Chapitre 10 : Chaleur, caresses et baisers

/!\ Au cas où vous n'auriez pas lu le mot de fin du dernier chapitre ou que le média ne soit pas suffisamment explicite, il y aura dans ce chapitre des moments sensuels entre Katsuki et Eijiro Girlyshima /!\



PDV Katsuki


Et voilà. Si on exclue le temps que j'ai passé à me changer, ça fait maintenant plus d'une heure que je suis forcé d'attendre devant l'infirmerie comme un con que ma petite amie en sorte. Parce qu'elle s'est blessée pendant cette putain de patrouille sur le terrain. Quand je pense que j'étais coincé avec l'autre tête d'œuf à faire traverser la rue à des vieilles alors que ma chérie était en train de se battre contre des délinquants avec ce Double Face de merde !

La prochaine fois, que cet imbécile de prof chrysalide l'accepte ou non, je bute son prochain partenaire et je pars avec elle pour la protéger. Ouais, c'est un bon plan.


Je redresse la tête en voyant enfin la porte s'ouvrir et ma tête d'ortie en sortir. Elle a un pansement sur la joue droite, un bandage autour du bras gauche et de la taille ainsi que des sandales pour marcher plus confortablement ; au passage, quelle idée de donner des talons à une héroïne qui doit se battre en donnant des coups de poing ! La meuf aux cheveux de chewing-gum vient de rejoindre ma liste de personnes à tuer ; juste avant le Pikachu et Double Face, et très loin derrière la grappe de couilles. Mais je m'égare.


Je préfère me concentrer sur Eijiro qui se dirige vers le couloir, un peu perdue et ne m'ayant sans doute pas vu ; sans t-shirt ni rien pour protéger sa poitrine, ses neurones ont diminués après son combat ou quoi ??? Sans attendre, je me rapproche d'elle et l'attrape par derrière, embrassant son cou la faisant sursauter et tourner le visage vers moi.

-Kat ! Tu m'as fait peur !

-Ouais ouais, pourquoi t'as rien sur tes nichons, tête d'ortie ? Tu veux que tout le monde te mate ou quoi ?

-A-Ah ça... Bah en fait, Recovery Girl m'a dit de retirer mon haut pour regarder si j'avais des blessures... J'ai dû l'oublier à l'infirmerie.

-Mais quelle idiote tu fais !


Je ne peux pas m'empêcher de sourire en poursuivant mes cajoleries, me disant que c'est une attitude typique de Kirishima. Oui, vraiment, malgré son apparence de meuf, c'est toujours mon copain solaire, stupide et terriblement attendrissant.


-Euh Baku ?

-Quoi encore ?

-T-Tu recommences à me peloter, là...


Je baisse les yeux sur mes mains. Effectivement, j'ai d'instinct posé mes mains sur sa poitrine pour recommencer à la caresser sans même y penser. Juste pour apprécier la chaleur et le moelleux de ses seins, ce que je n'ai pas pu faire totalement ce matin alors qu'on se pelotait dans les toilettes.

Bon, comment je justifie ça sans passer pour un pervers fini ? Mes petits neurones, trouvez-moi une réponse plus crédible que "Crève" ou "C'est la faute de Deku/Ma mère/insérez ici nom d'une personne que j'ai envie de buter" sur ce coup-là.


-Je voulais m'assurer... Que le soutif a pas blessé ta poitrine... parce qu'il paraissait un peu serré quand tu l'as mis...


Eijiro me regarde avec des yeux de requin ébouillanté alors que je me donne une baffe mentale. Bien joué, Bakugo. Même moi, je prends conscience que ce que je viens de dire pue le prétexte bidon à des kilomètres. Pourtant ma tête d'ortie a une réaction inattendue, haussant les épaules et répliquant avec une douceur que je ne lui connaissais pas :


-Tu sais, tu pouvais aussi simplement dire que tu aimes bien me toucher les seins. T'es mon copain, t'as pas de mauvaises intentions et ça ne me dérange pas...


Je crois que c'est l'une des rares fois où quelqu'un m'a laissé sans voix dans toute mon existence. Et je n'ai même pas le temps de réfléchir à ce que je peux répondre qu'Eijiro se met à soulever le coin de mon t-shirt pour me l'enlever.


-Tu me le passes, Katsu ? Histoire que j'ai un truc à me mettre pour aller dans les vestiaires et reprendre mon uniforme...

-Pourquoi tu me demandes si tu le fais déjà ? Faut être cohérente, tête d'ortie.


Bordel, j'arrive même plus à être agressif, tant je me suis inquiété pour cette nana. C'est simple : maintenant que Kirishima est hors de danger et dans mon champ de vision, j'ai l'impression d'être une tasse de thé en porcelaine remplie à ras-bord dans la main de Deku quand il active son alter. Mais je m'égare à nouveau.

Tête d'ortie finit par arriver aux vestiaires des meufs et en ressort quelques minutes plus tard, habillée et portant son sac sur son dos tout en me rendant mon propre T-shirt au passage. Il ne nous reste pas beaucoup de temps avant la fin de la pause déjeuner, aussi nous nous dépêchons d'aller bouffer ce qui reste. D'ailleurs l'appétit d'Eijiro n'a pas changé d'un poil, ce qui fait que je ne peux pas m'empêcher de sourire en la voyant réclamer une montagne de viande bien grillée.

Certaines choses ne changeront, heureusement, jamais...



Le reste de la journée s'écoule ENFIN normalement, ce qui n'est pas refus après toutes les émotions de ce matin. Je m'arrange pour demeurer toujours aux côtés de ma tête d'ortie, et c'est pas facile puisqu'elle est toujours en train de parler à tout le monde et de se déplacer en permanence. Mais dans l'ensemble, puisque j'explose trois fois les faces du Pikachu et de la grappe de couilles, ainsi que de Deku pour des raisons personnelles, j'estime être un bon garde du corps.

Le soir tombe finalement, et nous regagnons tous nos chambres pour un repos bien mérité. Eijiro se dirige vers sa chambre, par habitude je lui emboite le pas. Je ferme la porte pour me mettre en boxer alors qu'elle se déshabille à son tour.


-Tu vas enfiler un pyjama ou je te redonne un t-shirt ? je lui demande.

-Pas la peine de te déranger, Kat, j'ai un pyjama !


Je me retourne, prêt à dormir, conservant suffisamment de sang-froid pour ne pas mourir d'une hémorragie nasale en la voyant porter ce "pyjama" rose clair, qui est encore plus sexy que celui du magasin d'hier.


Remarquant mon visage, Kirishima s'allonge sur le lit, un sourire de piège à loup ornant son doux visage.


-Un problème, Katsuki ?~


Oh putain. Elle me provoque ou j'rêve ? J'étais déjà amoureux du garçon, mais la version fille me plaît de plus en plus.


-Non, aucun souci.


Je m'approche du lit et y grimpe, surplombant ma petite amie qui a passé ses bras sur mes épaules. Sans même y réfléchir, je me retrouve au-dessus d'elle, mon regard fixé sur ses courbes à peine cachées par le fin tissu couleur pêche qui la recouvre. Les doigts graciles d'Eijiro parcourent l'entièreté de mon corps, et je vois à ses yeux brillants d'envie que ça lui avait manqué. J'embrasse légèrement ses lèvres suaves, descend dans son cou sous ses gémissements mélodieux pour lui faire un suçon.

L'atmosphère redevient aussi brûlante que ce matin, alors que je l'aidais à se changer dans les toilettes. Sauf que là, on est tous les deux dans un lit, sans limites de temps, habillés de seulement quelques morceaux de tissu qu'on peut enlever avec plus de facilité. Tout, absolument tout, à cet instant, se prête à nuit mouvementée.


Je me redresse doucement, m'asseyant sur le matelas et tenant ma petite amie sur mes jambes ; elle semble tellement menue, alors qu'elle caresse mes abdos et parsème mon torse de multiples baisers. Je lui retire le voile pastel qui m'empêche d'accéder à son corps pour le laisser choir au sol afin d'embrasser son épaule.


-B-Baku...~

-Hmm ?~

-P-Plus bas...~


Sa voix, plus aigue que d'ordinaire, est si mignonne, d'autant que découvrir le reste de son corps me fait tellement envie... Je me contente de hocher la tête et de descendre ma bouche vers le creux de ses seins. J'y déposant quelques baisers avant d'y glisser ma langue, la faisant crier de surprise.


-Kyah !~


Eijiro agrippe mes cheveux alors que je goûte sa délicieuse peau. Mais le tissu de son soutif me gêne bien trop, je dois l'enlever. Sans cesser mes petits coups de langue précis, une de mes mains migre vers son dos, glissant trois de mes doigts sous le fermoir en coton. La rouquine gémit mon nom dans mon oreille et ondule son bassin contre le mien tandis que je détache son soutien-gorge, qui tombe au sol. Kirishima noue ses mains autour de mon cou pour de nouveau m'allonger sur elle dans le lit, appuyant délicatement ses seins à mon torse.


Nos lèvres se rencontrent en un baiser passionné tandis que mes paumes massent fermement sa jolie poitrine, qui est énorme, souple et moelleuse ; j'ai l'impression de caresser deux gros marshmallows. Eijiro gémit de plus en plus fort, ses jambes tremblent pendant que je m'affaire à découvrir plus amplement son buste par le biais de ma bouche, de mes yeux et de mes doigts. Je capture un de ses tétons durcis entre mes lèvres pour le suçoter, ce qui la fait pousser un adorable couinement, tout en concentrant mes caresses plus rapides et fermes sur son autre sein.

Je kiffe définitivement cette poitrine, tellement duveuteuse et agréable à toucher. Si en plus je l'excite avec mes caresses, je suis parti pour la peloter en permanence.



Eijiro en-dessous de moi se tord de plaisir, son regard embué se fixe dans le mien. Et ce que j'y décèle me surprends : du... regret ?


-B-Baku attend...~

-Quoi ? je m'agace en suspendant mes gestes, gardant néanmoins une main sur son sein.

-Je... J'ai vraiment envie de toi m-mais... je suis encore blessée...

-Ouais je sais.


Je fusille du regard le putain de bandage qui est toujours serré autour de sa taille.


-Ça le fout mal si on couche ensemble ce soir. Je veux pas prendre le risque de te rajouter des blessures qui mettront encore plus de temps à guérir... parce quand je baise, tu sais que j'y vais toujours fort.

-C'est l'une des raisons pour lesquelles je te trouve vachement viril.

-Merci, tête d'ortie.

-Du coup, même si tu mets pas ta queue en moi ce soir... , hésita Eijiro en caressant mes cheveux. On peut au moins... se faire plaisir mutuellement, non ?

-Tu veux que je te doigte ?

-S'il te plait... En plus, je commence à... à avoir très chaud au niveau de... de mon sexe...~~


Ma tête d'ortie rougit violemment en bafouillant ces derniers mots, ce qui me fait ricaner. À côté de ce qu'on échange d'habitude pendant qu'on baise, cette phrase c'est vraiment que dalle. Dès qu'elle est guérie, on va bien s'amuser...


-Tu as chaud, hein ? ~ Laisse-moi vérifier ça ~


Je lui vole un bisou puis redescend ma langue sur son corps, en direction de son entrejambe. Sur fond de gémissements cristallins et bandants, j'entame une randonnée dans les sillages de son corps, mémorisant chaque endroit qui la fait frissonner afin de m'en servir pour plus tard. Et bien sûr, je m'attarde particulièrement sur ses deux collines que j'adore, alors que j'empoigne ses hanches minces pour un meilleur confort.

Au bout de quelques minutes et d'une avalanche de caresses, j'atteinds enfin mon objectif. Une jolie culotte rose dragée, avec des broderies lactées, qui dissimule le petit secret humide d'Eijiro. Ça change grandement de la hampe de chair et des bourses contractées que contenait son caleçon, mais en soit je m'en fous, mon excitation reste inchangée. Ce qui compte pour moi présentement, c'est de découvrir le visage déformé d'orgasme de la fille que j'aime après lui avoir fait plaisir.


Mes dents se saississent de la culotte et la baisse avec précaution avant de la lâcher sur le sol. Maintenant qu'Eijiro est entièrement nue, j'ai une vue superbe sur ses deux lèvres gonflées et mouilllées. Je ne réfléchis pas à la manière de procéder, je m'attaque directement à ma cible à coups de langue. Un long cri s'échappe de la gorge de ma copine, qui bouge le bassin en haletant.


-Nyaah !~ B-Baku...~ Si sauvage ~

-Ose me dire que tu n'aimes pas quand je suis comme ça~


Elle rougit mais ne proteste pas, alors que je savoure ma victoire et la cyprine un poil sucré qui goutte de son entrée. Deux de mes doigts ne tardent pas à venir accompagner ma langue, dans l'unique but de découvrir cette caverne aux merveilles dans son intégralité. Mon autre main déformant ses fesses bombées, Eijiro se cambre quand je caresse son clito, et je comprends qu'elle est particulièrement sensible à cet endroit. Go en abuser encore et encore, le torturer et le titiller à l'infini sans cesser de la déguster et de la doigter. La chaleur infernale de la pièce rampait sous nos peaux, torride et ardente, au même titre que notre désir commun.

Ma tête d'ortie serre mes cheveux, les caressant ou les agrippant selon le plaisir, elle transpire, elle s'agite dans tous les sens comme un poisson privé d'eau sous chacun de mes mouvements. Ses couinements et ses gémissements se déversent tels de la sauce chocolat dans mes oreilles, faisant dresser mon sexe sous l'excitation. Quant à son visage... Comment peut-elle être aussi belle ? Kirishima fond littéralement, et savoir que c'est à cause de moi me procure une profonde sensation d'amour et de fierté.


-Baku !~ Aaah ! ~ N-Nyaah~~~ K-Kat !~~ J-Je ~~


Elle ne peut même pas finir sa phrase qu'elle atteint l'orgasme en hurlant. Sa cyprine coula à flot, sur mes doigts comme sur ma langue. Langoureusement, je n'en laisse échapper aucune goutte, me rassasiant de ce liquide chaud inconnu. Ça avait le goût d'Eijiro, quelque chose d'indéfinissable mais infiniment plus érotique que n'importe quoi sur terre.

Mes doigts se retirent avec précaution de ce petit trou excitant alors que mes lèvres s'emparent à nouveau de celles de ma soumise. Kirishima explore ma bouche avec ardeur alors que nos langues entament une valse impérieuse. Son désir n'a pas diminué, bien au contraire, alors j'empoigne ses seins de nouveau sans jamais me lasser de leur forme ou de leur texture.


-Bakugooooo ~, se plaignit ma copine en me regardant d'un air boudeur, pas très crédible avec son visage excité et luxurieux. Lai-Laisse-moi te sucer ~

-Je t'ai pas trop fatiguée pour ça, tête d'ortie ?~ , j'ironise en embrassant sa clavicule.

-Bah non ~ Si je te le demande c'est que je peux le faire ~~ Et puis, tu préférerais ça plutôt que te toucher seul, non ?~

-Un point pour toi ~


J'échange nos places sur le lit, elle au-dessus de moi et descendant progressivement vers mon torse alors que je caresse son dos. Elle déglutit voyant l'énorme bosse coincée dans mon boxer, réclamant de l'attention en se dressant à travers le textile. Mais Eijiro se donne deux tapes sur les joues pour se motiver et retire rapidement mon caleçon. Je pousse un soupir de soulagement, ravi de ne plus être à l'étroit, alors que mon sexe jaillaissait enfin, dur à en être douloureux, d'où la pré-semence jaillissait déjà du gland rouge et gonflé.

Les mini-mains de Kirishima empoignent ma verge dure, me faisant grogner, et lève des yeux pleins d'envie et de gêne vers moi.


-Je ne me rappellais pas qu'il était aussi gros...~ Ça me donne si faaaaim !~

-Régale-toi, bébé, mais gaffe à tes dents ~


Tête d'ortie se lèche les lèvres et engloutit mon pénis en une seule fois. Elle me suce de haut en bas, me caresse les bourses avec ferveur, me masturbe sans douceur et avale chaque perle de mon fluide. Je sens mon sexe taper le fond de son gorge chaude et encore plus étroite que d'habitude, sa bouche saliveuse décuple les sensations, elle se permet même de me malaxer le cul. Et pas une seconde elle ne me lâche du regard. Elle n'exagère pas, j'ai vraiment l'impression qu'elle va me dévorer la bite. Bordel, c'est si bon !

Je n'ose pas serrer sa chevelure alors qu'elle est déjà si petite, alors à la place je triture les draps, de minuscules explosions jaillissant de mes paumes. Je n'étais rien d'autre que grognements, mouvements de hanches et cris gutturaux, captif des mouvements experts d'Eijiro. À ce train-là, vu comment elle me regarde, comment elle met du cœur dans cette fellation, je ne vais pas tarder à craquer...


Ce que je fais environ cinq à six minutes. Je me relâche avec un cri de soulagement, tellement généreusement que j'asperge même son visage par inattention.


-Aah ! Désolé, tête d'ortie. Ça va ?

-O-Oui ! T'en fais pas !


Kirishima se redresse, cueillant avec sa langue le sperme qui dégouline sur sa figure. Je suis obligé de fermer les yeux, parce que si je revois son muscle rose hors de ses lèvres nacrées, je sais que je pourrais bander de nouveau.



Eijiro et moi, nous avons toujours une serviette à proximité de nos lits au cas où l'envie nous prendrait de nous sauter dessus, ainsi nous pouvons nous nettoyer sans trop d'inconvénients. Après nous être rhabillés, ma tête d'ortie s'allonge sur mon torse alors que je caresse son dos et un peu ses fesses, appréciant ses infimes bruits de plaisir dans mon cou.


-C'était génial, Katsu ~

-Mouais, pas mal...~ Mais dès que tu as plus ces conneries de bandages sur le corps, on va plus loin ~ J'vais tellement te défoncer que tu vas plus te rappeler de ton nom ~

-T'es chiant ! , gémit-elle en serrant les jambes. Tu me redonnes envie avec tes paroles sales !~

-Contrôle-toi, alors, tête d'ortie.

-Facile à dire !


Kirishima tambourine sur mon torse, rouge comme ses tifs, en me disant que j'étais un abruti fini alors que je me contente de sourire. C'est marrant, on dirait que les rôles dans notre couple sont inversés.



Finalement, nous nous endormons quelques minutes plus tard, non sans tendres bisous et câlins amoureux, à des années-lumière de nos actions bestiales de plus tôt. Mais au fond, après le foudroiement intense de passion, le réconfort d'une affectueuse étreinte n'est-il pas la cerise sur le gâteau ?

Et j'ai toujours préféré la cerise, en particulier quand elle est rouge Eijiro...




(C'EST. UN. FUCKING. MIRACLE. J'ai réussi à sortir un chapitre en un mois au lieu de trois comme les deux dernières parties publiées ! FIESTA 🏆🥇🥇🎉🎉🎉🎉🎉 Oh, et même si ce n'est pas totalement un Lemon, il y a enfin eu un contact sexy et chaud entre nos deux tourtereaux ! Ne vous en faîtes pas, un vrai bon gros lemon des familles arrivera dans quelques temps, alors encore un peu de patience, d'accord ?

Restez Ultra-Cool, mes petits Evoli !)

Bạn đang đọc truyện trên: AzTruyen.Top