Bonjour !

C'est avec une grande satisfaction que j'attaque la publication du deuxième livre « annexe » du projet Nolim. Comme le précédent (Le dernier jour de Mecia), aucun prérequis n'est nécessaire, c'est totalement indépendant. Comme le précédent, je jongle avec le reste de l'univers afin d'éviter les faux raccords, et comme le précédent, en raison de mon manque cruel de fiches et de notes, c'est pas toujours facile.

Heureusement, Gudule m'aide.

Non.

Gudule prépare sa prochaine apparition dans une fiction indépendante.

Pour ma part, je consacre en ce moment (depuis une semaine) mon temps d'écriture à un autre projet. La Colère du Roi n'est pas prioritaire : il se peut bien que je le publie à un rythme plus faible que d'habitude (donc, en plus d'une semaine).

Pour plus d'informations sur Nolim, reportez-vous peut-être à la Nolimpedia, quoi que son état d'avancement laisse à désirer, et / ou aux rantbooks qui traînent un peu partout. Ou, tout simplement, aux livres eux-mêmes.

L'action se situe ici environ cinq cent ans avant les événements relatés dans Nolim. Évidemment, un personnage a, au cours des pages de Nela, parlé de mille ou deux mille ans : il s'est bien évidemment planté. Ne riez pas. Cette histoire précède immédiatement le tome I de Nolim. En d'autres termes, elle se clôt là où Nolim commence. C'est donc sans doute une excellente mise en jambe avant d'attaquer la trilogie de tous les superlatifs.

La Colère du Roi comporte à ce jour 35 chapitres, ce nombre pourra varier d'ici la fin.

Si vous ne connaissez vraiment rien à l'univers de Nolim, restez ! Votre avis m'intéresse. Il est important que ce livre soit lisible « indépendamment » pour justifier un peu plus son existence que simple bouche-trou dans un univers qui en contient un certain nombre.

À la revoyure au détour de ces pages,

CN

PS : Oui, j'ai repris à 50 % le mot d'introduction du Dernier Jour de Mecia, parce que je produis des spin-offs à la chaîne.

PPS : Contrairement à Mecia, il faut vraiment que je fasse une carte de la terre de Ki. C'est en cours.