chapitre 10

Pdv Marwane

Le soirée se passait plutôt bien, après 3 plaintes venant des voisins aux allentours, nous avons décider de baisser le sons de la musique et discuter. Je sentai Lynday un peu plus detendu, elle ne disait rien tellement elle n'etait pas bien. 1 seule fille parmi 15 garçons, se n'etait surement pas être facile pour elle. Surtout, j'imagine, lorsque nous nous sommes mis a raconter nos aventure avec les filles et a les insulter, elle ne pouvais defendre la gente féminine face a tout ses garçon a elle seule. C'est Austin qui commença :

《 Mefiez vous des belles créature les gars en realité c'est elles les plus avares en amour. C'etait un jeudi soir alors que je revenais du lycée a Pied, j'aurais dû emprunter le bus je vous dit. Je marchais et je l'ais vu assisse sur un banc tenant une paire de ses talons cassé à la main. Je decidai donc de m'approcher et de lui proposer mon aide. Apparament elle c'etait cassé un talons et c'etait fait mal au pied,elle ne pouvais continuer, je la pris donc sur mon dos pour la ramener chez elle. Arrivé devant chez elle, elle me remercia et me laissa son numéro. C'est a ce moment que je me suis rendu compte qu'elle avait les plus beau yeux et une petite bouche bien désiner. Je suis tomber sur son charme. Pour moi stephanie c'etait la plus belle. On se voyait tout les jours et après 2mois de relation je décidai de la presenter a ma mère.
D'abord elle arriva en retard pour le diner organisé , ensuite elle passa presque tout le temps au telephone et enfin comme si c'etait pas suffisant elle se mit devant ma mère au moment de dîner et dit :
-ecouter madame, j'aime beaucoup votre fils mais je ne pense pas que notre relation ira bien, tout c'est passer tellement vite.
-que veut tu dire ! Dis je.
-que je ne veux plus être ta copine.
Je laissait le verre dans ma main se briser en même temps que mon coeur. Elle sortir me laissant en larme. 》

On poussait tous de gros soupir après le recit de Austin, tout le monde voulait donner son avis ou plutôt son injure. On traitait les filles de tout en oubliant qu'il y en avait une parmi nous. Elle se leva et pris la direction de la cuisine en pretendant qu'elle avait soif. Dès qu'elle entra dans la cuisine Rayan se lava lui aussi et entra lui aussi dans la cuisine.

Pdv lynday

j'etai un peu en colère et je ne pouvait rester une minute de plus au milieu d'eux, ils critiquaient et insultaient les filles comme si eux etaient des inocents. Je terminai mon verre d'eau quand Rayan entra dans la cuisine et ouvrir une porte qui semblait mener dans le jardin. J'ai su que c'etait lui a cause de ses vêtements.Sans dire un mot il referma la porte derrière lui. Par curiosité j'ouvri la porte. Il y avait un  terrain de foot et de tennis et des gradins ainsi qu'une piscine. Rayan etait assis sur les gradins et fumait sa cigarette qu'il venait d'allumer. Je m'approchais de lui malgré le fait que je detestai l'odeur de la cigarette. Je m'assi a côté de lui :

-Tu vas bien ? Demandais-je
-oui, j'avais juste envie de fumer, alors je me suis eloigné, je parie que les autres vont pas tarder a venir ici. Dit il après avoir craché sa fumé.
-pourquoi tu fumes ?
-il faut orcément une raison pour fumer ?
-non, mais beaucoup de personnes ont une raison.
-sauf moi. Tu devrais essayer.
-c'est pas bon pour la santé.
-ouais, certains le disent, ça peut être vrai ou faux.
-comment ?
-tu comprendras pas.

Dit-il en plongeant ses yeux dans les miens, je baissai aussitôt la tête. Ce ne sont pas mes amis, qu'est ce que cela peut bien me faire qu'il fume ,après tout il est grand et conscient de ses actes.
C'est pas a moi de lui posser des questions ou de lui faire la morale,je risque de le faire chier.
La porte s'ouvri de nouveau et je vit tout les autres sortir et venir nous rejoindre, Marwane et 10 autres de ses potes viennent s'assoir près de nous tandit que les 3 autres se jettaient dans la piscine.
23h53 il faut que je rentre, je leur fait mes aurevoir et Marwane me racompagne jusqu'a chez moi :
- Merci ! Lui dis je.
-hum, il y a milles façons de le dire non.
- puff . Dis je en riant. allez va fumer avec ton frère.
-moi je ne fume pas...du moins j'ai arrêté
-pourquoi ?
-tu sauras un jour.

Dit t'il avant de m'embrasser sur la joue et de s'en aller.
Décidement il y a beaucoup de trop de mystère dans cette histoire que je saurais un jour.

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