La malchance nous a quitter
Manuel répondit à un appel d'un motel qui avait retrouver un cadavre dans l'une de leur chambre. Ça c'était excitant qu'il se dit en se dirigeant vers les lieux avec un collègue. Tant que ce n'était pas un enfant. Il arriva là et ce dirigea à la réception.
"Vous êtes enfin là! Il avait payer pour 2h, mais quand je suis aller lui dire de me rendre les clés et partir, il était mort." Dit le gérant marabou en quittant son comptoir pour ce diriger vers la chambre.
"2h? Vous louez vos chambre aux heures et non à la nuit?" Demanda Manuel ce doutant bien qu'il était dans l'un de ses motels miteux où les prostituer amenait leur client.
"Je fais les deux." Dit le gérant en arrivant devant une porte qu'il ouvrit. "S'il pouvait débarrasser rapidement que je lave et puisse continuer de louer l'endroit." Dit le proprio en laissant les policier entrer.
L'odeur de la mort ne planait pas encore dans l'air, le corps ayant rendu son âme il y avait moins de deux heures. Manuel observa l'endroit rapidement pendant que son collègue approchait de l'homme étendu dans le lit pour tâter son pouls.
"Vous avez des cameras de surveillance?" Demanda l'hispanique avec peu d'espoir.
"Dans les chambres? C'est illégale!"
"Non, je parlais, à l'extérieur ou la réception. Savoir avec qui il est venus."
"Je vais vous le dire avec qui il est venus. Une gonzesse comme j'en vois des dizaines."
"Et vous n'avez pas le nom de cette fille je présume."
"Ils font ce qu'ils ont à faire et me paie pour le lieux. Le reste ça ne m'intéresse pas." Grogna le proprio. "Bon je retourne a ma réception. Amenez-le vite avec vous."
Il quitta ensuite la chambre.
"Il est froid." Préviens son collègue derrière lui. "Je vais faire venir la crime qu'il enquête."
"Ok, je vais mettre un cordon de sécurité."
Manuel sortit de la chambre pour aller chercher un ruban de délimitation dans sa voiture. Il revient à la chambre et installa le ruban autour de l'endroit.
"Hey qu'est-ce que vous faites!" Lui cria le proprio qui revenait vers eux.
"Ceci est un scène de crime. Je m'assure que l'endroit ne soit contaminé par personne." Expliqua Manuel qui continuait de dérouler le ruban.
"Non. Hors de question. Ça va faire mauvaise presse. Enlever moi ça avant que des clients trouvent un autre endroit."
Manuel continua de dérouler le ruban.
"Un homme est mort. Pouvez-vous avoir un minimum de respect en sa vie plutôt que de penser à vos profit?"
"Oui. Oui. C'est triste, mais mon motel y est pour rien!"
"Je vous demanderais juste de rester derrière le ruban d'ici là." Dit Manuel qui finissait de l'installer et ce mis en chien de garde devant pour s'assurer que personne ne passera.
Son collègue vient le rejoindre.
"Ils devraient arriver dans maximum trente minutes."
Les deux hommes observa autour en silence.
"À tout les coups, c'est la fille de joie qui la tuer pour fuir avec l'argent." Dit son collègue amuser.
"Ça pourrait une overdose aussi. Il se défonce avec la fille et calcul mal ses choses."
"Nah. Il y avait des joints entamer, oui, mais pas de seringue, ni de poudre blanche."
"Nous le serons quand la crime auras arriver à une conclusion." Dit Manuel qui ne voyait pas plus qu'il faut d'intérêt à chercher à comprendre ce qui c'est passé.
Quelques minutes plus tard, il vit une voiture du labo scientifique ce stationner et monsieur Lallier, le chef de l'équipe scientifique en sortir avec une malette.
"Le médecin légiste n'est toujours pas venus confirmer la mort." Previens Manuel en lui soulevant le ruban.
"Je ne toucherais pas au corps pour commencer alors." Dit le vieil homme en entrant dans la chambre.
Quelques secondes plus tard, la voiture du coroner entra dans le stationnement. Les policiers laissèrent le médecin passer en continuant de garder le ruban et d'éloigner les curieux. Manuel tourna le regard vers la porte d'entrée et pénétra dans la chambre pour regarder les hommes au côté du corps. Le médecin légiste confirma l'heure du décès et le vieux scientifiques commença à prélever des indices sur le corps.
"Ok, vous pouvez l'amener."
Le coroner alla chercher une civière et l'approcha du lit avant de se tourner vers Manuel qui observait toujours de loin.
"Tu veux bien m'aider à mettre le corps sur la civière, Manuel?"
L'hispanique haussa les épaules et approcha pour observer le corps. Sa respiration se coupa et il figea. Dans sa tête la panique avait embarquer. C'était impossible. Lucky ne pouvait être mort. Il détourna le regard cherchant une explication pour nier le fait que...
Il tourna sa tête vers monsieur Lallier qui récoltait des indices et prenait des photos.
"Vous avez trouver son porte-feuille?"
L'homme hocha la tête.
"Plus de liquide dedans."
"Son nom." Demanda Manuel.
"Luke. Pourquoi?"
"Rien."
Il retourna la tête vers le corps. Oui, ce ne pouvais être Lucky. Ses cheveux était plus foncé son visage plus négliger.
"Tu m'aides?" Demanda le coroner qui commençait à s'impatienter.
Manuel se tourna vers lui.
"J'ai besoin d'air. Vous pouvez... je demande à mon collègue de venir vous aidez."
Puis sans attendre il sortit et s'éloigna du motel. Il avait besoin d'air. Besoin de respirer. Pendant quelques secondes, il avait cru à Lucky. Son coeur c'était briser. Il tenait à cet idiot et n'aurait pu accepter de le perdre aussi facilement. Il était parfois collant, mais si compréhensible.
D'ailleurs, il devrait le prévenir pour son frère ou devait-il attendre. Tâter le terrain. Serait-il soulager que son bourreau soit mort ou triste d'avoir perdu un frère.
Il tourna son regard vers le motel ou on sortait le corps de Luke cacher d'un draps. Il prit son téléphone et appella son supérieur.
"Oui?"
"C'est Manuel. J'ai été appeler sur un homicide et... euh..."
"Tu dois appeler le coroner et la crime pour mener un enquête. Ensuite mettre le ruban de..."
"Oui, non ça je sais ça. C'est fait, il amène le corps. En fait... Lucky est chez toi, non? Vous aviez un souper."
"Oui. Oui, je suis avec eux."
"Alors peut-être que... le corps c'est celui de Luke. Je... tu pourrais leur dire pour leur frère."
"Attends, rien ne sert de les alarmer. Manuel, tu es sûr que..."
"Oui. Il ressemble très portrait à Lucky et il avait ses pièces d'identité sur lui."
"Ok j'arrive."
"Ok, mais... c'est lui."
Il raccrocha et vient se frotter le front. Son collègue approcha amusé.
"Premier cadavre? Ça choque, j'avoue. Tu appelait qui?"
"Le supérieur. Je... je vais retourner à mon poste." Dit simplement Manuel avant de retourner au ruban jaune.
Il resta donc en poste jusqu'à l'arrivé de remplaçant et il retourna au poste de police. À peine arriver qu'il se dirigea vers le bureau de son supérieur. Greg si trouvais la tête renversé par derrière les yeux fermer. Il ne semblait pas de bonne humeur et Manuel cogna pour l'avertir de sa présence. Le beau-frère de Lucky redressa sa tête pour le regarder.
"Assis toi." Dit-il simplement.
Manuel obéit.
"Ils cherchent la travailleuse de rue avec qui il était au motel. En attendant, ses tests physiologiques indique alcool et drogue diverse, mais rien de létal."
"On ne connais donc pas encore la raison de sa mort."
"Le médecin légiste ne c'est pas prononcer."
"Tu as prévenu..."
"Non, mais ce sera fait bientôt. J'ai prit la liberté de nous exclure de l'enquête pour conflit d'intérêt, donc ce sera d'autre personne se chargerons d'informer la famille. Nous avons d'ailleurs conger pour le reste de la journée, ainsi nous pourrons soutenir..."
"Attendez. Conflit d'intérêt?"
"Le frère jumeaux de nos conjoints est..."
"Vous avez informez des gens pour moi et Lucky?" Paniqua Manuel en ce redressant paniquer.
Greg le devisagea un moment avant de comprendre.
"Manuel, aucune inquiétude. Les gens mis au courant ne ferons rien de cette information, sauf comprendre ton absence."
Manuel avait envie de lui crier après que ce n'avait pas été à lui d'informer qui que ce soit sur sa relation homosexuel, mais se retient. C'était son patron, il ne faudrait pas réempirer son cas maintenant que ça commençait à aller mieux.
"Dés ce soir, les policiers iront dans les familles. Si tu veux allez rejoindre Lucky maintenant."
"Ouais. Ouais."
L'hispanique quitta la bureau en colère. Le soir était tomber et même s'il savait que Lucky avait été souper chez sa soeur, il devait être retourner chez lui à l'heure qu'il était. Il prit donc cet direction et vient cogner à la porte avant de tester la poignée barrer. Pour une fois. Il attendit un moment et la porte s'ouvrit sur son copain à lunette qui le dévisagea.
"Manu?"
"Je peux rentrer?"
"Ouais. Euh... ouais." Dit Lucky un peu perdu en le laissant entrer dans son appartement et refermant derrière. "J'ai des choses à te dire d'ailleurs! Premièrement tu devrais me féliciter d'avoir barrer la porte!"
Manuel l'observait cherchant à savoir si c'était une farce, mais au regard de Lucky, il compris que non.
"Bravo, tu t'améliores..." Dit Manuel peut sûr de lui. "Sauf que tu l'as refermer sans la rebarrer et donc tu vas oublier de le faire pour la nuit."
Lucky tourna son regard vers la porte en analysant la poignée et vient tourner le verrou avant d'offrir un regard rayonnant à Manuel.
"Tadam!"
"C'est quoi les autres choses que tu voulais me dire." Demanda Manuel ne sachant comment aborder le sujet principal.
"Euh... j'ai oublier." Rigola Lucky. "Pourquoi tu es là? Tu voulais faire des bébés? On peut. Tu pourrais être un livreur de..."
"Lucky, il faut qu'on parle."
"Oh..." dit le garçon soudain triste.
Manuel le contourna se frottant les mains. Ce n'était pas à lui de lui apprendre, mais en même temps, il lui en voudrait de ne pas lui avoir dit.
"Euh... comment tu te sens par rapport à Luke?"
"Mon frère? Pourquoi tu veux savoir? Il c'est encore fait arrêter?"
"Non, mais... fais juste me dire comment tu te sens par rapport à lui."
Lucky croisa les bras et haussa les épaules. Il ne semblait plus du tout ravie de voir Manuel.
"Je sais pas. C'est compliqué. C'est mon frère. Il a fait de bonne chose pour moi. Méthode discutable, mais il a essayer au début d'être un bon frère avant que nos parents commence à lui dire que j'étais parfait et que lui non. Avant que sa jalousie embarque. J'ai essayer de lui rappeler qu'on est pas obliger d'être en compétition, mais..." il souffla un moment. "Pour être honnête et je crois que tu as remarquer, mais je ne me sens pas à l'aise proche de lui. Mon corps se mets à trembler et même si je me force à essayer de l'arrêter, ça n'y fait rien. J'ai faillit mourir par sa faute. Je..."
Un téléphone sonna et Lucky s'arrêta pour regarder l'écran du sien.
"C'est ma mère. Ce sera pas long." Qu'il prévient en décrochant.
Manuel retient sous souffle. Les parents de Luke avait dû recevoir la visite des policiers.
"Oui, maman? ... Non, tu ne me dérange pas. Je suis avec mon copain, il y a un problème? ... Quoi? ... Mais..."
Le neurobiologiste garda son téléphone contre son oreille, mais se tourna vers le policier en le devisagea.
"Ok. ... Oui. ... Ok. ... Bye maman. Je t'aime." Il raccrocha ne quittant pas des yeux Manuel devant lui.
Son visage était neutre et ne laissait filtrer aucune émotion.
"Tu savais." Dit-il simplement. "C'est pour ça que tu es là."
Manuel vient lui offrir un sourire triste.
"Je suis désolé." Dit-il tout simplement.
Soudain le visage impassible de Lucky se brisa pour être déformer par un visage de haine et de tristesse, puis il quitta pour ce diriger vers sa chambre. Manuel laissa tomber sa tête par derrière. Génial.
Il se leva et ce dirigea vers la chambre. Il ouvrit la porte doucement pour observer Lucky assis sur son lit, Tito dans les mains, pendant que le neurobiologiste replaçait le poil de sa tête.
"Que lui est-il arrivé?" Demanda le plus vieux sans regarder le policier.
"On enquête."
"Je peux le voir?"
"Je ne..." mais Manuel ne termina pas ça phrase.
Le corps devait être en train de se faire autopsier.
"Je ne crois pas qu'il soit apte à être vus pour le moment."
"Je comprend."
Manuel observa le scientifique inquiet. Il s'approcha pour s'asseoir à ses côtés, puis viens le serrer dans ses bras. Le binoclard ce laissa faire sans relâcher sa prise sur l'ourson.
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