🍋Comment vivre sans la chance🍋
Manuel quitta la cuisine pour ce diriger vers le salon et s'éloigner de sa famille. Il s'assit sur le divan et observa son neveu de deux ans qui jouait tranquille dans son parc. Sa soeur arriva avec son nourrisson et vient s'asseoir à ses côtés. Elle dénuda son sein et Manuel tourna immédiatemment la tête en clignant des yeux.
"Tu es tellement vieux jeu." Répliqua sa soeur dont le bébé commença à boire le lait maternel.
"Vieux jeu?" Demanda Manuel avant de se tourner vers sa soeur. "J'ai rien dit. Je te laisse allaiter."
"Tu tourne le regard comme si c'était un truc à ne pas regarder."
"Navré de ne pas vouloir voir les seins de ma soeur."
Sa soeur ricana en flattant la tête de son bébé. La deuxième soeur entra dans le salon une main sur son ventre rond.
"Manu pourquoi tu es partis?"
"Parce que j'allais étriper ton mari si je restais."
"Mais..."
"Avec tout le respect que je lui doit, qu'il arrête de me dire comment faire mon métier. La réalité d'un policier est complètement différente de celle d'un éducateur spécialisé."
"Son point fort, c'est les interventions. Il veut t'aider." Lui dit sa soeur en défendant son mari.
"Paula, il travail dans une école secondaire. Intervenir auprès d'un jeune qui frappe dans des casiers et manque de respect au prof et intervenir auprès d'un adulte armé d'un fusil qui menace de tuer quelqu'un, c'est deux monde à part."
"Oui, mais..."
"Non, Paula. Je ne vais pas commencer à m'inquiéter de si le suspect à passer une journée difficile et s'il a besoin de parler. Si je vois un type avec un arme et des vies en jeu, je le maitrise."
"C'est bon, je lui dirais de te lâcher avec ça."
"Ce serait grandement apprécier, surtout qu'il me fait la moral, sur l'histoire de ce policier américain qui a abuser de sa force sur un suspect en Californie. On est au Québec ici! J'y suis pour rien!" Se plaignit Manuel qui n'en avait plus que ras le bol qu'on mettent tout les policiers dans le même panier.
Sa soeur leva les mains dans les airs et le père vient les rejoindres pour leur indiquer que le repas était prêt. La famille retournèrent donc tous à la cuisine s'asseoir autour de la table pour la prière et manger.
"Manuel, trésors. Je ne veux pas te mettre la pression, mais tes soeurs sont en train de fonder leur famille. À quand la tienne?" Demanda sa mère.
"Mon dieu maman, ta raison, aucune pression." Répondit Manuel en lui offrant un faux sourire.
"Ce que je veux dire est qu'une famille doit être uni et souder. Tes neveux vont bientôt avoir une cousine." Désigna la mère en pointant les petits de Daniella et le ventre de Paula. "Si tu tarde trop à ton tour, tes enfants ne seront pas aussi proche de ses cousins qui seront beaucoup plus vieux."
"Les filles! Je vous avais dit d'attendre que je sois prêt avant de vous reproduire!" Fit faussement fâché Manuel essai de montrer à sa mère le ridicule de ses paroles.
"Manuel, je suis sérieuse. Ton père et moi avons discuter et..."
"Et vous avez trouvez ça intéressant de faire un intervention durant un souper de famille?"
Sa mère soupira. Manuel ce garda de répliquer que ce serait plutôt à lui d'être décourager. Il sentit la main de sa soeur se déposer sur son bras et il tourna son regard vers elle.
"Je crois que les parents serait simplement heureux de savoir que tu aurais quelqu'un sur qui comptait en tout temps. Qui te rendrait heureux. Quand tu seras plus vieux et qu'il ne seront plus là, tu dois avoir une personne de confiance avec toi."
"On est pas obliger d'être en couple pour être heureux." Répliqua l'homme.
Sa soeur leva les yeux aux ciel.
"Tu veux que je te présente une fille?" Demanda la mère à son fils.
"Non." Répondit-il sec, envisageant de quitter se souper de famille plus tôt que prévu.
"J'en ai une en tête. Elle te plairait. Je vais lui donner ton numéro et..."
"Je fréquente déjà quelqu'un." Répliqua Manuel pour arrêter cet mascarade.
Fréquenter était peut-être un grand mot, mais pas totalement faux.
"Oh, mais pourquoi ne pas nous l'avoir amener pour nous la présenter." Répondit la mère des étoiles dans les yeux.
"Qu'elle est sont travail?" Demanda le père.
Le policier regarda ses parents un moment. Puis tourna son regard vers ses soeurs et leurs maris. Tous le fixait.
"Je ne l'ai pas inviter, car ce n'est pas officielle et il est encore aux études. Il finit son doctorat."
"Il?" Répèta le père.
La mère semblait sans un mot, cherchant quelque chose à dire, puis cru trouver.
"Un médecin ça gagne bien sa vie." Tenta-t-elle en tournant son visage vers son mari.
"Il ne fait pas un doctorat en médecine." Rectifia Manuel.
"Tu sors avec un garçon?" Répèta le père que Manuel ignorait.
"Oui, pourquoi?"
Ses parents le fixaient estomaquer. Il n'osait pas tourner la tête vers ses soeurs.
"Je vous avais dit que j'aimais les deux." Rappela le policier.
Les parents se regardèrent mal à l'aise et la mère continua en choisissant ses mots.
"Tu sais Manu, deux hommes ensembles ne peuvent avoir d'enfant. Ce que tu fais et avec qui pour t'amuser te regarde, mais tu vieillis et tu es à l'âge de n'avoir qu'un amoureux. Si tu veux fonder une famille, tu dois sortir avec une femme."
"J'en veux peut-être pas de famille aussi."
"Et qui va s'occuper de toi quand tu sera vieux?"
"Une infirmière sexy qui me fera des extra." Plaisanta le garçon qui reçut un regard décourager de sa mère. "On a fini?"
"Bon, et ce docteur, il veut des enfants? Vous pourriez vous trouvez une mère porteuse."
"Au revoir." Répliqua Manuel en ce levant. "C'était délicieux, on se revoit dans 6 mois." Dit-il un regard mauvais avant de quitter.
Il s'assit dans sa voiture en soupirant. Pourquoi croit-on que nous avons absolument besoin de fonder une famille pour être heureux. Ou juste être en couple. Il ne se sentirais pas incomplet sans enfant. Il ne se sentirait pas triste et seul d' être célibataire tout le temps. Il avait essayer au secondaire. Il avait sortit avec quelques filles, mais il n'aimait pas la sensation que ça lui donnait. Il se sentait prit. Étouffer dans une relation amoureuse. Toujours devoir quelque chose à quelqu'un. Toujours ce sentir obliger de garder la flamme allumer.
Il ferma les yeux un moment. En vrai, ça lui plairait d'être cette personne exceptionnel au yeux d'un autre et pouvoir dire à tous que c'était avec lui que la personne sortait, mais dés qu'il pensait à tout le reste, il déchantait bien vite. Il voulait être en couple, sans avoir à être en couple. Il se connecta sur Tinder pour aller voir le profil de Lucky. Disparu. Il fronça les sourcils. Il l'avait bloquer? Pourquoi? Il texta immédiatemment le garçon.
Je trouve plus ton profil Tinder
Normal, je les supprimer
Pourquoi?
Car je n'en avais plus besoin 👀
Manuel fronça les sourcils avant de se tapper le front. Évidemment qu'il n'en avait plus besoin. Il avait son numéro perso. Donc il n'allait vraiment plus voir d'autre monde que lui? Il devrait supprimer son profil aussi, quoique s'il se concentrait uniquement sur lui, il allait manquer de sexe.
Tu veux baiser?👀
C'est maintenant ou jamais, car après je tombe dans un rush.😁
Manuel observa les mots sur son écran stoique. Il n'avait jamais rencontrer un gars comme ça pour sûr.
J'arrive tout de suite.
Il démarra sa voiture et se rendit à destination. Il ne prit même pas la peine de frapper avant d'entrer dans l'appartement perpétuellement débarrer. Il s'arrêta un moment en apercevant Lucky grimper sur un comptoir, un Mr Freeze dans la bouche et l'observant de ses yeux immense aggrandit par ses verres disproportionner.
"On grimpe pas sur les meubles." Dis Manuel comme signe de bonjour.
"Zezai vateindre un pat." Répondit le garçon en enfouissant sa main dans la tablette du haut.
Avec son popsicle dans la bouche Manuel ne compris rien et ne chercha pas à comprendre. Le scientifique était en équilibre précaire et connaissant ses talents d'équilibriste, il vient se positionner sous lui et tendre les bras. S'il tombait, il ne se tuerait pas. Lucky sortit un plat de l'armoire et sans même apercevoir Manuel, entreprit de fermer l'armoire et descendre du comptoir de façon peut gracieuse. Il réussit malgré tout à ce déséquilibrer à la toute fin quand ses deux pieds furent sur le plancher. Manuel baissa les bras en le regardant s'accrocher au comptoir. Il enleva le dessert glacé de sa bouche avant de se retourner vers le policier en souriant.
"J'ai mon plat!" Dit-il tout fier.
"Merveilleux."
Lucky déposa le plat sur le comptoir avant de finir son MrFeeze tel un enfant ce gelant le cerveau. Il grimaça et secoua la tête avant de jeter le papier à la poubelle.
"T'a fait vite. Tu n'étais pas occuper?"
"Tout pour fuir ma famille." Répondit Manuel amusé.
Il se dit qu'il aurait du leur dire qu'il quittait pour aller baiser avec un mec, juste les choquers un peu plus.
"Vous ne vous entendez pas bien?"
"Ils veulent que je me mari à une femme et qu'on fasse des bébés."
"Ark, une femme." Répliqua Lucky en grimaçant.
"J'aime les femmes. C'était le fait de me marier et faire des bébés qui me dégoûtait." Manuel le suivit pendant que Lucky se dirigeait vers sa chambre. "D'être prit avec une personne, aussi."
"Polygame?"
"Non. Juste une... petit aversion à être en couple."
"Aromantique?"
"Aromequoi?"
"Tu n'es pas intéresser par la vie de couple."
"Non. Mais parfois si. J'aimerais être spécial pour quelqu'un. Pouvoir dire que je sors avec, mais le reste que ça implique laisse faire. J'aime l'idée du couple, mais j'aime pas l'idée de devoir être dedans. Mais j'aime avoir quelqu'un de spécial mon entourage. À proximité. Et dormir coller."
"Moi j'aimerais être en couple, mais j'ai un mode de vie qui convient à personne et les gens se tanne que j'ai pas de temps pour eux." Dis Lucky en se départissent de son chandail. "Moi je veux bien sortir avec toi si tu veux. Crois moi, t'aurais pas l'impression d'être en couple."
Manuel lui s'attarda à sa ceinture. Il réfléchissait à la proposition, mais ce disant qu'il pouvait y penser après le sexe.
"Tu as des condoms?" Demanda-t-il enlevant encore plus de vêtement.
Lucky le dévisagea horrifié.
"Non! Tu en as pas apporter?"
"J'étais chez mes parents. J'apporte pas de condoms chez mes parents. Pourquoi t'a pas de condom?"
"Car je mets mon pénis nulle part, moi! Pis je vais pas acheter des condoms ne sachant pas la taille de la prochaine bite que je vais me prendre!" S'indigna le binoclard.
"La vulgarité, c'est nouveau?" Demanda Manuel en croisant les bras et fronçant les sourcils.
Les personnes vulgaire ne lui plaisait pas.
"Navré." Répliqua Lucky en souriant. "Ce que je veux dire et que ce n'est pas à moi de les fournir, puisque je ne l'ai porte pas. La personne qui en a besoin achetera ceux qui lui convient. Bien entendu, comme nous sommes deux à profiter de cet chose, je peux rembourser la moitier du prix débourser." Conclua l'intello avec grace.
Le policier décroisa les bras en soupirant. Les deux étaient rendu en boxer et n'était pas prêt de se rhabiller pour aller en acheter au deppaneur à côté.
"On fait quoi?" Demanda Manuel dans l'espoir futil que Lucky ce souvient d'un vieux préservatif oublier dans un tiroir.
Le scientifique l'observa un moment avant de répondre.
"Je crois qu'on irais bien ensemble."
"Il est où le rapport avec la protection manquante?"
"J'aurais du temps pour toi, une fois par semaine max. Des fois aucun."
"Ça répond à mes besoins quasi absent de couple, mais ça ne répond pas à mon besoin de protéger mon pénis de maladie possible."
"La chance m'aime. Nous partageons le même nom. Je suis clean. Toi?"
"Mouais... j'ignore si ça me rassure ou non, mais je vais te faire confiance. Uniquement, car c'est toi. Tito, il dégage par contre." Préviens Manuel en désignant l'ourson qui le fixait.
"Et comment je vais filmer nos ébâts, moi?" Demanda Lucky en prenant l'ours dans ses mains pour le serrer contre lui.
"Pardon?"
Au sourire espiègle de son ainé, il devina que c'était une farce de mauvais goût. Il ferma les yeux et vient se frotter le nez. Il lui donnait une migraine.
"Bon, viens je te suce!"
Il réouvrit les yeux pour constater qu'une couverture avait été mis sur la tête de l'ourson.
"Tu me suce?"
"Bah je sais pas. J'ai présumer que t'avais pas plus amener de lube."
"Car ta pas ça non plus?"
"Si j'en ai plein."
Puis le scientifique ouvrit un tiroir de sa commode et sortit trois tube.
"Lui il réchauffe. Lui est normal et bien glissant. Lui est parfait si la peau est sèche et craqueler. Pas que j'ai l'anus sèche, mais une fois, j'avais manger des..."
"C'est bon, je veux pas le savoir." Le coupa Manuel décourager.
"On va pas le prendre aujourd'hui." Conclua Lucky en le rangea et observant ses deux autres tubes. "Lui qui réchauffe se sera bien." Il range le dernier avant de garder l'autre dans ses mains et lire l'étiquette passionner. Il s'assit sur le lit et vient glisser son boxer avant de crier et se prendre la jambe.
"J'ai une crampe!"
"C'est les pires préliminaires que j'ai eu de ma vie."
"Ça fait mal." Ce lamenta Lucky la tête dans le matelas garda sa jambe dans sa main.
Il s'approcha pour prendre la jambe du scientifique et la lever dans les airs. Puis il vient peser dessus à certain endroit. Le muscle était bien contracter.
"Mais sa fait mal ton truc! Arrête! Touche moi pas, je... a ça fait plus mal là."
Manuel laissa retomber la jambe et observa le garçon nu sous lui en souriant. C'était un idiot. Très intelligent. Et enfantin. Mais très entreprenant. Il s'avança pour pouvoir déposer ses lèvres sur les siennes et l'embrasser. Il entendit le tube ouvrir et s'arrêta pour observe Lucky se mettre du lubrifiant sur ses doigts.
"C'est mon travail." Spécifia Manuel en regardant Lucky approcher ses doigts de son ouverture.
"Tu le faisais pas. On est jamais mieux servir que par soi-même." Répliqua le garçon en s'enfonçant un doigt.
Manuel vient plaquer une main à deux centimètre de la tête de Lucky et de son autre vient enlever sa main pour faire le travail. Il baissa le regard vers son entre-jambe récupérer un peu de lubrifiant avant de lui enfiler deux doigts. Il sentit alors des dents sur son bras et reporta son regards vers le visage du garçon. Se dernier avait tourner son visage vers le bras et avait planter ses dents dans la chair de Manuel. Il ne serrait pas la mâchoire par contre.
"Je peux savoir ce que tu fais?"
"Ye te mord."
"Pourquoi?"
Lucky lâcha son bras en gémissent.
"Ah~"
Intéressant, il venait de trouver un endroit sensible. Il se remit à gigoter ses doigts dans ce coin là.
"Je peux pas m'en empêcher~" Dit-il.
Il retira son doigt et vient se repositionner pour enlever son caleçon cachant son sexe dur. Lucky l'observait avec un sourire vainqueur sur le visage. Puis Manuel vient le pénétrer et Lucky vient glisser ses mains dans son dos. Bien vite, Manuel accéléra les coups de bassin causant encore plus de gémissement à son amant qui ferma les yeux et serra les dents en s'aggrippant plus à lui.
Manuel tenta de ne pas penser à quel point il était présentement irresponsable. Coucher sans protection, il n'était pas stupide pourtant, mais le garçon faisait un doctorat, il pouvait avoir confiance qu'il était assez intelligent pour ne rien lui transmettre.
"Ah! Putain de merde."
Il reçut un coup de Lucky et il se rendit compte, que perdu dans ses pensés, il y était aller un peu trop sec.
"Moins vite." Demanda Lucky qui avait les larmes aux yeux. "Tu vas trop vite là."
"Désolé."
Il reprit ses mouvements venant embrasser la base du cou du garçon. Il tentait quelques choses de plus sensuel pour ce faire pardonner et au gémissement que Lucky poussait et à la semence qu'il sentait sortir du phallus qui frottait ses abdos, il réussissait à plaire. Ils firent donc l'amour dans plusieurs position, mélangeant leur gémissement et leur plaisir. Puis terminèrent sous la douche avant de ce coller sous les couvertures.
"Et puis? On essai? Je ne m'offusquerai pas si tu me laisse." Demanda Lucky en mordillant le bras du policier.
"Pourquoi tu me mord?"
"Ça veut dire que je t'apprécie beaucoup."
"Oh. Je peux réfléchir à ta propisition?"
"Tu as besoin de temps?"
"Je serais d'avis de dire oui, maintenant. Mes parents me laisserai tranquille et je ne croit pas que je me sentirais étouffer par cette relation. Je serais en couple, sans avoir l'impression de l'être et ses parfait. Par contre, je te devrais fidélité et en un mois, c'est la troisième fois qu'on fait quelque chose."
"Obsédé."
"J'ai des besoins et j'apprécie quand je peux les combler. Je ne demande pas tout les jours, mais deux ou trois fois semaines."
Il entendit Lucky ricaner et venir lui morde le bras doucement.
"Je peux descendre à une fois semaine."
"Tu sais quoi? Couche avec qui tu veux. Je veux juste pas le savoir. Tant que tu te protége et que je sois ta priorité sexuel."
"Clairement tu l'ai. Je te regarde et j'ai envie de te faire l'amour peut importe l'endroit."
"Mmh. Mais une fois semaine."
"Hein?"
"Ta le droit de coucher avec qui tu veux une fois semaine si je ne suis pas dispo pour te l'offrir."
"Deal."
"Et tu peux venir dormir ici pareil."
"Parfait."
"Si tu viens pas, je dormir avec Tito."
"Pourquoi cette peluche? Qui te la offert?"
"Luke."
Manuel fronça les sourcils avant de tourner son regard vers Lucky qui semblait s'endormir de plus en plus.
"Je croyais que vous vous détestiez?"
"Mmmh... non. J'ai juste pas envie de voir quelqu'un qui aimerait que je sois mort."
"Mais il ta offert une peluche avec lequel tu dors."
"On avait 5 ou 6 ans. Je crois qu'il la voler à un gosse. C'est le seul truc sympa qu'il a fait pour moi. Pas voler quelque chose, mais... me donner un truc réconfortant."
Manuel tourna le regard vers la peluche que Lucky avait débarrasser du draps. Lui, il l'aurait jeter.
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