Chapitre 9 : Quand il s'agit de rentrer.
J'étais donc près du lac et je papillonnais. L'air était frais mais le soleil réchauffait mon petit cœur fragile à qui la maladie s'attaquait souvent l'hiver. Heureusement pour moi, nous n'étions qu'en septembre et il na faisait pas si froid que ça. Je cueillais des citrons cacher dans un bosquet chaque jours et je m'en faisais des festins peu commode pour une jeune fille de mon âge ; comme les manger tout seul où en faire une soupe avec des feuilles. Bon, on ne peut pas dire que se n'est pas commode, mais c'est quand même étrange. En même temps, n'ayant jamais quitter mon domaine depuis un temps certain, c'est à dire, depuis ma naissance, je n'avais jamais goûter de citrons autre que dans les tartes ou du calamar aux citrons confits.
William, à qui j'avais dit que je n'étais pas loin, venais me voir tous les jours depuis déjà une semaine. Mes journée étaient donc rythmé entre le dessin, l'écoute ou la confection de nouveaux plats. Cela me plaisait bien mais quelques fois, je m'ennuyais affreusement et je me demandai si je n'allais pas rentrer chez moi.
Quelques mois plus tard :
J'étais au bord du lac quand William arriva en courant et quand il me vit, il cria;
-Tu dois rentrer chez toi !
-Pourquoi donc ?
-Ta grand-mère est morte dans la nuit, ils ont dit que si quelqu'un voyait la comtesse de Ségur, il devait lui dire de rentrer au domaine pour son enterrement.
-Mais...je suis bien ici, pourquoi devrais je rentrer ?
-Parce ce que si tu es digne de ta famille, tu dois le faire.
Je ne suis part que le lendemain dans l'après-midi, accompagner de William et de son frère. Ils m'avaient payé la calèche et nous sommes vite arrivé. Le temps était calme et le soleil allait bientôt se coucher. Ma mère m'attendait sous le porche et elle est venue à ma rencontre.
-Alice de Ségur ! Tu es puni !
-Je comprend pourquoi tu es parti. me fit le frère de William.
-Moi aussi. fit son jeune frère; William.
-L'enterrement a lieu demain soir. Va dans ta chambre et restes y ! a crié ma mère.
-Oui mère, vos désirs son des ordres ! ai-je fais sur le point de rigoler.
Je suis alors monter et j'ai attendu, le soir, personne n'est venu m'apporter de repas et j'ai donc été affamer toute la nuit.
Le lendemain, je me suis habiller dans une robe noire, seyante.
Mon amie de toujours était aussi venu dans une autre robe noire. Nous les avions acheter ensemble. Nous avons bien ri mais l'enterrement est bientôt arrivé et nous avons arrêter de rire.
Elle paraissait gêné, alors je lui ai demander de s'assoir et elle s'est assise.
L'enterrement allait commencer.
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