CHAPITRE 12 : Enfance et innocence

Je savait qu'a l'age d'on t'on peut se souvenirs, se fut un choc tellement violent que je ne sais pas comment l'expliquer.

Je savait quand j'avait eu 5 ans mes parents m'avait envoyé moi et mes frères en colonies de vacances. Quand j'eu cette crise, se fut pour moi une descente en enfer croyait le ou non.

J'était un garçon normal à priori je me bagarrer comme tout les garçons sauf que fallait que le destin décide que je devait pas avoir d'enfance le destin m'aurait tué directement mais la Mort elle n'était pas de cette avis vu que je suis encore la à l'heure actuel mais pourquoi dans ma famille faut être un homme pour vivre normalement ou ?

Je savait que ma mère avait été terriblement bouleversé que l'un de ses petits se retrouve dans un été pré-mort mais post-vivant enfin entre la vie et la mort.Déçus par cette événement surtout par mon absence parce qu'elle n'y avait plus jamais fait illusion devant moi,et chez elle, qui, il faut le dire, manquait si souvent de tact, une telle réserve été un signe certain de chagrin secret et profond. C'est dure pour une mère de voir son enfant dans un lit d'hôpital et d'apprendre de terrible nouvelle à sa rencontre, pour une mère le pire c'est d'apprendre que sont fils est entre la vie et la mort ou même de dire qu'un jour va t'il se réveillé, va t'il partir rejoindre les étoiles et de rêver éternellement ? Pour ma mère comme pour mon père je suppose ces questions tourné en rond dans leurs têtes.

Ma mère n'avait pas élever ses chers petits pour rien et d'en faire quelqu'un qui aurait un avenir prometteur mais moi je n'est pas vraiment grandi dans ma tête certaine personnes pense que je suis Autiste comme mon frère non pas du tout j'ai peut être un problème dans tête mais quand on c'est pas la vie d'une personne on se la boucle comme la ceinture de sécurité pour évité les accidents.

Je n'est pas compris certains points dans la vie mais je sais que le lapin naît pas découpé et fraîchement griller.

Le silence se prolongeait.Il devenait de plus en plus épais, comme le brouillard du matin. Épais et immobile. L'immobilité de ma mère, la mienne aussi sans doute, alourdissaient ce silence,le rendaient de plomb. 

J'ai 5 ans en colonie de vacances,je suis avec les autres enfants ; je lance des pierres sur le lac pour faire des ricochets tout comme les enfants  de mon ages.

Je pense que la première fois que mon problème c'est manifesté j'avait 3 ou 4 ans, je me souvient d'avoir tellement pleurer que mes parents m'avait emmener au lit ils pensait que jetait trop fatigué.

Vers 17 heures, au moment où Stéphane et ma mère avaient fini de mettre un couvert pour 6 personnes, et où mon père avait monté de la cave des bouteilles de vins, je vint dans la salle pour le rejoindre en pleurant et faire des caprices.

Toute la nuit qui suivait, je ne voulais pas leurs montrer à mes parents que j'avais mal, que la douleur qui me serrait été devenu insupportable.

Dans la nuit j'avait tellement mal que mes parents m'on du n'emmener au urgence. Apres mon arrivé j'était vite transporté dans un bloc et il me semble que j'était opérer du cœur ça durée prés de 5 heures d'après mes parents.

10 ans plus tard

J'était un adolescent normal de 15 ans (normal non parce que j'ai du apprendre tout depuis le CP jusqu'en 3éme). Très doué en EPS, jetait sur le point de devenir un sapeur pompier et un urgentiste. J'était repérer par personnes il devait avoir mon père 1 ou 2 amis dans les gradins. 

Mes parents soucieux de mes résultats scolaires, ma mère ne voulais pas que son fils sois l'ombre de son marie,que mes exploits ne valais rien et que sa me monté trop à la tête.Elle sentais que son petit quitter son nid trop tôt déjà qu'elle n'a pas vu grandir vraiment actif, elle savait que l'enfant qu'on aime devient l'adulte qu'on craint,et elle voulait l'aimer encore un peu, avant que les filles, les femmes,et autres personnes qui prennent la relève et la privent de son pouvoir. 


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