Chapitre XIV


Hello hello Loves ❤️❤️❤️❤️ ça va?
Moi ça va. J'aimerais pouvoir écrire plus en ce moment, mais c'est compliqué.
Je vous laisse avec un nouveau chapitre.
Bonne lecture !

Une semaine était passée. Michael Douglas n’avait toujours pas quitté la maison victorienne. Il travaillait à distance. Ses conversations téléphoniques étaient en Polonais ou en Russe, sauf avec Alandra.

Amalia passait ses journées dans sa chambre à lire des romans et des livres de littérature. Elle ne parlait que très peu à Evan compte tenu de la surveillance.

Assise sur un des canapés en cuir blanc, vêtue d’un short en jean et d’un débardeur aux tons verts pastels, Amalia n’avait rien avalé depuis le matin.
Une jambe à terre et l’autre repliée sur elle-même. Son bras tendu sur cette dernière tenait à son bout la télécommande du téléviseur. Sa main libre replaça une mèche rebelle de son chignon négligé.

Le moelleux du fauteuil et la douceur des fibres du tapis entre ses orteils, ne parvenaient pas à la détendre comme à leurs habitudes.

Elle regardait l’écran sans vraiment voir ce qu’il s’y passait. Les sons émis par le poste n'étaient à ses oreilles que des murmures sans intérêt.
Elle s’était perdue dans ses pensées.

Un grésillement de talkie-walkie, lui fit détourner le regard vers la grande fenêtre ouverte. Elle tendit l’oreille pour entendre les instructions, mais ne perçut pas de son limpide.

Son regard se porta alors, vers la vue que lui offrait cette ouverture. Les rayons de soleil narguaient l’eau de la piscine de leurs reflets brillants. Cette dernière les faisait danser dans de faibles mouvements inaudibles.

Amalia se dit qu'elle pourrait aller faire quelques longueurs pour se rafraîchir, mais surtout pour passer le temps. Il lui semblait bien long depuis l’arrivée de son père.
Elle avait pu finir tous ses travaux de recherche de stylistique et de théorie littéraire. Elle avait même pris de l’avance sur ses projets d’histoire de l’art en ligne.

Elle n’avait pas fini de penser à une éventuelle baignade, que des bruits de pas se firent entendre.
Elle savait de qui ils étaient et le simple fait de les entendre la fit déglutir difficilement.

Elle se redressa subitement, laissant tomber la télécommande. Elle se réajusta sur son siège. D’un geste rapide, elle ramena ses mèches derrière ses oreilles et s’éclaircit timidement la gorge.

Son regard sur la moquette cherchait ses tongues. Elle ne voulait qu’une seule chose, quitter cette présence oppressante. Sans le regarder, elle voulut se lever, mais il l’interompit.

—Attends ! dit-il de sa voix calme et douce. Nous n’avons pas eu le temps d’échanger ces derniers jours.

Elle resta figée sur le fauteuil, presque tétanisée. Ses mains moites ne savaient où se mettre.
Des gouttes de sueur parcouraient son visage et les battements de son cœur s’accéléraient à mesure que l’homme avançait vers elle.
Ses mains qu’elle avait fini par joindre sur ses cuisses, tremblaient à vue d’œil.

—Comment vas-tu ?

—Je…Ça…je vais bien.

—Tes cours ça avance ?

—Oui…papa.

—La Sorbonne est une prestigieuse université. Que les cours se fassent en ligne ou en présentiel, un diplôme de cet établissement t’ouvrira des portes.

« A quoi elles me serviraient ces portes si je suis prisonnière.» se dit-elle en elle-même.

—Tu as mangé ? s’enquit-il.

—N…non.

—J’ai fait préparer des Chilaquiles. Tu devrais les goûter, ils sont excellents.

Elle se contenta d’hocher la tête.
Il leva sa main pour la passer ses cheveux blonds dorés à l'arrière de son crâne.
Ce simple geste la fit frémir. Un léger son d’effroi l’échappa. Ce qui interpella son père.

Ça lui faisait mal que sa fille le voit comme un monstre, mais c’était sa façon à lui de la protéger. Il devait s’assurer qu’elle ne tenterait plus rien, au risque de tomber entre les mains d’un ou de plusieurs de ses nombreux ennemis.

Le mal être qu’elle ressentait face à lui était palpable et ça lui brisait le cœur.
Il aurait aimé lui tenir la main, l’accompagner à l’école comme les autres pères. Lui lire des histoires, la border,… mais il préférait la violence à la tendresse, si ça lui permettait de la garder en vie.

Il avait fait de nombreux mauvais choix et avait fait du mal à beaucoup de monde. C’était son châtiment. Il payait du bonheur, de la paix, de la liberté et de la stabilité de ses proches.
Il se livrerait volontiers pour en finir avec tout ça, mais il savait que ça ne les arrêterait pas. Ils poursuivraient même jusqu’à son animal de compagnie.

Il regrettait certaines de ses décisions, mais il n’avait d’autres choix que d’y faire face.

—Je…ça fait deux mois que je n’arrive pas… à joindre maman…, dit-elle toute tremblante, peinant à formuler une phrase correcte.

—J’ai changé sa ligne téléphonique. C’est mieux ainsi pour l’instant. Elle pourra te rendre visite dans quelques mois dès que ça sera possible.

—Bonjour mon oncle. Petite sœur, sonna la voix de Juan qui descendait les marches qui séparaient la salle à manger du salon.

Il portait une culotte en jean délavé bleu ciel avec une chemise de plage blanche. Ses tongues blanches claquaient sur le carrelage.

—Bonjour Juan. Tu vas bien ?

—Oui mon oncle. Et vous-même ?

—Je vais bien, merci de demander. Je vais faire quelques longueurs. Je veux profiter de cette magnifique journée.

—C’est vrai qu’elle est belle. Je vous emprunte ma sœur un instant, j’ai quelque chose à lui montrer, dit-il en prenant la main de cette dernière.

La proximité avec son paternel commençait à lui infliger une détresse respiratoire. Elle peinait à inspirer et à expirer correctement. La peur déréglait le processus.

Michael acquiesça et alla se servir un verre de whisky, pendant que Juan et Amalia remontaient les marches pour prendre la porte qui menait au couloir.

Une fois dans l’espace long et étroit, la jeune femme s’appuya contre le mur, puis posa ses mains sur ses cuisses. Elle essayait de reprendre son souffle. Juan lui caressait doucement le dos en l’encourageant.

La maison regorgeait de pièces rares et d’œuvres d’art. Des tableaux de peintres célèbres aux sculptures, Michael était un amoureux d'arts.

Entièrement peint dans les tons clairs, sauf la chambre d’Amalia , le logis était lumineux et épuré.

Dans le couloir immaculé, Juan s’était  accroupi pour aider sa sœur à se calmer.

—Eh ! Ça va aller. Tu devrais te calmer maintenant, parce que ce que je vais te montrer va littéralement te couper le souffle.

—C’est quoi ?

—Efface-moi cette mine triste d’abord.

—Tu as réussi à me trouver ma glace préférée ?

—Et tu dis que je suis le seul à penser à la bouffe, dit-il avec un petit rire. Je suis sûr que ta glace ne fait pas le poids face à ma surprise. Allez viens !

Ils pénétrèrent la chambre de Juan et ce dernier referma à clé derrière lui.

—Alors ? demanda Amalia.

—C’est bon, tu peux sortir, dit-il dans le vide.

Evan sortit de la salle de bain attenante. Il s’avançait vers Amalia en la regardant comme si c’était la première fois qu’il la voyait.

—Estimada ! dit-il en la prenant dans ses bras.

Amalia sous l’effet de surprise, ne réagit pas aussitôt.

—Brandon ? Qu’est-ce que tu fais là ? Mon père ! Il y a plus de gardes que d’habitude ..., déclara-t-elle inquiète.

—Tout va bien, tout ira bien, dit-il en lui caressant les cheveux. Tu ne sais pas combien tu m’as manqué.

Ne s'étant pas encore remise des émotions que lui avait provoqué l’entretien  avec son père, elle eut du mal à gérer en plus celles qui venaient de pointer le bout de leurs nez.
Elle éclata en sanglots.

—Je serai à côté si vous avez besoin, annonça Juan en quittant la pièce.

—Ne pleure pas, dit-il en effaçant ses larmes de ses pouces. Calme-toi ça va aller tu verra.

—Je n’en peux plus de vivre comme ça, je suis fatiguée, dit-elle doucement à son oreille.

—On va en venir à bout de cette situation. Je te le promets. Calme-toi ! dit-il tendrement.

Elle se blottit contre lui le plus qu’elle pouvait, respirant son parfum aux senteurs boisées, mêlé à celles de verveine citronnée qui se dégageait de sa chevelure.
Leur étreinte fut de longue durée. Evan caressait avec tendresse son dos pour la calmer.
Elle se libéra doucement de ses bras et passa ses paumes sur ses yeux pour les sécher.

—Comment as-tu fait pour entrer ? Tu as pris de gros risques.

—Je suis arrivé depuis plus de trois heures, guettant la moindre opportunité pour entrer. Mais ne t’inquiètes pas pour ça. Je vais bien.
Tu as minci, dit-il en la regardant de haut en bas. Je sais que c’est dur, mais fais l’effort de te nourrir s’il te plaît. Il ne restera pas là pour toujours et même si c’était le cas, je trouverai un moyen pour te voir.

Elle essuya ses yeux, qui étaient légèrement rougis et gonflés.

—Tu m’as trop manqué, déclara-t-elle enfin en lui offrant un sourire triste.

Ils se menèrent vers le lit où ils s’assirent et se prirent les mains.

—Je ne pouvais vraiment pas imaginer te voir ici aujourd’hui.

—Et moi je n’en pouvait plus de ne pas te voir et te parler correctement. As-tu reçu les glaces et les mots que je t’ai envoyés ?

—Oui, tu ne sais pas tout le bien que ça m’a fait. Merci.

—Je t’en prie la meva Reina.

—Ça ça signifie, ma reine c’est ça ?

—Exact !

—Tu vois, j'apprends vite.

—Ce n’est pas pour me vanter, mais le Catalan est une langue particulièrement complexe. Tout le monde n’est pas habilité à la parler.

—Regardez-moi ce craneur, dit-elle les traits étirés en un sourire.

—Enfin un sourire, il m’a tellement manqué. Tes gros yeux aussi.

—Eh ! Ce n'est pas de ma faute si les tiens sont minuscules.

Cette visite était comme une gorgée d’eau fraîche dans le désert. Leurs cœurs exprimaient leur joie en battant rapidement. Le contact de leurs peaux ressemblaient à des étincelles dans une forêt froide et sombre. Et leurs étreintes à du baume venant apaiser leur douleur de sa douceur.
Ils étaient comme dans un rêve, duquel ils ne voulaient pas se réveiller.
Mais c’était  bien réel, le contact de leurs mains le prouvait et leurs cœurs battant dans une grande proximité l’attestaient.
Leur bonne humeur et leur joie se figèrent lorsqu’ils entendirent la porte de la chambre s’ouvrir.
La pression redescendit d’un cran quand ils virent Juan en traverser l’embrasure.

—Eh ! Ce n’est que moi. Je passais juste récupérer mon téléphone. Et faites moins de bruit aussi. Et surtout ne faîtes pas des bébés dans mon lit.

Ces mots les firent sourire.

—Je suis sérieux ! reprit-il d’un faux air sérieux. Brandon, avant que tu ne partes il faut qu’on parle.

—D’accord.

—Je suis dans le bureau juste à côté.

—Ne t’endors pas, lança Amalia. Ça pourrait nous coûter cher.

—Tu parles comme si je passais mon existence à dormir. Je ne vais pas commenter plus longtemps sinon on en reparlera jusqu’à demain. Allez ! Je vous laisse ! dit-il en refermant la porte.

Allongés face à face, après de nombreux et doux baisers, le sourire aux lèvres, ils continuèrent leur conversation.

—Je ne savais pas que tu étais aussi folle avant de te lire.

—Tu as fouillé dans mes affaires ?

—Je suis de nature curieuse, c’est plus fort que moi. Je suis désolé, mais tu devras t’y faire.

L’expression surprise et indignée d’Amalia lui donna envie de rire, mais il se retint.

—Attends ! Il faut que les choses soient claires. Je déteste que l’on fouille dans mes affaires.

—Mais moi j’adore !

—Tu vas devoir faire un effort estimat. Sinon ça ne marchera pas. Je pense que quand on est en couple…

—Attends ! Comment tu m’as appelé ?

—Estimat ?

—Redis-le encore, ça me fait quelque chose, dit-il la main sur le cœur.

—Estimat !...

—Si estimada, dit-il avec un regard de tombeur.

—Tu n'es vraiment qu’un gamin, dit-elle en souriant.

—Un gamin qui serait prêt à gravir des montagnes pour toi, dit-il plus sérieusement en lui caressant les cheveux.

Les yeux dans les yeux, Amalia avait ressenti quelque chose d’inhabituel. Elle s’était sentie enveloppée de douceur, avec des papillons dans le ventre. Son regard perdu dans le sien, explorait l’étendue et la profondeur de cette promesse qu’il venait de lui faire. Il semblait très sérieux.

Le flot des émotions qui la traversa la déconcerta. Il sonnait en désaccord avec son estime d’elle-même. Elle ne se sentait pas importante, du moins pas au point que l’on fasse une folie pour elle. Pourtant, il venait d’en faire une, il était là, contre vents et marées, bravant le système de sécurité de son père.

Elle baissa les yeux et il lui releva la tête en pressant légèrement son montant vers le haut. Son regard retrouva le sien.

—Eh ! Ça va ? s’enquit-il.

—Hum hum. Oui, tout va bien. Tu ne vas pas réussir à changer de sujet, dit-elle pour masquer son désarroi. Imagine un peu que je fouille tes affaires. Ton sac par exemple, dit-elle en voulant se redresser.

—Non. Ok, je vois ce que tu veux dire.

—Laisse-moi faire, insistât-elle.

—C’est bon j’ai compris. Je ne le referai plus. Sauf en cas d’extrême urgence, ajouta-t-il dans un sourire.

Amalia lui fusilla du regard, l’air sérieux.

—Je rigole. Je ne le ferai plus. Sauf si c’est nécessaire pour te sauver la vie par exemple.

Elle leva les yeux vers le ciel dans un soupir.

—Tu m'autorises à continuer de lire ton histoire ?

—Tu l’a lu aussi ? questionna-t-elle gênée avant d'enfouir sa tête dans le torse d’Evan.

Evan se mit à rire en essayant de la sortir de sa cachette.

—Allez ! Sors de là. C’est vraiment beau ce que tu écris. Je me suis senti pousser des ailes en te lisant et pour être franc, savoir que tu penses ça de moi,…ça me fait te voir avec un autre regard… ça me fait t’aimer encore plus.

A ces mots, Amalia releva timidement les yeux vers lui.

—Être ton homme comme tu le dis, me donne l’impression d’être un héros, un envoyé des dieux…

—Tu n'exagères pas un peu.

— Attends ! Tu t’es lu au moins ? Tous les hommes au monde voudraient être à ma place.

Elle avait du mal à cacher ses joues rougies. Elle garda sa tête contre lui jusqu’à ce qu’il se mette à lui donner des petits baisers sur le haut du crâne.

En se relevant, elle permit à ses lèvres de conquérir chaque petite parcelle de son visage avant de conquérir les siennes.

Ils discutèrent toute l’après-midi.
Juan s’incrusta avec des boissons et quelques Chilaquiles.

—Désolé, mais je commençais sérieusement à m’ennuyer. Alors au lieu de piquer un somme, j’ai préféré nous nourrir.

Ils se servirent et discutèrent dans la bonne humeur.

—La dernière fois, Amalia a réussi à s’enfuir sans laisser de trace. Elle aurait pu y arriver. Je crois qu’on devrait retenter l’expérience. Au vu des derniers jours, je crois qu’on aurait dû l'y aider, dit Juan entre deux gorgées de bierre.

—Je comprends ton point de vue, mais il faut savoir que son père n’agit pas de la sorte pour rien. Il doit sûrement avoir une raison. Je crois qu’il veut la protéger de quelque chose ou de quelqu'un et tant qu’on ne saura pas de quoi il s’agit, on la mettra en danger si elle part d’ici.

—Et donc qu’est-ce de tu proposes ? s’enquit Juan.

—Je vais rester ! coupa Amalia. Le temps nécessaire pour trouver des réponses à nos questions, mais il faudra faire vite, parce que je ne vais pas tenir longtemps.

—Dès que ton père s’en va, on va tout retourner pour trouver des éléments.

—Je ne veux pas jouer les rabat-joie, mais s’il arrive qu’on ne trouve rien. Qu’est-ce qu’on fait ?

—On doit l’envisager. Il faut y réfléchir sérieusement, répondit Evan. Dans ce cas là, même partie, elle devra continuer à se cacher.

Les grognements de colère et les aboiements d’un chien se firent entendre devant la porte.

—Saleté de clébard, gronda Juan.

—C’est ton chien ? questionna Evan.

—Non c’est celui de mon père. Aussi futé que son maître.

—Je vais aller le promener pour le distraire, informa Juan.

—Je vais en profiter pour partir, dit Evan à contre-cœur.

—Il y a une rotation de garde dans dix minutes. Tu pourras facilement sortir, dit Amalia tristement.

—Ne sois pas triste estimada. Je vais revenir et on va s’appeler aussi. Il faut que tu manges s’il te plaît. C'est important.
Même quand on est en détention, il faut se nourrir pour garder des forces, dit-il en caressant son visage et en y déposant des baisers un peu partout.
Ne pleure pas trésor, prononça-t-il doucement en essuyant ses larmes de ses pouces. Ce n’est pas un adieu.

Après une dernière étreinte, il se glissa par la fenêtre, guidé par Juan vers la sortie.
Il marcha quelques mètres avant de reprendre la moto de location en sa possession.

La journée avait été réconfortante pour Amalia. Elle était plus positive et joyeuse. Elle remercia Juan pour la surprise, mais il lui expliqua qu’il n’y était pour rien. Evan l’avait surpris en pleine sieste et il avait eu la peur de sa vie.

                                 ❤️

Evan avait déposé la bécane à l’endroit convenu. Il avait pris deux bus et un taxi avant de finalement rentrer chez lui. Il s'était déguisé, histoire de prendre plus de précautions.
Arrivé chez lui, il ouvrit la porte d’entrée en chantonnant. Il eut la sensation d’avoir  quelque chose sous le pied et un son net et craquant parvint à ses oreilles. C’était des débris de verre.
Il y en avait dans toute l’entrée.

Il prit l’arme cachée sous le tableau à gauche de la porte. Il avança doucement, fouilla minutieusement toutes les pièces, mais il n’y avait personne. Il héla son père, mais ce dernier ne répondit pas.
La maison était vide.

Sa pression redescendit d’un cran. En allant vers le séjour, il remarqua que la porte de la chambre de son paternel était entrouverte. Il la poussa doucement et entra. Comme il était seul et en profita pour fouiller les affaires de son père, dans l’espoir de trouver ce qui le rendait aussi étrange.
En fouillant son sac de voyage, en dehors des vêtements, d’une arme et de quelques documents, Il trouva une enveloppe dorée. Elle était belle et soyeuse au toucher. L' insigne de l’ordre y était gravé.

Il l’ouvrit. Ce qu’il y découvrit accéléra la cadence de son cœur. Les yeux écarquillés, il n’en revenait pas. Ce nom sur cette fiche, des instructions comme à chaque fois, une cible, mais pas n’importe laquelle.

Voilà voilà ! J'espère que ça vous a plu !

Dites-moi comment vous avez trouvé ce chapitre. Quelles sont les constats négatifs ou positif.

Je vous dit à très vite. Merci encore de m'avoir lu.

Xoxo Loves ❤️❤️❤️❤️❤️

Instagram : @conte--moi

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