Je l'ai entendu mais vu rien. L'espace d'un instant, j'ai failli mourir, failli réclamer leur aide pour découvrir ce qui se passait pour me sauver. Mais je savais qu'ils me diraient non qu'ils me laisse la seul.

– Esteban, tu devrait appeller les collegues, il est inconscient. Ma mère inquete tremblée dans sa voix. me souvenais que ma mère avait egalement dit ceci

– Bien! a fait mon père d'un air approbateur. Je me souvient des moments que j'ai passé hier avec mes parents chaque minutes,chaque parole prononcé et chaque geste effectué.

– Oh, Alexandre Fabrice Léo Johantone ma rappelée ma mère.

Et quand ma mère appelle ses enfants par leurs noms complets c'est qu'on a fait une grosses conneries ou qu'on est completement ailleurs. Est ce que c'est le cas actuellement ?

– Esteban, tu fait quoi la ils viennent quand ? ma mère énervé.

Mon coeur a commencé par ralentir, avant de se mettre à battre comme un dingue. Quand j'entend presque plus rien à frappe à la porte et se rapproche de moi...

– Il est où ? Le pompier questionne mes parents.

– Devant le canapé du salon. Répondit ma mère.

- Alexandre, tu m'entend, sert moi les mains ou ouvre les yeux. insista le pompier a me parler

- aller Alexandre mon bébé, courage fait le. Ma mere pleura limite.

- madame aller, dans votre cuisine on va s'occupé de votre fils. Dit l'un des pompier.

Ma mère s'execute.

Il se rapproche... Je... Je vois cette lumière qui éblouie... j'ouvre presque mes yeux pour voir si je ne réve pas.

- Alexandre, c'est les pompiers, dit moi ce qui c'est passé ? Me demande le pompier.

-Papa sais pour lundi... Je ne parvient presque pas a parler.

- Un de mes collegues est parti lui dire, je veut que tu me le dise. Sorta le pompier.

- alors... Lundi... soir... je sort du lycée... Maxime ma attaqué au couteau... la police est venu l'arreter moi et lui... il été interrogé puis moi... j'ai demandé a Bernard le policier du commissairiat de police... D'aller au toilettes... je suis parti avec mon sac... j'ai vider toute les boites... je lui est dit comme je pouvais je sentais la fatigue donc vouloir dormir...

- Est ce que tu a mal quelle que part Alexandre ? Me posa la question.

- Au coeur et j'arrive pas a respiré... Je lui est dit.

- En effet, bon je vais te mettre ce brassard pour voir ta tension. Ainsi dissait le pompier.

Le pompier fessait ce qu'il a dit il remarque que sa tention est a 58/70 donc dangereux.

- Alexandre, reste parmi nous, ne dort pas,on va t'emener dans pas tres longtemps faut juste attrendre le médecin. Dissait le pompier.

Le medecin arriva quelleque minute plus tard il est alors 15H38, il demanda a ma mere l'etat dans laquelle j'était, le pompier discuta avec le medecin.

- Donc, Jeune homme de 16 ans, a fait un malaise, il 58/70 de tension, respiration saccadé, on la mis sous oxigène,blessé a la tête, emorragie externe au niveaux de sa tête, il y a deux jours il a pris beaucoup de médicaments la liste est longue, n'a ni bu ni mangé depuis 2 semaines. le pompier annonce de toute les couleurs.

-Je lance son pronostic, donc conditionné le dans l'ambulance du SMUR (secours medical urgente de réanimation), je vais le suivre au urgence. Lança le médecin.

- Bon, madame on va transporté votre fils, sur le CHU Bichat j'ai lancé le pronostic vital de votre fils il est déja dans l'ambulance. Le medecin prévenez mes parents.

- Juste une petite question madame, est ce qu'il a des antécédent Medicales, traitement en particulier, allergie ? annonça le medecin.

- Oui je vous donne son carnet de santé tout est ecrit dedans. Dissait ma mère au medecin.

Dans l'ambulance 15H20

- Alexandre, il va falloir être très courageux désormais, faut surtout pas que tu t'endorme, tu est entre de bonne mains désormais. Disait le médecin.

J'ai suis complètement a l'ouest que le médecin et moi luttais contre l'inconscience, mais je fus battu comme un lâche, j'ai un trou noir pendent je ne c'est combien de temps je sais que le trajet dure 8 minutes. c'est a peine 4 minutes que je me met a hurler.

- AU SECOURS, J'AI MAL je sens plus mes jambes !!! Je crié tellement fort et pleurer que je pensais que j'aillais briser les vitre du véhicules.

- Alexandre, calme toi, on a injecté des antidouleurs, on est presqu'arrivé à l'hôpital. Le médecin me rassuré.

Désormais plus calme que tout a l'heure, je vis le médecin descendre puis des brancardiers me descendit avec le brancard de l'ambulance puis je roule jusqu'à dans une entrée.

- Je suis où ? avec ma petite voix.

- tu est à l'hôpital, mais tout va aller bien, on va te faire les examens.

Une fois les examens fait, tout va bien enfin presque, il me garde un certain temps pour que les effets des médicaments que j'ai pris ne détériore pas mon état, il y a des chances que je fasse des malaise et qu'il me nourrisse par une sonde, je respire par une machine a coté, j'ai l'oxygène dans de petits sachets accroché a une barre.

Un infirmier rentre dans ma chambre.

- Bonjour Alexandre, moi c'est Grégoire et je vais m'occupé de toi, mais ce sera pas toujours moi. Disait Grégoire.

Je fait oui de la tête.

- Pas de soucis, as tu peur des seringues ? Je suis obligé de te faire une prise de sangs c'est le médecin qui s'occupe de toi qui me la dit. Dit Grégoire d'une voix mélodieuse.

j'ai vu la seringues, j'ai le curs qui est parti a une vitesses folle que mon cerveaux na pas suivi, comme mon cerveaux a déraillé Grégoire appuie sur la sonnettes d'alarme, je vomi du sang sur lui et je suis devenu tellement blanc que j'était un mort.

- Grégoire, que c'est il passé ? Tu a lui a injecté ? Disait le médecin.

- J'ai encore rien fait, je venez de le préparé quand c'est arrivé, je lui est dit s'il été prés, quand il a dit oui ensuite il a fermé les yeux l'ECG est monté en pic tout rapproché et il s'est mis a vomir sur moi du sangs et je vous est appeler. Disait Grégoire.

- Je demande de suite un IRM, il a forcement qu'elle que chose qui cloche. Disait le médecin.

Le médecin remarqua que j'était blanc.

- Alexandre, tu va désormais m'écouté et seulement le son de ma voix. Le médecin m'ordonna.

Je fus transporté à l'IRM, Le médecin découvris rien d'anormal sauf l'hémorragie externe se fus devenu l'hémorragie interne. Les médecins compris vite le danger et réserva une salle d'opération, je me réveilla allongé sur la table l'opération n'avait pas encore débuté. Je me suis assis un anesthésiste arrive.

- Tu est Alexandre, je suis ravie de te voir. L'anesthésiste dit pas plus.

- Surtout qu'est que je fous la ? On ma séquestré pour me tué a la fin ?! Je questionna l'anesthésiste.

Je descendit de la table, le problème c'est que je suis trop faible donc je suis étalé au sol comme un tapis, je suis la nouvelle déco de la salle un simple tapis. Je me relevé car je n'abandonne pas, je cherche la porte une fois trouvé je me dirige vers celle ci, sauf que je vois que tout tourne a une vitesse folle et que c'est flou je me raccroche a la poignet, l'anesthésiste courus a moi.

- Le mieux c'est que reste allongé, il faut te faire soigné, si tu veut sortir. Il ma convaincue de m'allongé.

Je suis allongé puis je vois des gens en tenu bleu de chirurgie, j'ai compris je vais crever la dans les minutes qui suivent...

- Alexandre, tu va mettre le masque et respiré ainsi que faire un décompte a partir de 10. Disait certainement l'anesthésiste.

- 10... 9.........8...................7......... Puis mon regard commence à se perdre à droite, à gauche, je vacille puis trou noir.

C'est la le plus bizarre parce que je vois une dame que je ne connais pas mais qui insiste a dire que je suis son petit fils.

"Alexandre, viens mon petit lapin, il y a papy, puis tes deux tontons et moi viens j'ai préparé une délicieuse tarte au poire, je sais que c'est ta préféré..."

Mais comment elle le sais je ne la connais pas qui c'est.

"Eum, tu est qui ?"

"mon petit lapin c'est moi mamie, tu ne ma pas oublié comme même ?"

"Ah bien sur que je suis bê... attend je me souviens pas de t'avoir vu ?"

"Mon petit lapin, comme tu ressemble a ton père au même âge"

QUUOI elle ma comparé avec mon père... sa veut dire que c'est la mère de mon père ? ou peut être quelle ce trompe. Mais pour des tartes au poires je veut bien les gouté je vais la voir.

- On est en train de le perdre, vite le défibrillateur, encore...

Oh merde c'est un piégé, je m'en doutais que les mamies amadoué ses petits-enfants avec leurs nourritures... Comment je fait pour revenir ?

J'entend des *bip bip* plutôt régulier, donc je me décide à ouvrir mes yeux puis les referment aussitôt le médecins s'approche de moi.

- Tu nous a fait une grosse frayeurs, maintenant tout va bien on a arrêter vite l'hémorragie. Disait le médecins.

- Désoler... C'est la mémé aussi la, elle ma dit de la suivre pour mangé ses tartes au poires. Je lui est dit.

- Ah tu a vu une vielle dame, tu a vu une dame ? Me questionnais le médecin.

Mon père fis irruption dans la chambre.

- Mon grand, désoler de ne pas pu venir plutôt te voir et on est le Mardi 17 mars 2020, bon on ma tout dit sur ton état de santé. Disait mon père.

- Papa pourquoi une dame moche m'appeler mon petit lapin et a dit que j'était son petit fils et que je te ressemble au même âge ? Je dit comme ça.

- Euh... Mon père ne sais pas quoi répondre.

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