★ Chapitre 3 ★
Sergio Ramos
Cette pièce est juste impossible à trouver !
Il y a tellement de salle différentes qu'on arrive pas à trouver la putain de pièce qui où sont fabriquées les coupes !
Paredes : T'es obligé de faire le lion toutes les deux secondes ?
Je le toise du regard en grognant.
Je fais le lion quand je veux et où je veux.
Paredes : Si on allait leurs demander où c'est ce serait plus simple...
Ramos : Non.
Neymar : Toi et ta foutu fierté ! On arrive pas à trouver cette putain de salle alors on va leurs demander !
Je tourne la tête vers lui en m'approchant.
Ramos : Rappel moi qui est le chef ici ?
Neymar : C'est toi. Mais ça change rien au fait qu'on va leurs demander de nous aider.
J'vais le claquer dans le mur lui.
Il m'énerve autant que l'autre là... Comment il s'appelle déjà... Ha oui, Piqué !
Il m'énerve autant que Piqué !
Paredes : Ça coûte rien de leurs demander.
Ramos : Et lequel serait assez fou pour aider ses braqueurs ?
Neymar : Piqué ?
Ramos : Pitié pas lui !
Le brésilien rit suivit par l'Argentin.
Paredes : Ça coûte rien de lui demander et personne t'as demandé de lui parler, Neymar le fera.
Neymar : Pourquoi moi ?!
Je lève les yeux au ciel sans écouter leurs débats sur qui lui demandera.
J'vais y aller, ça ira plus vite, même si il m'insupporte à me tenir tête.
Neymar : Tu vas où ?
Ramos : Voir Piqué.
Je rejoins la pièce où ils sont tous réunis, surveillés par Pogba et Griezmann.
Ramos : Pourquoi vos armes sont là bas ?
Griezmann : Parce qu'on doit pas les effrayé bla bla bla.
Il regarde l'autre français qui le toise du regard.
Ramos : Il a pas totalement tord.
Pogba : Bah voilà ! Mais qu'est ce que tu viens faire là ?
Ramos : Je cherche Piqué. Il est où ?
Ils se tournent, le blond me fait un signe de tête dans ma direction de l'espagnol et je m'approche de lui.
En me voyant arriver devant lui il grimace et souffle.
Connard.
Ramos : Lève toi.
Gérard : Pas envie.
Reste calme Sergio.
Ne pas le frapper.
On utilise pas les armes sur les innocents.
C'est compliqué quand même, il m'aide pas Piqué là.
Ramos : On a besoin de toi alors lève toi.
Gérard : Et pourquoi ?
Je souffle et il se lève.
Alléluia !
Ramos : Enfin.
Gérard : J'peux toujours m'assoir.
Ramos : Si tu veux m'énerver fais le. Avance.
Je l'emmène avec moi sous le regard des autres.
Gérard : Pourquoi vous avez besoin de moi ?
Ramos : Où est là pièce où vous fabriquez ces coupes ?
Neymar : On a cherché partout mais on trouve pas.
On le regarde se frapper le front.
Il passe devant nous et ouvre une porte.
On se trouvait devant depuis 15 minutes...
Gérard : J'peux y aller maintenant ?
Ramos : Ramène le.
Paredes hoche la tête le tire avec lui plus loin.
J'vous ai dit pourquoi on faisait ça ? Nan ? Alors attendez.
• il y a six mois •
Enfermés dans cette voiture, en route vers la prison de Madrid. J'étais entouré part deux garde et deux gars, bien plus baraqué que moi, la différence de taille m'avait pas empêché de leurs en fouttre une.
Cette petite altercation n'est pas vraiment la raison pour laquelle je suis dans cette voiture.
C'est plutôt que à cause d'eux, j'ai pas pu m'échapper lors de mon dernier braquage à cause de ces deux p'tit con.
Le van se stoppe faisant froncé les sourcils des deux policiers.
Moi ?
J'ai aucune réaction, au pire des cas, on sera en prison dans 1 heure, dans le meilleur des cas, on va nous faire sortir.
La porte s'ouvre, je cligne plusieurs fois des yeux pour m'habituer à la lumière du soleil.
En voyant la personne qui vient d'ouvrir ces portes, je souris.
??? : Qu'est ce que tu ferais sans moi Gio' ?
Sergio : Je serais en prison depuis des années !
Il rigole et hoche la tête avant de me retirer ces foutue menottes.
Je sort de cette voiture et fait un signe de main au deux gars.
Sergio : Sûrement à jamais hein !
Cristiano leva les yeux au ciel et les deux gars qui avait leurs armes pointées vers les policiers baissent leurs armes.
Sergio : C'est qui ?
Cristiano : Corentin, Neymar, je vous présente Sergio, un ami d'enfance. Sergio, voici Neymar et Corentin, que j'ai rencontré il y a quelques temps.
Sergio : C'est eux ? Les autres ?
Il hoche la tête. Le père de Cristiano avait, il y a longtemps, avant qu'il ne meurt d'un cancer, organiser un braquage.
L'un des plus grand braquage que personne n'aurait jamais vue !
Mais malheureusement, il est mort avant que le braquage est lieu.
Mon ami à toujours dit que plus tard, il réunirait les meilleurs braqueur que possède cette terre pour pouvoir réaliser le braquage de son père.
Sergio : Et les autres ?
Il me fait un signe de tête vers une voiture plus loin et vers deux gars à l'avant du van qui devait m'emmener en prison.
Cristiano : Leandro, Antoine et Paul.
Il me les présentes un par un.
Cristiano : Tu seras le chef Gio'.
• retour au présent •
Bien évidemment, j'avais accepté d'être le chef de ce braquage.
On avait ensuite passé six mois à se préparer pour le jour J et aujourd'hui nous voilà.
Préparé pour toute sortie de situation.
On entre dans la pièce, nos regard rivés sur la machine devant nous.
Neymar : On commence demain matin ?
J'hoche la tête.
Ramos : Tolisso devrait ramener les listes pour savoir qui fait quoi.
Paredes : Tu fais quoi si t'es avec Gérard ?
Ramos : Je vais le calmer avant qu'il commence à vraiment m'énerver, j'ai dis qu'on tuerait personnes donc je dois pas le tuer.
Ils hochent la tête puis sortent de la pièce pour rejoindre Tolisso dans l'un des bureaux.
Tolisso : On est près à appeler le professeur.
On a mit quatre règles en place :
- Personne ne donne son prénom lors du braquage.
- On ne tue personnes.
- On respecte le plan et on gagne du temps.
- Ne pas s'attacher au "prisonniers".
Chose qui risque d'être assez compliqué...
Le professeur, qui n'est autre que Cristiano doit nous appeler trois fois par jours, si il n'appelle pas, on attend 16 heures, si il n'y a toujours rien, c'est qu'il y a un problème.
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> Voici le chapitre trois ❤️
- 1033 mots 😉
> Toujours pour -hazardiste 💕
> Des avis ? 💬
> Les questions commenceront quand il y aura plus d'action 🙏🏽
> J'ai changé la description et le cover de l'histoire 😘
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