14. La vérité est une illusion de mensonges
Ma mère a toujours été cette mère distante avec Dreya et moi. Elle nous a eus, mais elle voulait une carrière et elle travaillait beaucoup. Nos courts moments avec elle étaient souvent interrompu par des coups de téléphone ou des trucs imprévus. Ma mère n'a jamais été méchante, elle a juste eu de la difficulté avec le rôle de mère. Ma mère a toujours eu cette boite de bonbons qui nous était interdit, elle en prenait à chaque fois qu'elle avait un problème. Elle n'allait pas toujours bien dans sa tête et je l'entendais souvent pleurer ou supplier. Quand ma mère se rendait seule dans une pièce nous avions l'interdiction de la déranger, sauf un jour Dreya ne l'écouta pas.
Elle a neuf ans ce jour-là, nous sommes à exactement un an de l'accident. Elle est entrée dans le bureau de ma mère sans cogner et se fut le moment que la mort l'a choisi. Elle est restée paralyser à la vue de cette femme qui agit différemment de ma mère. Ma mère qui a les yeux bleus de nature s'est présentée comme une femme aux yeux verts aille un sourire beaucoup plus grand qu'elle. Dreya aillant rien remarquer de la situation fit la première erreur, l'erreur fatale, elle a utilisé son pouvoir devant la femme. Elle a demandé :
-Ma maman, pourquoi je peux faire flotter les objets?
La femme a donné une affection maternelle à Audrey-Anne en la rassurant et lui expliquant la normalité de la chose. Elle l'a prise dans ses bras caressant ses cheveux telle une poupée dans les mains de fillette. Je vois en ce moment que ma sœur est rassurée, un confort pour mieux abattre sa proie, et la femme dit à Dreya :
-Ne t'inquiète pas ma petite sorcière, tu découvriras à les contrôler, c'est un secret de famille que tu es béni d'avoir.
Je vois Dreya fixer ses mains avec un peu plus de confiance, un sourire illumine ses yeux terrifié. Elle fait un hochement de la tête gêné avant que ma mère continue :
-Je vais te présenter Mimi, fait tout ce qu'elle dit et tu contrôleras plus tes pouvoirs.
Je me retourne vers Dreya le visage stoïque. Elle veut pleurer. La vérité est dure à voir surtout quand le mensonge est facile à accepter et moins douloureux. Elle me prend la main et elle essaie de parler. Je sais qu'elle ne veut pas revivre ça, mais je dois savoir. Je me retourne pour continuer de marcher dans ses souvenirs.
Je vois qu'elle passe beaucoup de temps avec cette Mimi. Mimi n'est pas une personne facile entre les coups et les insultes, je vois le sourire la jeune fille disparaitre laissant une enfant portant de longs vêtements sombre. Je me rappelle vaguement des engueulades de mes parents sur ses bleues inconnues. Des souvenirs flou qu'on m'aurait enlevé ou modifier. Je me vois aussi dans ses souvenirs, je parle seule souvent sans trop savoir ce que je fais. Ma petite sœur mets beaucoup d'effort sur un truc qu'on lui a enlevé. Je continue à marcher jusqu'à un souvenir plus brillant que les autres dans ce sombre esprit. Ce qui me fait arrêter c'est à ce moment que je vois Dreya m'observer avec trois jeunes filles, deux blondes et une brunette. Je la vois qui veux venir jouer avec nous, mais Mimi lui tiens la main. Sa main sert le bras de la fillette avec une pogne telle une statue qui entoure celui-ci. Je peux voir Audrey-Anne essayer de se lâcher de son emprise sans succès, mais Mimi lui chuchote :
-Les Uniques veulent seulement nous tuer parce qu'on ne peut pas être contrôlé, tiens-toi loin d'eux.
Elle lâche le bras de la fillette laissant une grande marque rouge. Je vois Audrey-Anne respirer plus rapidement en cherchant des réponses. La jeune fille qui retient ses larmes demande :
-Alors pourquoi Uldérick peut jouer avec elles?
Elle se rapproche de son oreille en passant sa main dans les jolis cheveux noirs de l'enfant. Elle lui chuchote :
-Parce que son pouvoir est différent et qu'il faut se tenir proche de nos amis et encore plus de nos ennemies. Tu n'as pas le même enjeu que ton frère dans cette histoire et je crois que bientôt ils vont se douter d'un truc et on aura des problèmes.
Elle repousse l'enfant telle un déchet. Elle se tourne dans la pièce pendant que ma petite sœur se relève et elle explique :
-Mais elles veulent nous guérir de nos trucs, je déteste mon pouvoir et pour Uldérick c'est pire encore. Je ne veux plus vivre cette vie de cacher qui je suis avec cette peur de mourir.
Elle se retourne d'un coup en se mettant vraiment au-dessus de la jeune fille qui cherche à se cacher dans le plancher. Elle lui demande en faisant attention d'articuler chaque mot :
-Est-ce que tu essayes de me contredire? Est-ce que tu veux finir comme toutes les autres personnes de notre famille, tuer par les Uniques?
Ma sœur reste la tête basse et commence à pleurer. Je m'approche de la femme pour essayer de la frapper sans succès. Audrey-Anne chuchote :
-Tu ne peux rien faire, c'est juste des souvenirs.
Elle reste dans un coin ses jambes dans ses bras. Elle ne regarde même pas la scène. Je suis en colère face à ça. Je n'ai rien pu faire, j'ai juste ignoré la situation. Je me dirige vers elle et je crie :
-Je me déteste, j'aurais dû être avec toi quand tu étais avec cette femme.
Elle se lève d'un coup pour se mettre à mon niveau. Elle me fait résonner :
-La vérité est que cette femme se présentait sous la forme de notre mère.
Je me retourne du regard de ma sœur, je sais qu'elle a raison, mais je bouille de rage. Je me reconcentre sur les souvenirs de ma sœur en essayant de laisser passer la rage. À un moment je rentre dans la maison. Elle se jette sur moi et elle me sert fort comme si sa vie en dépendait. Je lui ai demandé :
-Qu'est-ce qu'il y a Dreya?
Elle répond en retenant ses larmes :
-Mimi a dit que les filles étaient méchantes et qu'ils voulaient tuer toutes notre famille à cause de nos pouvoirs. J'ai peur.
Je la prends dans mes bras pour la rassurer et je lui réponds :
-Ce n'était qu'un rêve, j'étais seule dehors et nous n'avons jamais eux de pouvoirs.
Je vois ma sœur confuse. Elle sort de mes bras pour aller vers la pièce sombre. Elle se dirige vers la femme qui l'attend au milieu de ça. Elle reste assise en regardant la fille droite dans les yeux. Audrey-Anne demande dans sa grande confusion:
-Pourquoi grand frère a oublié tout ce qui s'est passé? Est-ce qu'elles lui ont joué dans le cerveau?
La femme se gratte le menton en analysant la situation. Elle s'exclame :
-Ça complique les trucs.
La femme met sa main sur Audrey-Anne et à ce moment le souvenir devient flou.
Je me retourne vers ma sœur. Elle est en larme et elle marmonne :
-Fait arrêter ça.
Elle est part terre les mains sur les oreilles. Elle veut que ça s'arrête, mais moi je veux la vérité, je ne veux plus vivre dans cette fumer de mensonge. Je m'approche d'elle pour la faire regarder dans mes yeux et je lui demande :
-Qu'est-ce qui arrive après, est-ce qu'elle a fait un truc qui ta pousser à mourir?
Elle sèche ses larmes et elle me crie :
-JE VOULAIS T'AIDER
Je me retourne d'elle et je marche en rond comme un lion en cage. Je lui radote les mots qui me hantent depuis quatre ans :
-En m'emprisonnant dans cette tourmente, j'aurais dû mourir à ta place, tu étais ma petite sœur, je devais te protéger.
Elle arrête de pleurer d'un coup. Elle commence à m'exposer :
-Tu ne crois pas un mot de ça.
Elle se lève et à chaque mot elle se rapproche de moi :
- Tu me vois comme un outil et une excuse pour le fait que tu fais des erreurs.
Elle arrête près de mon visage pour me cracher le venin final qui me porte un coup final :
-Je suis morte il y a quatre ans et là vue que l'excuse marche de moins en moins tu voudrais que Fay meurt pour avoir une autre excuse pour foutre ta vie en l'air parce que la seule chose que tu sais faire c'est être égoïste.
Je sers le poing pour essayer de contrôler la rage intérieur qui grimpe en moi. Je dis entre les dents :
-Retire ce que tu viens de dire.
-Je ne retirerais pas ça parce que c'est la vérité, si tu voudrais vraiment sauver Fay tu accepterais le marcher de Nelly. Ceci est mon corps et je ne veux pas montrer plus.
Je me sens projeter dans mon appartement. Je sens ma tête heurter quelque chose. Je me suis réveiller le lendemain matin à quelques pas de la table avec comme voisin une bouteille de fort en mille miettes.
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