Chapitre 4 :Le chemin de terre.
Il a fini par partir après que je l'eu calqué. Quelques secondes plus tard, des hommes et des femmes sont sorti de tous les côtés. Les dames avaient des tenues courtes ou longues suivant leur âge et leur situation financière. Les hommes portaient des pull de laine de chèvre ou des costard-cravates.
Il a commencer à pleuvoir et j'ai sorti de mon petit sac un manteau. Je l'ai enfiler tranquillement et je me suis laisser porter par la foule qui s'échappait des locaux. Un homme m'attrapai par le bras, me regarda longuement avant de me lâcher et de crié ;
-La comtesse de Ségur est parmi nous !
J'ai couru pour échapper aux mains qui essayaient de m'attraper.
-Elle s'échappe dans la ruelle de la Paix ! a hurler quelqu'un.
Je courrais sans me retourner, craignant que mes assaillants ne me rattrapent. J'entendais des pas derrière moi, une horde de femmes, d'enfants pauvre et d'hommes bourru me coursaient en se poussant dans la petite ruelle. Ils courraient vite et allaient finir par me rattraper . J'ai tourner dans un embranchement mais j'ai continuer à courir. La pluie me trempait jusqu'aux os et le vent me déstabilisait mais je ne cédais pas, il fallait à tout pris que je leurs échappent, je ne savais pas se qu'ils voudraient me faire.
J'ai déboucher sur un chemin où m'attendait une calèche avec à l'intérieur, Aristote.
-Montes ! m'a-t-il crié par dessus le vent qui hurlait.
Je suis rentrer dans la calèche et j'ai enlever mon manteau. Nous sommes rester silencieux un moment et nous sommes parti. On entendait au loin les cris des habitants auxquels mes parents avaient voulu me protéger en m'enfermant dans un domaine toujours luxuriant. En y repensant, c'était sympa de leur part mais ils auraient quand même pu me prévenir de la vie qui m'attendait. En fait, je ne leurs avaient jamais rien demander sur ce genre de choses donc c'était aussi de ma faute. Ma vie n'avait pas toujours été facile mais j'avais été protéger d'une chose à laquelle je ne m'attendait pas ; la vrai vie ! De ce faite, la vie s'avéra un peu plus compliqué que dans mon petit royaume. Mes parents devaient s'inquiéter , ou peut-être qu'ils dormaient toujours, il n'était que minuit et demi. Aristote ne parlait pas, il regardait dehors, comme gêné.
-Aristote ?
Je n'eu pas de réponse. J'ai donc décider de continuer car il était peut-être encore plus gêner qu'avait que je ne lui parle.
-Merci de m'avoir sauvé... j'en avais un peu marre de courir.
Il s'est retourner et m'a baffé. Je l'ai regarder, éberlué avant de fondre en larmes et de sortir de la calèche qui roulait sur un grand chemin de terre, en plein milieu de la campagne.
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