Chapitre 2: L'Amitié
L'Amitié est la chose la plus complexe pour moi,et celle-ci m'a détruit. Normalement, elle est sensée être une belle chose, pourtant, elle est l'une des pricinpales causes de ma Dépression.
Au début (quand j'étais au Primaire), tout allait bien, j'avais des Amis: j'étais un enfant comblé (enfin en Amitié).
Arrivé au Collège, j'ai vu les vêtements sales, qui se cachaient sous cette belle pile. Au Primaire, nous étions un groupe soudé, où nous amusions. Au Collège, ce groupe, il s'est détruit tel l'attentat des tours jumelles. À la rentrée de 6e, nous n'avions même pas mangé ensemble, alors qu'au Primaire, nous le faisions tout le temps. Çela, se passa comme ça pendant tout le reste de l'année. Ainsi, plus les jours passaient, plus nous nous éloignions, moins nous nous parlions, et, nous avons fini par nous oublier comme de mauvais souvenirs.
Puis, j'ai rencontré de nouvelles personnes. Je pensais qu'après l'échec de mes Amis du Primaire, que je n'allais pas en connaître d'autre. Ce fut une véritable erreur. En 6e, j'eus beaucoup d'Amis, enfin, ami c'est beaucoup dire. En ce temps, je croyais que j'en avais tellement, mais vous verrez que petit à petit mon monde s'écroulera. Alors, à ce moment, je parlais pour beaucoup de monde. Pourtant, j'avais très peu de Contact, de plus je ne recevais aucun Message ( le plus désespérant). À chaque fois que j'avais un nouveau Téléphone (je casse tous mes Téléphones), je demandais à tous les gens avec qui j'ai parlé leurs Numéros. Vous me direz que j'abusais, mais autrefois, je croyais que tout le monde était mes Amis, alors que c'était totalement faux. Ce n'était pas eux tous qui me donnaient leurs Numéros. Depuis 2016, j'ai arrêté avec ceci, car finalement je me suis retrouvé avec 100 Contacts, mon but, et, au final je ne parlais pour personne: triste Vie, et triste pour moi, très, mes chers Lecteurs.
Je n'avais jamais de Message, je m'interrogais souvent, puisque je discutais avec tous ces gens. Je compris que ce n'était pas mes Amis, je fus détruit, mais à point inimaginable.
Quand je quittais l'École, personne ne parlait, j'étais comme un Fantôme, comme le Néant . Aucune personne n'était là pour moi. Plus je passais dans les classes suivantes, plus je perdais des soi-disant "Amis". Jusqu'à ne plus en avoir.
J'avais des Amies, mais elles n'étaient pas là pour moi, elles ne voyaient point ma souffrance. Peut-être, s'enfichaient-elles? Peu à peu, je perdis tout espoir en l'Amitié, et je pris mes distances avec le monde. Malheureusement, je ne savais pas que ces distances me nuierait au point de commettre des choses terrifiantes. Je me rendis compte, que je n'avais point d'Amis . Ainsi, par cette révélation, je commençais ma Descente Aux Enfers.
Je devenais autant sauvage qu'un lion. Je repoussais toutes les personnes qui essayaient de converser avec moi. Au fond, je savais que c'était un comportement exécrable,mais, comprennez moi, mon souhait était que personne ne me parle. Je ne voulais pas resubir cette Souffrance. Comprenez mon comportement, il n'était en aucun cas correct, mais j'ai vécu des événements difficiles.
Je cherchais tellement Quelqu'un avec qui je serais en Paix, et, qui m'empêcherait de faire ma Descente Aux Enfers. Quelqu'un qui, m'emmenerait au Bonheur. Même aujourd'hui , je continue à la rechercher, mais avec nettement moins d'obstination.
Comme vous l'avez compris, l'Amitié pour moi a été une catastrophe. Un attentat, qui le djihadiste a été l'Amitié, et moi la victime. Ces déceptions m'ont amené à une remise en question totale. Je pensais au final que l'élément pertubateur était moi. Finalement, je compris que je ne fonctionnais pas comme les autres. Ainsi, j'aurai et j'eus beaucoup de soucis pour cette raison.
J'ai perdu un paquet d'Amis, beaucoup même. Je me sentais obliger d'avoir des Amis pour exister. Je voulais que tous les individus qui m'ont abandonné regrettent, me supplient de redevenir leur Ami. Tous ceux qui me critiquaient, qui se moquaient, veuille me parler, me flatter. Je ne voulais plus souffrir à cause d'autrui, je voulais qu'autrui souffre pour moi. Il n'y avait qu'un seul moyen pour qu'ils souffrent, pour qu'ils s'intéressent à moi, devenir populaire.
Le prochain chapitre abordera Popularité.
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