Chapitre 18 : Samuel 14 ans (1996)
Sam est un adolescent qui arrive dans un nouveau quartier. Il va tenter de se faire des amis et sintégrer à sa nouvelle vie. Mais son chemin sera parsemé dembûches et il croisera l'amour. Mais son passé le rattrape. Aurait-il le courage de se battre et d'atteindre son but ?
J'étais enfin arrivé dans ma nouvelle maison. Le déménagement avait été organisé et avait enfin abouti, j'ai détesté et j'ai pleurer j'aime pas le changement le nouveaux. Je me nommais Samuel mais depuis toujours, mes amis m'appelaient Sam. J'étais âgé de 14 ans et j'étais châtain avec les cheveux ondulés. Mes yeux étaient rouge car je suis albinos. Dans moins de trois jours, je serai en 4eme dans un college-lycée, toujours sans mon frère.
La maison dans laquelle j'habitais, était de taille modeste avec un jardin à l'arrière. Ma chambre était à l'étage et je préférais m'habiller simplement.En général, c'était des jeans, et j'en ai des gris et des bleu, et des t-shirts ou débardeurs un peu large surtout des chemise. Le regard des filles me mettait parfois mal à laise et je préférais ne pas me faire remarquer. Lorsque le ménage fut enfin fini ainsi que le rangement, je suis partit faire un tour en ville. Je pris mon vélo et commençait à découvrir les lieux.
Il y avait de nombreuses maisons et quelleque imeubles. Une fois que j'avais un peu repéré les lieux, je me sentais déjà un peu plus confiant. Alors que je voulus mettre mon vélo sur le stationnement dédié, un jeune homme fit tomber son sac de course au sol.
Il semblait embarrassé et personne ne semblait l'aider. Je posais mon vélo rapidement, et me précipitais vers lui. Je l'aidais à ramasser ces produits.
Il leva la tête et me regarda. Il avait des rougeurs aux joues mais l'orsque je vis son sourire, franc et sincère, je savais qu'il serait un ami.
S-« Bonjour, je mappelle Sam. Et toi ? »
L-« Sam, c'est un prénom de garçon ? Moi, c'est Loïc. »
S-« En fait mon prénom c'est Samuel mais tout le monde m'appelle Sam. Ravi de faire ta connaissance Loïc. »
S-« Merci de m'avoir aidé. Je ne tai jamais vu ici, tu es nouveau ? »
L-« Oui, je viens d'arriver dans ce quartier et j'ai besoin de quelqu'un pour me montrer le coin. »
S-« Ce serait avec plaisir Loïc, mais tu dois absolument amener ces courses à ta mère. »
L-« Très bien.Peut-être un autre jour ? »
S-« Si tu veux demain. Tu habites loin ? »
L-« A deux kilomètres, près de la route principale. »
S-« Oui, je vois. C'est l'ancienne maison de Dupont. Je viendrais te chercher vers dix heures. »
L-« Parfait. A demain alors. »
Je repris mon vélo et partit vers le centre commercial. Je n'avais pas de nouvelles chaussures pour la rentrée. Je voulais une paire de Sneakers. Je trouverais certainement mon bonheur. Je rentrais dans le centre et me dirigeais vers le café. J'avais besoin de ma dose de caféine avant de commencer à faire les magasins. Derrière, le comptoir, un garçon de mon âge me servit. Il était souriant et me regardait un peu trop. Lorsque ce fut mon tour, je commandais mon café expresso habituel et il débuta la conversation :
J-« Désirez-vous un gâteau avec votre café ? »
S-« Non merci ! »
J-« Je vais vous l'apporter dans deux petites minutes. »
C'est peu fréquent qu'il se déplace mais bon, le principal c'est que je puisse l'avoir ce fameux café. Je m'asseyais près de la porte lorsqu'un groupe d'adolescent franchit l'entrée. Ils étaient quatre garçons et deux filles. Ils étaient plutôt bien habillés et portaient des vêtements de marques. Ils riaient assez forts. Ils prirent places. Les filles s'assirent sur les genoux des garçons. Je les regardais avec attention. Parmi les garçons, il y avait deux blonds. Ils étaient assez costauds, ils devaient certainement faire partie de l'équipe de football, vu les blousons qu'ils portaient à l'effigie de l'équipe. Et j'avais désormais la certitude quils faisaient parties du même lycée que moi.
Ensuite mon regard, dévia, vers le garçon châtain clair qui tenait une jeune femme blonde sur les genoux. Ils formaient un très beau couple et que je suis jaloux. Ils étaient tous les deux très beaux et devaient certainement être les coqueluches de l'école mais en y regardant de plus, près, mon regard fut attiré par le brun. Il avait également une jolie brune sur lui mais lui dégageait un magnétisme et il était tout bonnement à couper le souffle.
Il avait le regard bleu et des cils longs. Son sourire était resplendissant et ses fossettes accentuaient son côté ravageur. Il avait un blouson de cuir, avec un jean et un débardeur qui laissait deviner ses muscles. Je voyais une boucle doreille et un tatouage dans son cou mais je ne pus le regarder davantage car le serveur m'apporta enfin mon café.
J-« Et voilà ! Désolé pour le retard. »
S-« C'est pas grave. »
J-« Je suis John. »
S-« On ne peut rien vous cacher. »
J-« On se reverra bientôt ! »
Je fis un sourire poli et commençais à déguster mon café. Mon téléphone se mit à sonner à ce moment-là. Je reposais mon gobelet mais lorsque je répondis, je m'aperçus que j'avais attiré l'attention. Et pas de n'importe qui, de tout le groupe. C'était mon meilleur ami Yvan qui mavait accompagné tout au long de mon enfance. il voulait certainement avoir de mes nouvelles.
Y-« Salut Sam ! »
S-« Yvan, je suis content de t'entendre. »
Y-« Alors comment est ta nouvelle maison ? »
S-« Super. »
Y-« Tu me manques, tu sais. Ici, ce n'est plus pareil. »
S-« Toi aussi, j'aimerais tellement que tu sois avec moi. »
Y-«Michel, il a appelé pour savoir où tu étais. Il veut te parler. »
Je savais qu'il tenterait de me joindre mais je pensais quil ne le ferait pas tout de suite.
S-« Ne lui dis rien s'il te plait. Je l'appellerai quand je me sentirai prêt. »
Y-« La patience n'est pas une de ces qualités. »
S-« Je le sais. Je suis désolé de t'imposer ça. »
Y-« Je ne dirai rien .Tu as ma parole. »
Cet appel mavait contrarié, je l'avoue. L'orsque je raccrochais, je reposais mon gobelet et je vis le regard pénétrant du beau brun. Il me dévisageait et ne me lâchait pas des yeux. C'est sa copine, qui me regarda en me fusillant du regard, qui leva son menton et l'embrassa sur les lèvres. J'en profitais pour me lever et partir. Je partis vers les boutiques et trouvaient enfin ce que je cherchais.
J'étais ravi, je les prenais noire, c'était plus pratique .De toute façon, j'avais déjà une paire bleu marine.
Ravi. Je m'aperçus que le petit groupe de tout à l'heure était là aussi. La jolie brune était en cabine, et le beau brun, qui avait capté mon attention, était avec elle. Il venait de rentrer. Les autres retournèrent dans les rayons. Je rentrais à mon tour dans le salon à côté. Les rires et les gloussements à côté laissaient peu de place à l'imagination. Je me dépêchais donc pour ne pas en entendre d'avantage.
Mais la jeune fille dut finir avant moi, puis quelle sortit de la cabine et se dirigea vers les caisses. Je sortis donc de la cabine à mon tour et je tombais nez à nez avec le beau brun. Apparemment, elle avait oublié son sac, et ce dernier était venu le récupérer. Il avait dut vraiment lui faire tourner la tête. Il me regarda des pieds à la tête.
-« Excuse-moi, je voudrais sortir. »
Il se poussa légèrement et fit un geste de la main pour montrer quil y avait de la place. J'avançais mais au moment où je pensais que le plus dure était derrière moi, il me fit un croche-patte. Heureusement que javais de bon réflexe, je réussis à ne pas tomber mais je percutais un portant. Furieux, je me dirigeais vers lui :
G-« Cest quoi ton problème ? »
S-« Les garçons comme toi. »
-G« Cest-à-dire ? »
S-« Les saintes nitouches. »
G-« Connard. Tu ne me connais même pas. »
S-« Inutile, je connais les gars dans ton genre. »
G-« Et moi, je ne désire pas parler aux abrutis. »
Il me regarda en me fusillant du regard.
S-« Je t'interdis de me parler comme ça ! »
G-« Ah oui ? Et bien je prends le risque. »
Tout le groupe m'avait regardé assez surpris apparemment. Je pris mon vélo et rentrais chez moi. Un peu d'exercice allait me calmer un peu. J'avais besoin de me défouler. En arrivant, je vis ma mère et montait à l'étage. Je m'allongeais sur le lit superposé que je partagé avec mon frère jumeaux qui n'etait pas la et repassais les derniers évènements de la journée.
Auparavant, j'étais une garçon reconnue dans mon college-lycée. En général, les gens m'aimaient bien mais là vu la rencontre d'aujourdhui, je savais que mon calvaire ne faisait que commencer.
Le lendemain, ma mère me réveilla.
Mm-« Un jeune homme t'attend en bas. »
Je me frottais les yeux et métirais. Je me demandais qui pouvait être là à cette heure et je me souviens que j'avais rencontré Loïc hier. J'allait faire visiter le quartier.
Je me l'evais et partis dans la douche. Après une mise en beauté express, je m'habillais rapidement avec un pantalon bleu et un tee-shirt blanc.
L'orsque je descendis, Loïc me fit un sourire :
L-« Tu avais oublié notre rendez-vous ? »
S-« J'avou. Mais je suis heureux de te voir. J'ai hâte que je te montres tous les coins secrets de ce quartier. »
Je pris une brioche avec des pépites au chocolat en partant et embrassait mes parents. Pour Loïc, la meilleure méthode pour visiter c'était à pied et pas en bus. Je l'écoutais et c'est ainsi que nous partions à l'aventure. Lors du chemin, j'en appris d'avantage sur mon nouveau ami.
Il était lainé de trois enfants. Ces parents étaient mariés depuis des années et s'étaient rencontrés sur les bancs de lécole. Sa mère travaillait à la mairie et son père était employé par la plus grande société de journal de la région. C'était une société de média qui s'était implantée des années auparavant et qui générait des millions de dollars sur les places financières.
J'ignorais tout de cette société et du pouvoir de son patron dans la région.
S-« Tu as les loosers, les intellos, les super stars qui en général faisait partie de léquipe de foot du lycée et le reste du monde. » ceux que je connais déja je fait partie des intellos !
L-« Je préfère rester dans lanonymat. »
S-« Crois-moi, ce nest pas toujours facile. Tous tes gestes sont épiés et finalement les gens t'aiment uniquement pour ce que tu représentes et non pour ce que tu es. »
L-« Waou ! Cest du vécu dis-moi. »
S-« Bon, et si je te donnais les bonnes adresses du quartier. »
Je lui présente le centre-ville avec les meilleurs commerçants. je lui explique les lignes de bus et je présente le parc qui était magnifique. Je finit la visite par le centre commercial et bien sûr le college-lycée. Il était beaucoup plus grand que dans son ancienne ville. La construction devait être assez récente au vu des matériaux et des équipements autour. J'étais impatient de commencer les cours. C'était un bon moyen de m'occuper et de trouver une voie pour mon avenir. Jusqu'à présent, tout était encore flou et indéterminé. Je voulais me venger de la vie et être indépendant.
Je voulais à mon tour offrir à ma famille tout ce quelle méritait. mes parents était un couple généreux qui élevait un adolescent et qui faisait de son mieux, 2 pré-adolescantes, un bambin de 4 ans et se batait jours et nuits au cotés de leurs fils qui était dans un coma, je suis tombé dans la mauvaise famille je crois.
Je l'ai aimais tellement et ils me le rendait bien. Loïc, me posa des questions mais je restais le plus vague possible.
L-« Alors, tu as un petite copine ? »
S-« Non pas pour le moment. »
L-« Une histoire d'amour difficile ? »
S-« C'est un peu ça. La rupture a été douloureuse mais je préfère éviter le sujet. Et toi ? »
L-« Non personne, pour le moment. «
S-« Tu craques sur quelqu'un ? Je te montrerai demain, il y a la réunion de pré-rentrée pour le planning et tes options. »
L-« Comment sont-ils ? »
S-« Ce sont les stars du bahut. Ils cumulent les conquêtes et les filles et les garçons leur tournent autour. Bref, toutes les filles ici, aimeraient faire partie du clan et sortir avec la coqueluche du bahut. »
L-« Surtout je ne veux pas le connaître. »
S-« Tu ne sais pas ce que tu rates ! »
L-« J'ai pris des bonnes résolutions et je voudrais my tenir. »
S-« Comme tu veux. Bon, je dois rentrer. »
L-« Merci pour tout ! »
S-« Si tu veux, demain, je t'attends et nous irons ensemble demain au college-lycée. »
L-« Merci, c'est une super idée. »
Et c'est ainsi que je rentrais à la maison. Mon père me demanda si tout s'était bien passé et j'acquiesçais. Il regardait la télévision. Je partis vers la cuisine et décidait de lui préparer un super diner pour ce soir. Avec les cours, je n'aurai plus l'occasion de lui faire plaisir, je tenais vraiment à le soulager un peu. Après le repas, je restais près de mes parents et ils me raconta leurs souvenirs détudiants. Je pense que finalement, avec la fatigue je m'endormis sur le canapé car je perdis le fil de l'histoire quelle me racontait. Ce n'est que vers deux heures du matin, que je regagnais ma chambre sans faire de bruit.
Le réveil du lendemain par contre fut plus difficile, j'avais mal dormi certainement dut au stress de la première journée de college-lycée sans mon jumeaux comme depuis des années. Je me réveillais à sept heures le lendemain. J'étais un peu angoissé par mon premier jour et c'est toujours mauvais pour moi l'angoisse car j'ai un trouble autistique. Je partis sous la douche et Je descendis les cheveux encore humides dans la cuisine. Ma famille avait préparé des croissants et j'adorais ça. J'en mangeais deux et pris mon sac pour ne pas faire attendre Loïc. Lorsque je sortis, je la vis à quelques mètres de moi.
S-« Prêt ? »
L-« Oui ! »
S-« Le bus arrive dans dix minutes. »
Loïc semblait tout aussi nerveux que moi. Lorsque le bus arriva et que nous montions dedans, je vis un grand nombre de filles et garçons qui allaient au collège-lycée. Je salua quelques personnes et je présentais à certains. Il semblait assez gentil mais souvent il posait les mêmes questions, tu viens d'où ? Tu as de la famille ici ?... à Loïc pas a moi... Au fond du bus, je vis un visage familier. C'était le jeune homme du café. John, je crois. Loïc, mit un peu d'ordre dans sa tenue avant de me retrouver au fond du bus.
S-« John, salut ! »
John leva sa tête de son livre et lorsqu'il vit mon visage près de Loïc, il me sourit !
J-« Salut ! »
L-« Tu es au collège lycée toi aussi ? »
S-« Oui, nous nous sommes rencontrés au café, c'est John. »
Il nous regardait l'un après l'autre. Loïc et moi, nous primes place près de John.
S-« Tu lis du Shakespeare ? »
J-« Oui, jadore. »
S-« Les grands classiques sont toujours des valeurs sûres. «
J-« Si tu veux, je te le prêterai lorsque je l'aurai fini. »
S-« Je lai déjà lu ! »
Je voyais le regard de Loïc, et il se trouvait exclue de la conversation. Je t'entais de l'intégrer.
L-« Vous vous connaissez depuis longtemps tous les deux ? »
Je répondit :
S-« Oui, depuis la maternelle. »
L-« Jai l'impression que tout le monde se connaît ici. »
S-« Pour la plupart,non vu que c'est grand. »
Finalement le trajet ne dura pas longtemps, lorsque je descendis, les rayons du soleil me firent le plus grand bien mais je reste un vampire tout de même saloprie de maladie... Je mis ma main en visière pour voir les élèves se regrouper dans la cour et surtout pas mourir. moi, ainsi que John avancèrent vers le tableau des répartitions des classes. Loïc n'étais pas spécialement pressé car il connaissais peu de monde ici. Je regardais le parking et vis de très belles voitures ainsi que des motos car j'avait vu en quelle 4ieme j'était admis. Dailleurs, les sportifs descendirent de la voiture rouge décapotable.
Les filles les dévisageaient et leur faisaient de grands sourires. Décidément, les comportements ne changeaient pas d'un été à un autre. Les deux filles que j'avais vues avec eux, étaient habillées avec des grandes marques et portaient des jupes plutôt assez courtes. Je pense quelles voulaient attirer leur attention. Je me dirigeais vers le panneau pour etre sur encore une fois et notais ma classe. J'étais en Quatrieme 2 j'était dans une classe ou notament en fait il n'y a que des futurs secouriste ou le seul diplôme qu'on a la fin c'est le bac Sécurité.
Je ne sais pas si c'était de bons augures, mais j'avais Loïc avec moi .Ce qui était déjà un bon début. Alors que je voulais me diriger vers le bureau administratif pour finaliser l'inscription de loïc, la porte souvrit sur le beau gosse. Lorsque je le vis, le fus surprise mais lui paraissait très sûre de lui.
T-« Tu es encore sur mon chemin.. »
S-« Je venais finaliser mon inscription. » j'avait menti pour par faire fuir Loïc.
T-« A ta place, je partirai rapidement .Je ne t'aime pas. »
S-« Moi non plus, ça tombe bien. »
Je contournais le beau gosse et passait dans le bureau. Je sentais sa colère dans mon dos mais je ne faisais pas attention. Je demandais la secrétaire et lui donnais tous les papiers avec loïc.
Sarah-« Bienvenue dans notre ville. Je vous donne le règlement intérieur et des informations sur le College-lycée. »
L-« Merci pour tout. »
Puis ce fut le moment où le proviseur s'adressait à tous les élèves dans l'amphithéâtre.
A-« Bonjour à tous . »
Le discours était toujours le même. Le travail régulier, l'implication de chacun, le respect des autres. Je regardais les élèves et je commençais à comprendre la structure du college-lycée. Loïc avait très bien cerné les différentes catégories et les groupes qui la composaient. Les intellos à l'avant et les plus populaires au fond. Ils riaient et n'écoutaient rien. Loïc qui était à côté de moi, regardais les filles et je voyais ses joues rougir.
Je décidais de me tourner vers John et de lui demander où se trouvait la bibliothèque, j'avait oublier ou elle été. Il me proposa de m'y accompagner après le discours. Après la présentation des professeurs, le proviseur nous souhaita une bonne rentrée. Finalement, tout le monde se leva.
S-« Loïc, Tu viens avec nous. John va te montrer où se trouve la bibliothèque. »
L-« Non, non. Je vais aux toilettes mais je sais pas où c'est. On se retrouve si tu veux à l'entrée dans une heure. »
Je sortis et suivis John dans les couloirs. Mais auparavant, je voulais repérer où étais mon casier. John le trouva le premier, car je devais changé de casier il été trop vieux donc tout le monde avait un autre casier. Je posais les livres que m'avait donnés la secrétaire et c'est à cet instant, que j'entendis des voix que je ne voulais pas entendre. Le beau gosse était en face de mon casier et il était accompagné de la belle brune. Je fermais rapidement mon casier et je me précipitais vers John pour men aller. La brune faisait un lavage intégral de la bouche du beau gosse. Lui se frottait à elle en plein couloir. John voyait que je ne n'étais pas très à laise.
J-« Lui c'est la star du lycée et elle la fille la plus populaire. »
S-« Je l'ai rencontré une fois et il nest pas très aimable, puis ça ce vois Jo »
J-« En général, les filles le trouvent, comment vous dites déjà,craquants, oui c'est ça. »
S-« Moi je le trouve odieux et orgueilleux. »
J-« Il le peut. Son père a beaucoup d'argent. «
S-« Je ne comprendrais jamais ce type de garçon. »
J-« Bon, allons vers la bibliothèque. Elle se trouve un peu plus loin sur la gauche. »
car on voulez lire des livres.
S-« Je peux te poser une question ? »
J-« Vas-y. »
S-« Je t'ai vu regarder la fille brune. Tu la connais ? »
J-« Je la connaissais. Enfin, je croyais. Elle a été ma voisine pendant deux ans. Elle a vraiment changé ces derniers temps. »
L-« Comment s'appelle-t'elle ? » Loïc nous avais rejoind.
S-« Ashley. »
L-« Tu l'aimes ? »
S-« Mais non ! »
J-« Tu as ce regard parfois. «
S-« Non laisse tomber. Je dois te laisser car jai un truc à faire. »
Il se sentait gêné et ne voulait pas répondre à la question .Il préférait fuir.
J-« Merci. »
Je parcourais les allées de la bibliothèque pour prendre quelques bouquins pour la maison. Alors que je voulais prendre un livre, une autre main était dessus. Je me tournais pour voir qui voulait me piquer ce bouquin.
S-« Désolé, je crois que c'est le dernier. » répliquai-je
I-« Prends- le si tu veux. J'attendrai pour l'emprunter. »
S-« Tes sûr ? »
I-« Oui certain. Au fait, je me présente, je suis Isaac Rosswell Marchall, mais appelle moi sois Isaac sois Ross mais pas les deux en même temps c'est moche comme mes initiale. »
Je regardais ce beau chataîn clair. Je l'avais déjà vu en compagnie de la troupe des célébrités.
S-« Moi cest Sam. »
I-« Tu es pote avec le nouveaux, c'est ça ? »
S-" Et oui."
I- C'est une grande ville et puis toi t'est celebre des partout dans les journaux "enfin ton frere"
S-« Je n'aime pas trop être au centre des curiosités. »
I-« Ça se calmera. »
S-« Tu es dans quelle classe ? »
I-« En 4ieme 6 (classe de médecine). »
S-« Moi en 4eme2. Si tu veux, on fait un deal, je prends le livre une semaine et toi la semaine prochaine. «
I-« Parfait. »
S-« Tu fais partie de l'équipe de foot ? »
I-« Oui ! Cest ma 2ieme passion. »
S-« Bon on se reverra demain. »
I-« Oui, si tu veux, on ira prendre un café. »
S-« Avec plaisir !
Et je partis vers la sortie. Finalement l'heure avançait plus vite que prévue. Sur un banc, je vis Loïc. Il m'attendait.
S-« Désolé pour le retard. »
L-« Cest pas grave. »
Nous allions vers la station de bus quand je vis Isaac près de ses copains. Il me fit un salut de la main et je lui répondis. Mais un autre regard me foudroya, c'était le beau brun qui se tenait près de lui. Il semblait lui parler et jen profitais pour monter dans le bus qui venait d'arriver.
S-« Tu connais Isaac Rosswell Marchall ? »
L-« Je l'ai rencontré dans la rue. »
S-« Tu viens d'arriver et tu parles avec un super beau gosse. »
L-« Il est sympa. Rien à voir avec son copain. »
S-« Lequel ? »
L-« Le brun, tu sais, l'homme des cavernes. »
S-« Jeff-Vincent Garnier ! Le Jeff-Vincent Garnier. »
L-« Il est arrogant et prétentieux. »
S-« Beau, à croquer, sexy et puissant dans cette ville apres mon frere. »
L-« Je m'en fous. »
S-« Ne te frotte pas à lui Loïc. Il est presque dieu ici. »
L-« Il me pourrit déjà la vie. »
S-« Il a tout ce qu'il souhaite. S'il ne t'aime pas, fais-toi discret. »
L-« Pourquoi tout le monde a peur ? »
S-« C'est le fils du milliardaire qui a la plus grosse société dans la région (le journal "Le Parisien". »
L-« Je comprends mieux. »
S-« Tu lui as parlé. »
L-« Oui et je lai même envoyé sur les roses. »
Je le regarda bouche bée. Le chemin du retour se fit dans le silence plus ou moins. Lorsque mon arrêt fut annoncé, je descendis et marchais vers la maison. En rentrant, je vis un mot de mes parents qui m'avertissait qu'ils rentrerait tard et que je devais garder mes petits frères et soeurs Je montais à l'étage pour prendre une douche et me détendre avant que les vrais cours commencent.
2 ans plus tard...
J'ai 16 ans désormais, mon frere Esteban est sortie du coma il y a peine 1 an et la on va en vacances, avec notre bande d'amis : Loan, Eleonore, mon frere, Tanguy, Kevin à Nice. Là bas, les sentiments refoulés, pour découvrir l'amour enfin c'est mon but apres le but des autres dois etre différent. Puis en fait Tanguy et Kevin était malades donc on a annuler nos vacances.
Je ne l'avait pas dit mais depuis la 6ieme, ma vie était devenue un enfer pour moi. Entendant l'alarme du réveil je le l'éteint puis je sort de mon lit puis je vis en étoile au sol mon frère, j'avait peur donc j'ai crié fort dans la maison quand mon frere se leve.
E- Je fait des pompes et toi tu a cru que j'était mort ?
S- C'est quand que tu retourne en cour ?
E- Aujourd'hui pourquoi ? enfin bref on prend le petit-dej' et direction le bahut... Pourquoi tu tire cette tronche ?
S- Je ne l'ai dit a personne mais des gens au bahut fait que des histoires tout ça parce que je suis different...
E- Et puis tu a moi donc il peuvent te chercher, moi je serait la et il aurons peur...
7 heures
Je me réveille parce que j'ai encore cours et que je commence à 8h30. Je me lave puis je m'habille. Je descent apres Esteban pour prendre le petit-déjeuné et il y'a déja mon frérot qui se prépare il est revenue en cours le jours de la photo, il c'est habillé avec un jean bleu clair, un pull de noël UN PULL DE NOËL noir et blanc mais c'est un pull de NOËL, ses chaussures noir qui l'a ciré pour l'occation il c'est mi du gel... quant à moi, c'est plutot coiffé à l'arrache,un tee shirt retrouvé au fin fond du mon placard, un jogging et j'ai puis je suis patraque car je ne veut pas les voir ...
S- Linda fini pas tout les céreales...
Linda- Trop tard et puis j'ai le drois aujourd'hui c'est ma rentrée en 5ieme...
Mam- On dit bonjours les enfants franchement je vous est bien educqué !
S- Mais Linda a pris tout les Crackles. (les Nineties en force avec des céreales)
Pap- Bon je vais a la caserne. à ce soir.
Comme Linda à mangé tout les Crackles, je décide de prendre autres choses à manger ainsi que du jus d'ananas. Ensuite, je monte me brosser les dents, je prend ma veste, mon sac et direction avec mon frere et mes deux soeurs au college-Lycée. On prend le bus car le bahut est loin.
Ce 16ième été de ma vie,me réapparaît, dans le lointain de ma mémoire, comme l'un des plus lumineux de mes beaux étés de France, un de ces étés comme nous en avions autrefois et qui ne se retrouvent plus de nos jours. Septembre finissait dans une splendeur qui semblait inaltérable et l'abondance des fruits dorés devenait telle quon ne savait qu'en faire. Au fond du jardin de chez moi, chez qui je passais mes vacances, où j'avais décidé de ma destinée, les grands papillons à reflet de métal bleu, qui n'avaient plus guère qu'un mois à vivre, s'attardaient posés sur les pampres roussis, pour se pâmer de chaleur et de soleil avant de mourir.
Pendant ce temps-là, je me suis adressée à mon frère. Jugeant que le sort en était jeté, et que cela se tirait puisque je l'avais voulu, je n'y pensais plus ; je me livrais aux plus enfantines fantaisies avec le petit François qui avait 6 ans, et, en attendant la fête foraine.
J'allais souvent aussi faire de longues promenades dans la ville en compagnie de mes soeurs et de notre grand cousin Rodrigo qui avait 20 ans. Et c'était pour composer de hauts bouquets d'une forme un peu surannée qui allaient rejoindre ceux de la veille ou de l'avant-veille dans des « bouquetiers »vieillots, sur les marches en pierres roses du vieil escalier à rampe de fer forgé. Il n'y avait pas dans la maison d'endroit plus frais que ce large escalier si vénérable ; on s'y asseyait donc volontiers, on s'y réunissait par les brûlants après-midi d'arrière saison, et ces fleurs des champs, toutes ces fleurs étagées, lui donnaient sans cesse l'air d'un reposoir pour procession qu'on avait mis sur les escalier du château.
L'un des buts favoris de nos promenades était la petite fontaine Wallace. Auprès de cette fontaine, un jour où ils sétaient assis à l'ombre, mes soeurs et Rodrigo, je remarquai, en rôdant alentour, qu'ils se parlaient cette fois très bas et d'un air très sérieux. Le site infiniment tranquille portait aux pensées profondes, sous ces vieux arbres aux massives ramures dont les racines se contournaient autour de nous comme de monstrueux serpents endormis, et, pour ajouter de la mélancolie au recueillement des choses, les feuilles mortes jonchaient déjà les pavés.
Je m'occupais là suivant ma coutume à ramasser des fossiles pour mon musée,débris de coquillages qui vivaient il y a quelques millions dannées dans les mers de la périodes silurienne, mais que des soulèvements cosmiques avaient jadis éparpillés à fleur de sol et qui avaient pris à la longue les teintes sanguines de la terre du Paris ; je n'avais du reste qu'à choisir, tant ils abondaient parmi la jonchée des feuilles rousses.
Du coin de l'il, je les observais, les trois qui chuchotaient avec mystère, au bruit de cristal que la fontaine leur faisait si doucement, et tout à coup je les vis se tendre la main avec une gravité étrange ; alors il me sembla bien que quelque chose venait de se passer En effet le soir, quand nous fûmes de retour dans le vieux château Louis 14, Linda me prit à part pour me dire :
L« Mon cher Sam, je me suis fiancée aujourdhui. Tu ne le répéteras pas encore, je te prie, car nous ne nous marierons que l'année prochaine ; mais je veux que tu sois le premier à le savoir même si j'ai que 13 ans. »
Je me sentis un grand froid au coeur, d'autant plus qu'au mois de juin dernier un événement, non mentionné, je crois, dans mon précédent livre,m'avait appris le danger des mariages : ma grande amie Lucette, mon aînée de huit ans, la Lucette de la Lommoise, s'était laissé épouser par un officier de marine qui me l'avait emmenée à la Guyane, et j'avais connu ainsi le premier véritable chagrin de ma vie. Pour toute réponse à la communication qui m'était faite, je me bornai donc à exhaler un de ces gros soupirs comme en ont les enfants et qui en disent plus que toutes leurs paroles. Ma soeur alors me prit dans ses bras, me couvrant de baisers dans un de ces transports de tendresse maternelle que je lui connaissais souvent.
« Je donnerais un royaume, mon chéri, dit-elle, un royaume pour un soupir de toi ! »
C'était prononcé avec une nuance de drôlerie pour corriger ce que la phrase aurait eu de trop lyrique, mais quand même elle y avait mis tout son coeur, et je vis ses yeux se mouiller d'une larme à la pensée que ce mariage allait peut-être marquer entre nous le commencement des séparations Hélas ! De nos jours la petite fontaine Wallace, est demeurée pareille, avec ses fraîches mousses d'eau et sa discrète musique.
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