Pourquoi nous rejoindre ?
Quoi de mieux pour vous convaincre de notre bon vivant que de laisser nos membres vous racontez eux-mêmes ce qui leur plaît chez nous ?
Promis, personne n'a été contraint de le faire sous la menace. Ces témoignages viennent du cœur. Leur mise en forme est parfois tournée dans l'humour ou le poétique et d'autre fois, dans un apparat plus simple, mais toujours sincère.
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« Tu t'ennuies un peu ? Tu aimes lire, écrire et plein d'autres choses ? Viens découvrir le serveur de la CdL : tu y trouveras, à ton rythme, des fous rires, des histoires, de la musique.
Tu participeras (ou pas) aux activités créatives communautaires (jeu, textes, défis, missions...)
Tu y découvriras aussi des milliers d'informations sur les créatures fantastiques, les séries, les alcools et milles choses.
Mais surtout tu rencontreras des personnes amusantes (voir folles), ouvertes et spontanées.
L'ensemble est très hétéroclite mais la bonne humeur est là à chaque instant.
Tu es convaincu ?
Bienvenue à toi dans la Super-Production "50 nuances de CdL"
Attention, je dois cependant te prévenir : un gros risque existe (auquel je n'ai trouvé aucune solution). Futur CdLien, il existe sur ce serveur une faille spacio-temporelle qui nous avale et dévore notre temps en plus de nous coller un sourire permanent. »
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« Que tu sois un gars, que tu sois une meuf,
Que tu sois peace, que tu sois rough,
Que tu sois jeune, que tu sois vieux,
Que tu sois athée, que tu sois pieux,
Que tu sois manchot, que tu sois gaucher,
Que tu sois blindé ou toujours fauché,
Que tu sois despee ou jamais pressé,
Que tu sois un flic, que tu t'sois fait serrer,
Que tu sois blanc, que tu sois noir,
Qu'tu sois dans les temps, ou toujours en r'tard !
Que tu sois keus, que tu sois rond,
Que tu sois chauve, que tu sois blond,
Que tu sois une caille ou un bobo,
Que tu sois homo ou encore puceau,
Que tu sois maniaque ou bordélique,
Que tu sois toujours sobre ou alcoolique !
Que tu sois un nain ou bien une perche,
Que tu sois deux d'tens' ou qu't'aies toujours la pêche,
Que tu sois timide ou un tchatcheur,
Que tu sois patron, qu'tu sois chômeur !
Que tu sois sportif ou qu'tu fumes le bedo,
Que t'aies fait d'longues études, que tu sois sans diplôme,
Que t'aimes être peinard ou qu't'aimes faire la fête,
J'te souhaite, comme on dit, la bienvenue dans la secte. »
Bienvenue dans la Secte La Secte Phonetik
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« Voilà cinq mois que je suis entrée dans le cercle de la Confrérie des Littéraires. C'était début février, et je n'osais pas trop parler. Enfin, il ne m'a pas fallu bien longtemps pour m'acclimater et me faire happer par la joie de vivre qui y règne. L'impression que ma vie s'y écoule ne me quitte pas. Bon sang, qu'on s'y sent bien.
Entre la concombrette qui pète des OMG à tout bout de champ, la faucheuse qui passe son temps à braver les règles avant de finir au cachot, la Québécoise qui veut enfermer tout le monde dans sa cave, l'autre qui possède un élevage de bébêtes trop mignonnes, mon comparse de blagues salaces, les pro moustiques – on ne tue pas les êtres vivants –, les matinaux, les insomniaques, les artistes, les sages, les petits malins... On découvre toutes sortes de personnalités extraordinaires.
Avec les longues conversations autour d'écriture et d'entraide, ou encore sur tout et rien, sur la signification des emoticons, le langage de djeuns, les langues diverses, les jeux vidéos, les batailles de poésie, les taquineries, les réparties, le réconfort qu'on y puise, les fous rires qu'on n'arrête plus, les textes écrits à plusieurs, les activités de rédaction, les parties de Loup-Garou... J'ai trouvé, dans ce beau manoir, des âmes magnifiques. Est-ce que j'y passe tout mon temps ? Pas loin...
Est-ce que mon homme jalouse ce « groupe de parole » ? Un peu. J'emporte mes amis virtuels partout avec moi. Ils sont presque les premières personnes à qui je dis « Bonjour », je reste des heures à bavasser avec eux, nous nous lançons des défis plus ou moins futés. Bref, ils sont devenus ma seconde famille. »
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Elle a écrit (et est toujours en cours d'écriture) un journal regroupant tous nos délires, si jamais vous êtes curieux et souhaitez voir l'ambiance de notre Confrérie ! Vous le trouvez sur son profil sous le nom de "50 nuances de la CdL"
« 5 0 N U A N C E S D E L A C O N F R É R I E D E S L I T T É T A I R E S .
PREMIÈRE PARTIE : INTRODUCTION.
La Confrérie des Littéraires, l'impression de fusionner à ce nom qu'on lui a donné. Ils respirent l'or les CdLiens, tu ne peux pas le nier.
L'horizon est coloré, le monde en noir et blanc seulement animé par quelques flashs détonants et guettés. La vie défile à leurs côtés.
Se distille l'élixir d'euphorie, qui prend aux tripes à chaque délire prononcé du bout des lippes d'un clavier. Les mois bonbons, six de ces derniers que c'est déjà divinement bon et que c'est jamais la même chanson.
La CdL, d'un mélange de tout temps, l'identité n'a rien d'important.
Tu ne diras rien de tous ces liens. Ils demeurent secrets, les membres de cette famille qui sont pipelettes à souhait.
Il parait que ça claque à rendre un cœur en vrac quand s'entendent sur les pavés du manoir divertissant, tes majuscules vers ces gens attendrissants.
Ils diraient que s'entendait les ronronnements des légumes couplés au chant des fruits posés à l'ombre.
On voyait danser les ombres, dans un manoir où d'autres sont cachés dans la pénombre.
La CdL se fait reine en récupérant leurs fèves. Son bistrot se joue du temps, qui passe rapidement, et de leurs rêves jusqu'à ce que, d'omg, ils crèvent.
Le feu au creux des reins pour certains. Regards revolver, sous la lumière des réverbères, ils s'en vont au donjon s'éloigner des saints.
On chante le divin; des tarés du célestin sous le jukebox ou les rires cristallins.
La CdL est comédienne de la vie, tragédienne à l'expression ravie. Il y a la présence qui jamais ne se tarit, de quoi montrer ô combien ils rient.
On marche dans l'intervalle du temps; dans le rayon des aventuriers aux pouvoirs éclatants.
La légende disait qu'elle se faisait trop souvent lunaire, de blagues qui faisaient manquer l'air.
C'était arraché, l'impression qu'il leur manquait quelque chose, avant elle, hier.
Elle riait du temps de la vie, les moires pour se moquer des plus passionnants débats de leurs survies. C'était le rire enchanteur pour presque guérir. Tous les chérir. »
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« Ceci est un message publicitaire de la CdL. Prière de diffuser au plus grand nombre.
Hey, toi, là ! Tu m'as l'air d'aimer les sensations fortes ? Viens donc par ici, faut que je te cause d'un endroit au poil... La Confrérie des Littéraires, ça s'appelle. Ça envoie, pas vrai ? Qu'est-ce c'est ? Héhé, attends-toi à frissonner, mon p'tit pote...
La CdL, c'est un manoir au faux air de labyrinthe, perdu entre entraide et bienveillance, à l'extrême limite du bon sens, pile dans la zone de rigolade ultime. Dans ce méli-mélo fascinant, tu croiseras des licornes pipelettes, des dragons vénérables (pipelettes aussi), des adeptes fraîchement recrutés (apprenties pipelettes), un vampire séditieux (ex pipelette en chef), quelques loups-garous occasionnels (pipelettes embabouineuses). Attention, il n'est pas exclu que certains d'entre eux affirment être des légumes.
Chez nous, pas de repos pour les braves, assaillis de challenges d'écriture, de dessins à zyeuter ou de compositions à applaudir. Certains braillent leur fougue à coup de majuscules, d'autres (les mêmes, en fait...) se complimentent sur leur voix respective. C'est important de s'exprimer, même si t'as le droit de juste stalker.
Néanmoins, prends garde, mon ami, car la Confrérie est un lieu dangereux, où les membres arborent leur plus belle plume pour triompher de mille périls, à dos de poney, le nez dans un verre ou emmitouflés dans une couette. Parfois, l'ennemi est une connexion pourrie, d'autres fois, un quiproquo d'émojis, d'autres fois encore, un cafard trop envahissant.
Mais quelle que soit l'embrouille, les valeureux guerriers de la CdL seront tous là pour te prêter main forte (ou à défaut, une savate). Parce qu'on a l'esprit d'équipe, nous, et qu'on s'encourage continuellement. Alors, si tes compagnons de chambrée sont tes opposés sur le papier, n'aie crainte, au bout du fil, ils seront tes meilleurs amis.
Attention : risque d'addiction sévère. Prendre ses dispositions avant de plonger. »
***
« — Bonjour Ambre.
— Bonjour.
Mon ton était calme, mais je trépignais. Hier avec la CdL nous avions révolutionné le monde. Encore.
— Des nouvelles de la confrérie ?
Je secouai la tête.
— Absolument pas.
Mensonge. Depuis 4 ans il n'y avait pas un jour sans une discussion majusculeuse, sans un débat sur les moustiques et les pigeons, sans un combat avec un cafard, sans une nouvelle rébellion. On croyait que j'en avais fini avec cette "secte", mais il n'en était rien. Discord permettait de se retrouver partout et notre union faisait notre force.
— Comment étaient-ils ?
Toujours la même question lassante qui amenait toujours la même réponse. Les adeptes de la confrérie étaient devenus une seconde famille. A la fois gentils, drôles, ingénieux et avant tout, talentueux, ils étaient des êtres extraordinaires avec qui j'adorais passer mes nuits et journées. Mais la vérité ne sortirait pas.
— Des êtres quelconques.
Mon psychologue nota ma réponse dans son carnet.
— Que faisiez-vous dans la confrérie ? Quel était votre rôle ?
Je n'avais pas de rôle titre, auteur, lecteur, j'étais les deux à la fois. Mais c'était dérisoire. Nous pouvions participer à toutes les activités de ce grand manoir aux multiples salons, sans distinction. Auteur, aventurier et trafiquant de mots, nous pouvions être ce que nous voulions.
— Je n'étais qu'un pion.
— Et les sentinelles dont vous m'avez déjà parlé ?
— Des êtres abominables.
Que nenni. Ils ne s'en étaient jamais pris à personne, favorisant le débat pour une meilleure entente entre nous et ne sévissaient qu'à contrecœur, bannissant les malicieux au cachot.
— Pensez-vous être maintenant sevrée de cette expérience ?
Sevrée ? Moi ? La Confrérie était la meilleure chose qui me soit arrivée depuis longtemps. Les échanges, le partage et la discussion étaient les maîtres-mots d'une communauté en plein essor, poussant le meilleur de nous.
— Oui complètement.
Il ne savait pas qu'en sortant, j'irai placarder de nouvelles affiches.
« La CDL recrute. Rejoignez-nous. » »
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« Je dois avouer que je n'ai rien préparé pour cette activité. Je n'aime pas préparer un texte qui parle des gens que j'apprécie. Je ne suis pas du genre à forcer mes émotions et mes sentiments à sortir des coffres dans lesquelles je les range soigneusement. Alors, si j'écris ces mots, c'est que je suis actuellement en train de fouiller dans l'un de ces compartiments secrets. Lorsque je suis arrivé sur Wattpad il y a plus d'un an maintenant, j'étais un auteur complètement seul. Je ne souffrais pas de cette solitude, peut-être même qu'elle était voulue. Et voilà qu'après avoir passé une année à me murer dans une pièce fermée à double tour, je me retrouve ici, dans ce manoir où tout un monde s'est offert à moi. J'insiste sur le mot "offert", car c'est le mot qui définit chaque personne de ce serveur. Ici, les gens vous offrent un bout de leur vie, de leurs craintes, de leur amour et de leur âme. En venant ici, je sais que si je vais me cacher dans le jardin du manoir pour me retrouver seul, quelqu'un viendra pour prendre mes mains et m'aider à surmonter les angoisses qui me submergent. Si je rentre d'une journée difficile et que j'atterris dans le bistrot, je suis sûr d'y trouver des sourires et des personnes qui s'intéresseront à ce que j'ai fait de mon temps. Lorsque je doute de moi et que je me réfugie dans les diverses aides, même sans oser demander, il y aura des âmes bienveillantes qui viendront m'épauler et m'aider à m'améliorer. Et parfois, dans mes jours d'euphorie, je peux aussi rejoindre le salon du donjon-sombre et y trouver des personnalités aussi folles que moi. Comme une vieille bande d'amis se réunissant des années plus tard. Peu importe où je suis dans ce manoir, je ne suis jamais seul. Je ne suis jamais en difficulté et encore moins en danger. Dans ce manoir, je ris aux éclats, je tombe amoureux, je pleure parfois, mais surtout, je ne suis plus jamais seul. Alors, c'est quoi la CdL pour moi ? Elle est la famille qui a adopté l'orphelin que j'étais. »
***
« On pourrait croire que la Confrérie est un lieu ennuyant.
Un Manoir virtuel, où les gens font des publicités sauvages, où ils parlent surtout d'eux narcissiquement, et où ils échangent leur culture sur les bouquins, le menton relevé, les lunettes sur le nez.
Mais ce n'est rien de tout ça, bien que certains portent des lunettes, et relèvent le menton en parlant et je les aime tout autant.
Mais en réalité, la littérature n'est qu'un prétexte. Nous passons plus de temps à discuter, comme de vieux aventuriers aux histoires de la vie.
On converse recette de cuisine et anecdotes cocasses.
On partage nos réussites quotidiennes, et nos doutes.
Et puis, surtout, on s'amuse.
Que ce soit en s'exerçant aux diverses activités, ou en faisant des jeux. On rigole à longueur de temps, à s'en rompre la mâchoire. Parfois aussi, on montre ce qu'on sait faire et ce qu'on aime faire. On parle un peu de nous, parce que toutes les petites âmes qui rôdent dans le manoir sont intéressantes.
Si la Confrérie des Littéraires était une secte, elle vénérerait ses membres, ferait le sacrifice de ses heures ennuyeuses pour bavarder, aider et motiver ses compagnons, qui ne sont autre que ses amis.
La confrérie est un monde à part entière. Je l'avais créé pour échapper à la réalité. C'est devenu le jardin secret de la plupart, si ce n'est au moins un lieu paisible où certains aiment venir se ressourcer sans être jugés.
Nous sommes une guilde unie, prête à défendre sa famille, et à accueillir de nouveaux membres parmi elle chaque jours durant. Nous nous soutenons, et nous nous encourageons sur tous nos projets, et pas uniquement littéraires.
C'est ça la CdL, et je remercie tous ceux qui font ce qu'elle est.
Car vous êtes les diamants qui la font briller par votre éclat. Vous êtes ceux qui ont fait de ce manoir une réalité, où il fait bon s'y réfugier. Alors, juste merci, car j'aime toutes les petites âmes qui ont intégré ses quatre murs, sans faux semblants. »
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