Il ne restait plus de vie à Lucifer. Les sept ont été utilisé après celle là ce serait la fin. Moi Cécilia je serais morte pour toujours il ne pourra plus me réveiller. C'est voyant son visage écarlate allongé sur le lit que j'avais compris que j'étais une égoïste. Je savais que Je n'aurai aucune chance, mais je l'ai laissé gaspiller ses vies pour me sauver et c'est à sa toute dernière vie que j'ai compris ma cruauté. Comme toujours il ouvrit les yeux et les posa sur moi. Je le fixai l'air désolé.

__ Quoi? Fit- il en se relevant

___ je ne t'aurais jamais dû te  laisser sacrifier tes vies pour moi en Sachant que je mourrai de toute façon!

___ Arrête avec ça!

___ Non, vous savez très bien que c'est la fin, alors n'essayez pas de me donner du courage, répliquai-je.

Je me m'éloigner du lit et le fixa.

__ je vois que tu n'as guère l'intention de me le demander, moi je vais le faire, soupirai-je.

___ Quoi? Articula t-il

Ne comprenant vraiment-il pas à quoi je faisait allusion ou feignait-il l'incompréhension? Je reculai en faisant deux pas arrière tout en soutenant son regard, je glissai mes mains sous ma robe et l'enlevai.

___ je t'en prie, murmurai-je

Il ne me restait pas beaucoup de temps à vivre, mon existence allait s'éteindre, avant que cela puisse arrivé ,je voulais profité du corps diabolique de Lucifer. Ce corps là qui me tentait depuis la première fois que je l'ai vu dans toute sa splendeur. Alors que je laissai tomber mon dernier rempart qui est ma culotte à dentelle de couloir bleue foncé, je voyais ses yeux prirent une toute autre teinture, une teinture jaunâtre mêlé d'excitation et de désir enfouis. Enfin il avait compris mes désirs et je pouvais voir dans son regard que les siens étaient identiques aux miens. Je léchai  sensuellement mes lèvres alors qu'il se débarrassait de sa chemise avec grâce et précision. Nos regards étaient encore soudés l'un à l'autre. Il marcha vers moi, me détailla puis me contourna comme un animal sauvage guettant sa proie, ma respiration s'accéléra, des frissons me parcoururent le long de mon corps. Il se positionna derrière moi, glissa ses mains doucement autour de ma taille. Je fermai les yeux rempli de bonheur, car j'entendais les battements désordonnés de son cœur contre mon dos, son souffle chaud sur ma gorge et ses doigts qui traçaient des sillons de feu sur les courbes de mon cœur. Je me retournai vers lui ,lui faisant face, mes yeux ancrés dans les siens en me mordillant les lèvres, je voulais que ses lèvres empoignèrent les miennes et me fasse jouir jusqu'à ce que je n'en puisse plus. Alors que j'approchais lentement mes lèvres avides vers les siens, il posa son index sur ma bouche.

__ non, je veux que ça dure aujourd'hui, protesta t-il d'une voix rauque.

Il se colla à moi, nos corps se touchèrent, nos cuisses se frottaient...seul sont short me séparait de sa nudité tendu comme un arc. Il me souleva dans ses bras et je me jeta sur le lit. Une excitation sauvage parcouru mon corps entier pour se frayer un chemin au creux de ma féminité. Mon cœur entreprit une course folle quand je le vis se débarrasser de son short. Combien je le voulais en moi! Je le voulais en moi avec toute la largeur et toute la longueur se balançant entre ses cuisses. Il glissa sur le lit et passa sa langue sur mes genoux simultanément ,se faufila sous mes cuisses pour monter au creux de mes reins. Il me narguait, il voulait me rendre Folle de désir je le savais. Le regard perdu vers son membre tendu, je sentis ses lèvres glissées à l'intérieur de mes cuisses, les yeux exorbités, les lèvres entre-ouverte, haletante, je laissai échapper un cri d'extase. Il souleva légèrement la tête pour murmurer.

___ moins de bruit, tu vas attirer les démons ici.

Je m'en foutais!   Qu'il nous entendre! Je voulais jouir pleinement de ce moment d'extase...je voulais que sa langue  entre de plus en plus profond ...je pressai sa tête entre mes jambes. De sa langue  il titillait mon point de plaisir tout en glissant ses mains sur les pointes de mes seins tendu comme un arc par le désir. Jamais au paravent je n'avais eu autant d'attention, c'était moi qui en donner pour des billets. Lucifer lui il savait comment prendre soin de moi...comment me faire du bien... Il savait où toucher...caresser....lécher pour me faire crier de plaisir. Alors que je sentais mon orgasme  s'approcher, il s'écarta de moi. Je gémis de frustration .

___ Pas ça!

___ Ce matin on vient ensemble

Il m'invita à me lever puis me fit me positionner sur mes genoux. Je cambrai  les reins pour lui donner une vue plus avantageux de mes fesses bombés. Se positionnant derrière moi je le sentais enfin pénétrer dans mon jardin aride. Je me mordis les lèvres pour ne pas crier quand il toucha le creux de mon ventre. Ses mains empoignèrent mes seins alors qu'il entreprit un va et vient avec une douce force qui m'enivrait. Peu à peu mon ventre s'ouvrit pour accueilli ses va et vient. Mon sang chargé d'adrénaline, je ne pu retenir les hurlements de plaisir qui qui sortaient de mes lèvres. Un feu sauvage bouillonnait en moi.

Soudain il se détacha de moi, s'allongea sur le lit, puis me fit m'assoir en califourchon sur lui en empoignant mes fesses à pleines  paumes.

___ je te veux dans toute ta splendeur, gémis-je excité.

__  garde les yeux ouverts

Il se mit sur ses coudes pour atteindre mes lèvres, je me Cambrai vers lui en remuant les fesses peu à peu. Ses yeux ancrés dans les miens commencèrent à s'enflammer, nos langues se cherchèrent dans une sauvagerie amère tandis que nos hanches se mouvaient inlassablement. Nos souffles s'accélèrent proche de la jouissance, alors qu'il entamait ses derniers coup de Reins et que moi je me mouvaient au dessus de lui, je voyais les flammes devenir plus puissant dans ses yeux. Enfin au bout du chemin, je poussai un cri de plaisir, il grogna à son tour et il se vida en moi pendant que nos corps frissonnaient l'un contre l'autre. Je m'apprêtais à m'allonger à côté de lui quand les murs de la maison disparaissent, et les démons nous firent face.

___ bon boulot Cécilia!

Avant que nous fassions quoi que ce sont, Samyaza m'envoya  un couteau enflammé au cœur. Mon corps s'écroula part terre, c'était enfin la fin...