La chance n'est pas partout
Manuel était retourner travailler le lendemain, même si la motivation lui manquait, mais il l'avait promis a Lucky. Il se força à sourire à ses amis et évita le regard de son supérieur durant la répartition des tâches. À sa plus grande surprise il fut placer à un poste plus qu'intéressant. Il alla donc l'occuper une certaine fierté en lui. Il y passa la journée, puis le lendemain et le surlendemain. Bon ok, qu'est-ce que Lucky avait fait à son chef d'équipe?
Lucky, je dois m'inquiéter?
Promis je vais faire mon dépistage bientôt!
Je ne parlais pas de ça
Idiot
Mais de mon chef
😱
Il a choisit la mort?
Quoi?
Non, il est juste...
Trop gentil avec moi?
Donc il a choisit de vivre 😌
Ou est le problème?
Aucune idée, mais Manuel ne voulut pas s'y attarder. Son copain avait parfois un comportement étrange, mais il avait l'impression que s'il tentait de sonder l'univers de son cerveau, il se perdrait dans un dédale.
Le jour suivant, il fut placer à la réception et celui d'après à un autre poste que la circulation. Fuir la routine, il adorait ça. Puis le surlendemain, il finit de s'habiller dans les vestiaires avant de rejoindre son groupe. Il observa certain être réparties au poste banale et fut surpris lorsque le chef le réclama lui et certain autre pour une mission plus que spécial.
"Nous avons reçu l'accord du juge pour une perquisition. Nous serons accompagner du chef de labo, monsieur Lallier. Il ne devrait pas tarder à arriver. Notre mission, l'aider dans sa collecte de preuve à conviction. Maitriser le maitre des lieux si nécessaire et sécuriser les innocents."
Le supérieur se redressa voyant le scientifique arriver.
"Vous serez avec moi dans ma voiture de patrouille. Les autres trouver vous un coéquipier."
Puis il ramassa les documents et alla rejoindre le vieil homme qui le suivi avec sa mallette. Manuel prit une voiture avec un autre patrouilleur et trois voitures de police se dirigea vers une petite banlieue. Arriver devant la maison, Greg se plaça devant le reste du groupe pour aller cogner à la porte. Monsieur Lallier resta en retrait derrière deux autres policiers. Puis la porte s'ouvrit.
"Vous me voulez quoi?"
Le chef de police présenta un papier à l'homme.
"Ceci est un droit de perquisition signer par un juge. Nous vous demanderions de quitter la maison, le temps qu'on fouille les lieux."
"Et pourquoi?"
"Nous cherchons entre autres du matériel vidéo et des fichiers électronique. Tout est écrit dans le document que vous pourrez lire, pendant que nous faisons notre travail."
L'homme serra les dents en arrachant le document des mains du policier pour le regarder.
"Ses deux hommes resteront avec vous à l'extérieur." Précisa Greg en désignant les deux policiers qui servait de cachette au scientifique.
En grognant, l'homme appela un garçon, mais Greg l'arrêta en le voyant.
"Votre fils n'a pas besoin de sortir. Il sera sous la supervision de mon collègue, Manuel."
Greg fit signe à l'hispanique d'approcher. Le suspect observa la stature du policier qui sera en charge de son fils et décida de la jouer discret. Il sortit seul de la maison pendant que les deux autres policiers l'encercla. Manuel entra dans la maison pour voir l'adolescent qui l'observait. Si on ne l'avait pas avertit que c'était un garçon, il aurait cru une fille. Il vient se positionner à ses côtés pendant que monsieur Lallier entrait avec sa mallette à la main suivit de Greg et un autre policier.
Ses trois derniers commencèrent à fouiller la maison de fond en comble et Manuel reporta son attention sur l'adolescent qu'il devait protéger. Son regard était quelque peu absent, quelque peu ennuyer. Il jouait avec une mèche de cheveux nerveusement.
Il observa son supérieur monter à l'étage, pendant que l'un de ses collègues vidait le rangement du salon. Il n'avait pas totalement écouter au briefing. Pourquoi, il cherchait du matos de caméra? Il reporta son attention sur l'ado à ses côtés et figea le reconnaissant. Deux jours plus tôt, c'était lui qui avait traiter la plainte pour des photos de ce garçon nu sur le net. Son supérieur passa à ses côtés pour sortir dehors.
"Pouvons-nous avoir les clés de votre sous-sol."
"Je ne vois pas de quoi vous parlez."
"De la porte barrer qui mène visiblement sous la bâtisse."
"La poignée est cassé. Nous n'allons jamais là. Je n'ai pas les clés."
"Vous refusez de l'ouvrir?"
"Oui."
"Bien."
Il entendit une valise de voiture ouvrir et se refermer, puis vit Greg revenir dans la maison avec tout le nécessaire pour briser chaîne, serrure et porte. Le scientifique redescendit pour attendre à ses côtés, pendant que l'autre policier vient se rapprocher pendant que le beau-frère de Lucky brisait la poignée et ouvrait la porte. Ils vit les trois hommes ouvrit leurs lampe de poche et descendre. Du coin l'oeil, il aperçut son jeune protéger se mettre à respirer fort. Visiblement, c'était là qu'ils trouveraient leur dû.
"Respire doucement." Rappella Manuel au garçon qui semblait en début de panique. "Tout ira bien, respire doucement."
Ça ne semblait pas efficace, mais il ne su comment offrir plus de soutien. Cinq minutes plus tard, il vit son supérieur réapparaître la haine difficilement cacher sur son visage. Il quitta la maison et Manuel tendit l'oreille.
"Vous êtes en état d'arrestation pour production et distribution de matériel pédopornographique."
Manuel tourna son regard vers l'adolescent à ses côtés qui contrôlait mal sa respiration jouant avec ses cheveux. Ses yeux fixait un point au plancher et ses membres tramblaient. Puis il vit son collègue policier remonter avec des boites remplis de cédérom et autre matériel.
"Manuel."
Le policier se retient de sursauter et se tourna vers son chef qui était réapparru à la porte d'entrée.
"Amène l'enfant au poste et contact une travailleuse social."
"Oui, monsieur."
Il se tourna vers le gamin et ce demanda comment ne pas le brusquer.
"Suis-moi. Tu vas être en sécurité avec nous."
Le garçon tourna son regard vers lui. Tout son regard le suppliait de ne pas lui mentir. Manuel quitta la maison suivit du garçon. Il observa ses collègues mettre le père menotté dans la voiture de police et indiqua au garçon la sienne plus loin. Comment un père pouvait faire de tel chose à son propres enfant. Il oubliait parfois comme l'humain le dégoûtait.
Il le conduisit au poste, lui présenta la femme qui travaillait pour les service sociaux et resta à l'écart dans la même pièce qu'eux pour s'assurer que tout allait bien. Il voulait avoir de l'action, mais il aurait préférer autre chose que ce genre d'action. L'humain était horrible.
Pendant tout son temps de surveillance, il ne cessait de se demander si ses neveux était en sécurité? Les époux de ses soeurs était-il de bonne personne ou cachait-il un sombre secret comme celui-ci?
Et le neveu de Lucky? Il pouvait avoir confiance en Greg pour prendre soin de son fils de la bonne façon? Évidemment, à la colère qu'il avait vu sur son visage, mais il resterait toujours un doute que la personne la plus gentil et aimante soit en vrai un psychopathe déguiser.
Et ses enfants souffraient en silence trop effrayer de parler. Incapable d'envisager que quelqu'un voudrait les aider. Il fut soudain remplacer par un collègue et quitta la pièce pour ce rendre au vestiaire. Il sentit les larmes monter à ses yeux et donna un coup dans son casier avant de s'asseoir sur le banc et plonger son visage dans ses mains. Il ne devait pas perdre espoir. Il faisait se métier justement pour que ce genre de chose soit arrêter. Que les crimes soit révéler et que les innocents soit protéger. Il entendit la sonnerie de son téléphone et répondit sans prendre la peine de vérifier l'afficheur.
"Oui?"
"Greg ma dit: dur journée, alors je t'appelle pour vérifier." Répondit la voix de Lucky au bout du fil.
"Et bien... oui. Je vais survivre. Je suis juste dégoûter."
"D'accord. Alors comme tu feel moyen, c'est à toi de choisir l'activité qui te remontera le moral."
Manuel sourit doucement. C'était bien ça la seul utilité qu'il voyait à un couple. Un support émotionnel.
"J'ai envie de boire."
"Alors un bar? Je propose gay pour qu'on si sente à l'aise, mais je présume que la réponse sera non, donc lequel choisis-tu?"
"Non. Gay, ça me va."
"Wow, tu est vraiment traumatiser des derniers évènements. Puis-je savoir ce qui c'est passer pour que toi et Greg soyez ébranler?"
"Je peux juste te dire que ça l'impliquait un enfant."
"Ok. Je comprend. Tu viens me chercher vers quelle heure?"
"20h?"
"Alors je t'attendrais pour 20h et n'oublie pas. Tu es le plus fort."
"Je doute."
"Ah si. Tu m'as dans ton équipe après tout et je suis le plus fort. Mon équipe vaincra toute montagne qui se dressera devant elle."
Manuel sourit. Oui, ça il avait compris que Lucky avait des alliés partout.
"Ok. Bye. Je... j'ai hâte de te voir." Dit-il quelque peu gêner.
"Je fond! Tu veux que je gâche tout en te disant que je t'aime?"
"Ark, non."
"Hahaha, je m'en doutait. J'ai hâte de passer cette soirée avec toi aussi, alors. Bye."
Manuel raccrocha et rangea son téléphone dans sa poche avant de se relever et quitter les vestiaires. Il observa son supérieur qui était agenouillé devant l'adolescent et tentait de lui parler pendant que la femme des services sociaux l'encourageait à répondre. Greg avait prévenu Lucky pour qu'il lui offre du soutien? Manuel sourit doucement. Il n'allait peut-être pas changer de poste finalement.
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