Chapitre 8 : Être obligé de quitter les lieux.
Le lendemain, j'ai changer de tenue. Je me suis fait es chignons avec des nœuds. J'avais accroché des petites branches dans les nœuds et j'avais laisser des mèches voleter dans le vent. J'avais mis une tenue un peu guerrière ; bas de pantalon en velours bleu avec un tee-shirt bleu plus clair que clair et un poncho bleu foncé avec des pompons. Les paillons virevoltaient dans le ciel, évitant de se faire emporter par le vent. William m'avait rejoins et nous étions au bord du lac. La surface de l'eau était brouillé par la brise et les grenouilles croassaient sur des nénufars, au loin.
Nous étions assis l'un à côté de l'autre et William me racontait sa vie. Elle n'était pas passionnante mais convenait très bien au moment car je m'ennuyait affreusement. La vie dans mon domaine larmoyant me manquait mais pour rien au monde je ne serai rentrer.
Soudain, William est parti dans l'eau tout habiller et a commencer à m'arroser. J'hurlais et sa mère est arriver. Elle était rouge mais dès qu'elle m'a vue, elle s'est calmer. Comme j'étais trempé, elle a été d'une gentillesse que je n'avais pas vu depuis que j'étais parti et que j'avais quitter Mirelle, ma servante qui me coiffait et m'habillait chaque matin, sauf quand j'étais pressé ou que je voulais mettre un pantalon.
Je suis rentrer dans la chaumière et je me suis changer en même temps que je parlait ave Suzie, la mère de William.
-D'où viens-tu ?
Comme je ne voulais pas mentir, je lui ai répondu franchement.
-Je suis la comtesse de Ségur et je viens du domaine.
-tu es la fille perdu ?
-Qui s'est enfuie. ai-je précisé.
Je me suis assise sur le lit avec ma nouvelle robe.
-Tu ne veux pas rentrer chez toi ?
-Non, je me suis disputer avec ma famille.
-Il va falloir que tu partes, en tout cas, car...je ne peux pas te garder ici pour ta sécurité à cause de mon mari et aussi pour moi car je peux me faire arrêter par les cavaliers qui passent chaque jours.
-je le sais, je les ai déjà vu...
-C'est normal.
-...mais je ne savais pas qu'ils passaient chez les gens.
-OUVREZ !!!! a hurler une voix dehors.
-Ils sont là plus tôt que d'habitude, je vais te faire sortir par l'arrière, va te cacher dans la forêt et après, tu devras partir.
Alors, je me suis enfuie par la fenêtre de la buanderie où reposaient des vêtement de bucheron et de fermier. Je me suis engager dans la foret et me suis assise contre un arbre. Les feuilles ont commencé à tomber.
J'ai donc attendu, une heure, peu être deux, je n'ai pas compter. Mais la dame ai revenu et je suis parti. J'ai marcher longtemps et je suis arriver une autre parti du lac où j'ai dormi pour la nuit.
Bạn đang đọc truyện trên: AzTruyen.Top