Texte n°553

Prologue

Que ce soit les zones aquatiques ou terrestres, la vie est ôtée à un grand nombre d'êtres vivants à cause du virus nommé Zenrat. Il est apparu en 2132, alors que tout le monde se portait à merveille. Les guerres cessaient peu à peu et le progrès ne faisait que continuer. Pendant une dizaine d'années, l'être humain ne sut pas comment contrer ce virus et la vie commençait à disparaître de plus en plus. Des villes sont dites "fantômes" et des endroits où personne ne vit comme "inaccessibles". Un chercheur scientifique réussit néanmoins à trouver ce à quoi ils étaient vulnérables.
Les enfants de cet époque qui sont, généralement, orphelins apprirent à se battre dans des lieux qu'on nomma "Pensionnat".
Les générations suivantes endossèrent le même rôle : combattant ou chercheur. De nos jours, de plus en plus d'enfants sont orphelins et n'ont le choix que pour ces deux "métiers".

Chapitre 1

C'était le soir. Il devait être 23 heures lorsque Xilia et Gibril avaient été convoqués en urgence. Ils étaient autour d'une villa où un Zenrat de type loup avait été aperçu. Xilia n'entendait rien, aucun grognement, juste le hululement des hiboux environnants. Malgré cela, elle restait sur ses gardes, prête à égorger chaque Zenrat qui se présenterait à elle. Quant à Gibril, étant débutant, il ne se préoccupait plus du Zenrat qui avait été signalé. Il voulait plutôt une réponse à ses questions.

" Excuse-moi...
- Qu'est-ce qu'il y a ? Répondit du tac au tac Xilia.

- Je sais que je devrais connaître ça maintenant mais qu'est-ce qu'un Zenrat en fait ?
- Ça fait combien de temps que tu es au pensionnat ?
- Un mois...
- Qui est ton coéquipier ?
- Lily Bray..."

Xilia se mordit la lèvre de rage. Encore Lily. Elle avait enfin trouvé un binôme mais elle n'était même pas fichue de lui apprendre quoique ce soit.

《Bon, écoute-moi bien. Commença-t-elle. De base, les Zenrats sont apparus sous forme de virus. On ne sait pas pourquoi mais il y a 73 ans, un cadavre de loup a été contaminé et est devenu un Zenrat. Personne ne savait comment le combattre, il s'en sortait indemne à chaque fois qu'on lui tirait dessus. Il y avait de plus en plus de Zenrats et c'est grâce à cette multiplication d'espèce, si on peut appeler ça une espèce, que nous avons trouvé leur faiblesse. Ils n'ont qu'un point faible et c'est celui qu'on étudie avant d'aller sur le terrain donc tu dois déjà être au courant. Et pour les reconnaître, c'est simple. Ils ont une couleur verdâtre et des yeux rouges. C'est tout ce que tu as besoin de savoir pour l'instant, le reste tu le demanderas à Lily. Compris ?
- Oui ! Merci Xilia !》

Xilia avait l'impression de faire le boulot de Lily à sa place et ça l'irritait. Déjà qu'elle devait aller à cette mission parce que Lily avait refusé d'y aller pour X raison, mais en plus elle devait faire les cours théoriques à son binôme.

《 Xilia...? On ne devrait pas...
- Baisse-toi ! Cria Xilia.》

Gibril se baissa à temps. Le Zenrat de type loup était sorti de la forêt qui entourait la villa et avait tenté de décapiter Gibril. Xilia se mit en position, prête à son tour à déchiqueter son ennemi avec sa dague pendant que Gibril sortait son pistolet. Il tira avec précision au niveau du cerveau du Zenrat mais cela ne fit rien.
Xilia, elle, attendait le moment opportun pour frapper. Elle ne pouvait pas prendre de risque, elle était avec un débutant.

《 Gibril, recule. Ordonna-t-elle.》

Il s'exécuta au même moment que le Zenrat sautait sur Xilia. Elle passa en dessous du Zenrat et planta sa dague argentée là où pouvait se trouver son coeur.
Leur mission était réussie. Ils avaient tué le Zenrat de type loup.

《 Incroyable ! S'exclama Gibril.
- Tu as failli te faire tuer et tu oses dire que c'était incroyable ? Tu dois toujours avoir tes sens en alerte. Et, as-tu fait expres de viser son cerveau ?
- Oui mais cela n'a pas marché apparemment, dit-il d'un air déçu.
- Tu n'as pas retenu ce que j'ai dit. Ils n'ont qu'un point vital et visiblement tu ne l'avais pas appris avant de partir en mission. C'est le B.A-BA.
- Excuse-moi...
- On va faire une nouvelle fois le tour et ensuite on retournera au pensionnat.》

Ils passèrent deux heures encore à observer les environs avant de retourner au pensionnat.

Ils entrèrent dans le hall, là où Gabriel attendait Xilia avec impatience depuis plus d'une heure.
Elle semblait étonnée de le voir à cette heure-ci mais ne le fit pas remarquer.

《 Tu sais où se trouve Lily ? Interrogea-t-elle Gabriel.
- Je l'ai vu s'entraîner à la salle d'entraînement. Pourquoi ?
- J'ai besoin de la voir pour lui toucher deux mots.
- Aïe》

Elle fonça vers la salle et quand elle vit Lily, elle cria son prénom.

《 Tu n'as pas besoin de crier Xilia. Qu'est-ce que tu me veux ? Demanda la prénommée Lily.
- Ce que je veux c'est que tu apprennes à ton partenaire les bases des combattants. Il a failli mourir lors de cette mission et tu te serais retrouvée sans partenaire, comme avant, puis déjà, pourquoi n'y es-tu pas allée à cette mission ? C'est TON partenaire. Pas le mien.
- Je te demanderais de ne pas me donner d'ordres. S'il est incapable de se renseigner sur ce que c'est que d'être un combattant, ce n'est pas de ma faute. Et tu me vois vraiment faire une mission de rang D ? C'était inutile que je vienne.
- Si tu veux un jour passer au grade suivant, il faudrait peut-être que tu en fasses des missions. Tu veux que je te donne un conseil ? Entraîne-le bien ou arrête de faire partie des équipes. Si tu voulais un compagnon juste pour pouvoir te mesurer à Gabriel et moi, ce n'est pas la peine si tu ne combats justement pas en équipe.
- Je l'ai entrainé et je n'ai nullement besoin de tes conseils. Est-ce de ma faute si ce crétin ne sait pas mettre en pratique ?
- Tu ne lui as rien appris. Même pas la théorie. Il a du potentiel que tu n'arrives pas à exploiter apparemment et ça me fait mal de voir cela. Si un jour il te quitte, je lui en donnerais tous les droits. Et s'il meurt, je prendrais un malin plaisir à te virer des troupes et à t'humilier devant chaque équipe.
- Tu n'es vraiment qu'une garce.
- Si tu le dis. Sur ce. »

Xilia quitta la salle et vit Gabriel et Gibril devant la porte. Elle sut qu'ils avaient tout entendu.
Elle partait au niveau des dortoirs en traversant le hall et Gabriel la suivit.

« La Xixi est énervée ? Demanda celui qui l'avait espionné.
- Ne me cherche pas Gab.
- Alors ?
- Il n'y avait qu'un Zenrat de type loup et Lily a tellement bien formé son coéquipier que celui-ci m'a demandé ce qu'est un Zenrat.
- Ouaw ! Elle aurait dû avoir un coéquipier depuis longtemps au vu de son niveau.
- En effet.
- Et donc, c'est le niveau d'entrainement de Lily qui t'as énervé ?
- Entre autre. C'est surtout le fait que son coéquipier ai failli se faire bouffer à cause de son incompétence et qu'elle ose dire que ce n'est pas de sa faute.
- Je vois.
- Je vais envoyer un rapport au directeur.
- Ok ! »

Elle partit dans sa chambre en repassant par le vestibule et en traversant le couloir des chambres, toujours accompagnée de Gabriel, et s'assied sur son lit, une fois arrivée à destination, en tapant sur le clavier qui était sorti de sa montre. La chambre de Xilia était plutôt petite et était constituée d'un lit simple, d'une armoire et d'une commode où elle y déposait son arme. Pour accéder au lit, on devait monter un petit escalier que Xilia enjambait avec facilité. Les murs étaient habités par des couleurs vives comme le jaune, le rouge et le orange qui se mélangeaient entre elles.

Gabriel était resté debout et fixait Xilia tant qu'il le pouvait. Il fixait les jolies boucles brunes qui ornaient la tête de Xilia, ses yeux verts concentrées sur sa montre et son joli visage habité par la finesse. Il pensa à la grande sœur de Xilia, morte à cause d'un Zenrat de type vautour, un type de Zenrat plutôt rare. Elles avaient quasiment le même visage. Tout ce qui les différencier était la couleur de leurs yeux et l'âge. Il ne l'avait jamais vu en vrai. En effet, lorsqu'il est arrivé au pensionnat, elle était déjà morte. Depuis la mort de sa sœur, Xilia se dévouait corps et âme dans l'extermination des Zenrat.

« Bon ! Fini !

- D'accord. Donc maintenant je peux t'annoncer la nouvelle ?

- Laquelle ? Demanda Xilia.

- On a une mission demain ensemble, et ce ne sera pas que de la reconnaissance cette fois-ci.

- Explique.

- Je n'en sais presque rien sur le sujet mais de ce que j'ai compris des Aînés, le nombre de Zenrat augmente considérablement en ce moment. On en trouve de plus en plus dans les forêts, près des villes, et c'est là-bas que notre mission se déroule.

- Ils auraient pu me prévenir aussi.

- Ils ont préféré attendre ton retour. »

Au même moment, Xilia reçut un message sur sa montre. Elle l'ouvrit.

« Nous avons bien reçu votre rapport, X.O. Merci pour votre aide dans cette mission. Nous voudrions bien vous laisser tranquille mais nous avons de nouveau besoin de vous. En effet, demain partent à 10h : votre coéquipier, Lashley Oxart et Roxane Krural , Paolo Santio et Miriam Simbia. Nous souhaiterions que vous les accompagnaient dans cette mission qui risque d'être dangereuse afin de minimiser les dégâts.

Cordialement, le bureau adjoint. »

« Oh les fils de bourges ! Ils savent que je ne peux laisser partir mon coéquipier seul !

- Ah bon ? Fit Gabriel en lui lançant un regard pervers.

- Arrête de me regarder comme ça ! Il y a des fois où tu me fais peur toi... »

Gabriel explosa de rire.

« Donc tu viens faire la mission avec ton coéquipier chéri ?

- Oui, mon Gabounet !

- Je vais te tuer Xixi pour ce surnom horrible !

- Quand tu veux, mais si tu me tues, on ne fera plus jamais de missions ensemble !

- Ah oui mince... »

Ils rigolèrent ensemble et le chat roux vivant dans cette chambre apparut sous l'éclat des rires. Ce chat était là bien avant l'arrivée de Xilia et celle-ci le considérait un peu comme le gardien des lieux.

« Oh ! Ghaine ! S'exclama Gabriel qui ne voyait le chat que très rarement.

- Il a dû voir une magnifique petite souris se balader puis il est sorti ! Dit Xilia en rigolant.

- Non, c'est pour moi qu'il est sorti ! Fit Gabriel avec, de nouveau, son regard pervers.

- Ne touche pas à Ghaine avec ton regard ! Il va avoir peur !

- Mais non ! Les animaux m'adorent !

- Vérifions ça ! »

Xilia se souvint qu'il a fallu du temps avant que Ghaine l'accepte. Pour ce chat, cette chambre était son territoire. Il a du mal à accepter ceux qui y pénètrent.

Gabriel s'approcha de Ghaine et comme attendu, le chat mordit Gabriel sans pression. Et comme s'il voulait le provoquer, il se mit sur Xilia, en boule.

« Oh gros minou, tu ne vas pas jouer à ça longtemps avec moi. Xilia chérie ?

- Appelle-moi encore une fois comme ça et c'est moi qui te mordrai.

- Ok, ok. Sois calme ma féline. »

Xilia allait lui sauter dessus comme un véritable félin quand Lily ouvrit la porte.

« Qu'est-ce que vous faites ? Si vous voulez faire ce genre de choses...

- On est dans une chambre et qui plus est la mienne. Coupa Xilia. Que me veux-tu ?

- Je voulais juste te dire que le directeur t'appelle. Dit-elle avec un sourire en coin.

- Ok. »

Xilia se leva et Gabriel voulait la suivre mais Lily l'en empêcha.

« Ça ne concerne qu'elle. Tu n'as pas besoin d'être son toutou tout le temps tu sais.

- Je ne suis en rien son toutou. Occupe-toi de ton coéquipier au lieu de t'occuper du sien. »

Lily semblait outrée tandis que Gabriel la contourna pour faire comme à son habitude : espionner la conversation qu'ont les personnes avec sa coéquipière.

Commentaires :

Artificallight
Mais je t'encourage vivement à continuer, après quelques modifications ton texte sera plus agréable à lire ! Bonne chance à toi !

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Artificallight
Répétions: -« [...] avant de retourner au pensionnat [...] » avant de partir ... (ça évitera de te répéter) -« [...] je l'ai vu s'entraîner [...] » ne répète pas entraînement. Si Lily s'entraîne dans une salle on devine qu'il s'agit d'une salle dédiée à ça. Voilà pour les erreurs maintenant deux ou trois conseils -évite de répéter: « de type loup » à chaque fois cela alourdit ton texte et ralenti la lecture -tu répètes trop Xilia -« [...] il fixait ses jolies boucles brunes [...] » Pas besoin de mettre: « qui ornaient la tête » -Évite de décrire tes personnage en faisant une énumération. Si tu souhaites faire une description fait la grâce à des actions ! -Même chose pour le caractère. On le découvrira avec grâce à ton personnage avec sa manière de penser, ses actes et sa manière de parler. -développe un peu plus le dialogue parce que finir par « ok! » ça nous laisse sur notre faim. Gabriel n'a pas un avis sur la question ? Ne veut-il pas le donner ? -Évite les répétitions en variant le vocabulaire, le site synonymo est très bien pour ça! N'hésite surtout pas à aller y chercher des synonymes. -attention aux temps et à la conjugaison -Enfin développe un peu plus tes personnages. Donne leur plus de profondeur.

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Artificallight
Bonjour, Merci de nous avoir soumis ton texte! Je vais essayer de compléter mes collègues qui ont déjà pas mal dit! Alors tout d'abord ton texte plusieurs erreurs Problème tournure de phrase: -«Que ce soit les zones[...]» il vaut mieux dire : Que ce soit pour les zones -«[...] alors que tout le monde se portait [...]» plutôt alors que le monde se portait -«[...]ce à quoi ils étaient vulnérables[...]» de préférence mettre: ce à quoi le virus était vulnérable. -«[...] où un Zenrat de type loup [...] » Il vaut mieux écrire: où une espèce de Zenrat, des loups... -« [...] qu'est-ce qu'il y a? » plutôt : qu'y a-t-il ? C'est mieux formulé pour une conversation entre adultes. -« demande la prénommée Lily » demanda-t-elle. Pas besoin de préciser que c'est Lily, tu nous l'as déjà dit. -« demande celui qui l'avait espionné » demanda-t-il C'est mieux -« [...] je n'en sais presque rien sur le sujet[...] » Je ne sais presque rien -« [...] puis déjà [...] » et puis pourquoi as-tu refusé cette mission. -« [...] ils rigolèrent ensemble [...] » Pour introduire le chat mets plutôt: et un chat roux apparut. C'était un peu comme le gardien des lieux pour Xilia, il occupait la pièce bien avant elle. Erreurs de temps: -« [...] et la vie commençait[...] » et la vie commença -« [...] Des villes sont dites[...] » certaines villes étaient dites ... -« [...] et des endroits où personne ne vie [...] » ne vivaient -« [...] avaient été convoqués [...] » Convoque sans s -« [...] elle semblait [...] » elle sembla étonnée de le voir à une heure pareille mais n'en dit rien. -« [...] elle portait [...] » elle partit au niveau des dortoirs -« [...] et s'assied [...] » et s'assit Erreurs de conjugaison: -« [...] qui se présenterait [...] » qui se présenteraient -« [...] que vous les accompagnaient [...] » Que vous les accompagnez

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Pandikoe
Du coup en résumé : il faut approfondir ton texte sur la forme : tout ce qui est descriptions ce qui va donner une ambiance et donc une âme à ton texte : ne passe pas à toute vitesse, prends le temps de te poser ! Voilà, j'espère t'avoir aidé et bon courage ! ciao !

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Pandikoe
Attention, tu fais beaucoup de phrases courtes ça donne un style très robotique, pas exemple là :"'Cétait le soir. Il devait être 23 heures lorsque Xilia et Gibril avaient été convoqués en urgence. Ils étaient autour d'une villa où un Zenrat de type loup avait été aperçu. Xilia n'entendait rien, aucun grognement, juste le hululement des hiboux environnants. Malgré cela, elle restait sur ses gardes, prête à égorger chaque Zenrat qui se présenterait à elle." Tu peux enlever pas mal de point, je te propose :" C'était le soir, il devait être 23h lorsque Xilia et Gibril avaient été convoqués en urgence pour vérifier une villa: un zenrat de type loup avait été aperçu mais Xilia n'entendait rien, aucun grognement. Juste le hululement des hiboux environnants. Malgré cela, elle restait sur ses gardes, prête à égorger chaque Zenrat qui se présenterait à elle" ( D'ailleurs je dirais plus jaillirait, vu que présenter l'humanise. L'alternance de phrases courtes et longues permet de donner du rythme à ton texte :) "Le Zenrat de type loup était sorti de la forêt" attention à des formules pauvres qui vont empêcher de donner de la profondeur à ton texte,tu peux nuancer ton verbe d'action au lieu de sortir tu pourrais dire jaillir, apparaître qui va donner une impression de vitesse. " mais cela ne fit rien." assez pauvre, je propose : " mais la bête ne réagit pas, ses yeux vides et rouges tournés vers Gibril" Il faut que tu décrives ton monstre, que tu le rendes inhumain pour qu'on ressente du dégoût et de la peur. Alors, Gab est vraiment inquiétant ; de un c'est un stalkeur et de deux c'est un pervers ! Mais justement je me demande si c'est bien l'adjectif adapté ici : " Ah bon ? Fit Gabriel en lui lançant un regard pervers." là, clairement je comprends pas pourquoi il lui lançe un regard pervers. Je dirai plus un sourire malicieux parce que là je ne vois pas pourquoi tu utilises pervers. (3)

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Pandikoe
Le fait de ne rien connaître aux Zenrats n'est vraiment pas convaincant même si tu l'as essayé de l'amener d'une certaine manière :ils vivent dans un monde infesté de ces trucs, ils savent forcément ce qu'ils sont et à quoi ils sont sensibles ! Tu peux souligner l'incompétence de petit par sa manière de combattre : ex il réagit pas assez rapidement, il tire d'abord sur sa tête puis dans son coeur : mais c'est trop gros. Et plus encore s'ils sont censé l'étudier en cours : il n'est pas encore en équipe à ce moment là ! "c'est grâce à cette multiplication d'espèce, si on peut appeler ça une espèce, que nous avons trouvé leur faiblesse." ils ont mis tant de temps que le cœur était le seul point faible ? Je pense que l'armée aurait mis à peine quelques heures à en capturer un vivant et à tester ses points faibles ! Un dernier point :si les coéquipiers sont constitués d'un aîné et d'un cadet, je n'ai pas remarqué si c'était vraiment le cas pour les deux héros... Bon, je passe maintenant à la forme : comme je l'ai dit, il manque des descriptions : de lieu : la maison et le pensionnat, des personnages des émotions ( ça tu t'es plutôt bien débrouillée) ; il faut donner plus de substance à ton texte. Quelques remarques plus précises ; "C'était le soir. " si tu commences comme ça, le lecteur ne va pas accrocher. Vu la situation, commence par une action ou le hululement des hiboux. "Xilia se mordit la lèvre de rage." la rage est un sentiment trop puissant : je pense qu'à ce niveau c'est encore de l'agacement. (2)

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Pandikoe
Bonsoir ! déjà, merci pour ton texte, voici mon commentaire : déjà, le prologue est inutile. Ce genre de texte peut servir pour une quatrième de couverture mais en plus il y'a aussi des incohérences ou des zones de flou qui induisent en erreur : il faudrait préciser que les Zenrats deviennent fous parce que si tu nous dis juste que la pop baisse, ça ne nous dit pas comment. Vu que tu parles du scientifique, je pense qu'il serait intéressant de faire ton prologue comme un le journal de ce scientifique qui explique sa découverte, tu pourrais ainsi mettre à peu près les éléments que tu as dans ton prologue. Puis quelques points sont bancals : "Il est apparu en 2132, alors que tout le monde se portait à merveille" est ce que ce n'est pas surréaliste de se dire qu'en 2136 tout va bien vu toutes les prévisions dramatiques de chercheurs et d'économistes ? Je pense qu'il serait plus intelligent de placer cette histoire plus tôt. "De nos jours, de plus en plus d'enfants sont orphelins et n'ont le choix que pour ces deux "métiers". Je vois ce que tu veux dire, que ces métiers deviennent la majorité mais, c'est un peu facile de dire qu'ils n'ont le choix que pour ces deux métiers : qui fait la cuisine etc ? En fait ça dépend du point de vue : est-ce que le métier de combattant et de chercheurs et privilégié ou non ? "villes "fantômes" et des endroits où personne ne vit comme "inaccessibles"." Pas besoin de mettre de guillemets, encore plus pour ville fantôme qui est un terme déjà. Si tu veux donner une notion d'importance à ces lieux, privilégie les majuscules :) au niveau du premier chapitre, tout est approfondir : Il faut plus de descriptions pour installer une ambiance : ça ne serait pas dérangeant que la mission prenne quasiment tout le chapitre car c'est ce qui définit le travail de nos héros. (1)

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leparfumdupapier
Bonsoir, merci d'avoir soumis ton texte. Avant de commencer, j'ai une question : pourquoi avoir mis ce texte dans la catégorie fantastique ? Dans cet extrait, on ne croise ni monstres ni actions inexplicables (peut-être viendront-ils plus tard ?). Pour ma part, puisque l'intrigue commence dans le futur, et que tout trouve une explication, j'aurais plus volontiers classer cette histoire dans la catégorie science-fiction. Pour la langue, je n'ai presque pas trouver de fautes, c'est un bon point. Seulement, dans « as-tu fais expres de viser son cerveau ? », un accent a été oublié. Aussi, plusieurs fois, un que l'on a été remplaçé par un qu'on, par exemple dans le prologue « des lieux qu'on nomma pensionnat ». Ensuite, dans « Xilia avait l'impression de faire le boulot de Lily à sa place et ça l'irritait », tu as utilisé ça, alors que le reste du texte tu privilégie le cela. Malheureusement, il y a beaucoup de fautes de typographie dans les dialogues. Premièrement, des guillemets ne sont parfois pas mis à la fin des dialogues. Les guillemets des premiers dialogues sont différents de ceux utilisés après, dans ton texte, certains sont plus grands. Si les guillemets posent problème, une solution serait de les enlever entièrement. De plus, les incises (indications du dialogue) ne commencent jamais par une majuscule, même lorsque elles suivent un point d'exclamation et d'interrogation. Les incises ne sont également jamais précédés par un point, comme tu l'as fait dans « Bon, écoute-moi bien. Commença Xilia ». Dans le paragraphe « Xilia se souvint qu'il a fallu du temps avant que Ghaine l'accepte. Pour ce chat, cette chambre était son territoire. Il a du mal à accepter ceux qui y pénètrent ». Plusieurs verbes sont au présent alors que le reste est au passé. Le début du prologue est également au présent. Pour les répétitions, il n'y en a pas énormément.

--> leparfumdupapier
C'est aussi un peu incohérent que Xilia ne précise pas à Gibril le point faible des Zenrat alors qu'il est évident que les connaissances théoriques du garçon sont totalement absentes. Bref, c'est la fin de commentaire, courage pour la correction et bonne continuation littéraire.

--> leparfumdupapier
Cependant, il faudrait trouver une périphrase pour désigner les zenrats, étant donné que ce mot est beaucoup utilisé. Et puis, dans les phrases « Gabriel était resté debout et fixait Xilia tant qu'il le pouvait. Il fixait les jolies boucles brunes », le verbe fixer est présent deux fois. C'est peut-être une figure de style, mais honnêtement ça ne marche pas trop. Je suis désolé, mais les dialogues sont aussi à retravailler. Déjà, parce qu'ils sont trop nombreux, ils constituent presque la moitié du texte, et casse le rythme du chapitre. Et une grosse partie est inutile, les dialogues ne sont pas des conversations normales, on ne s'en sert normalement que lorsqu'ils sont utiles. Il y a également un problème de rythme, dans le prologue et au début du texte (l'expédition) ne sont pas du tout détaillés et cela empêche le lecteur de se plonger dans l'univers. Les descriptions ne sont pas présentes. Que ce soit celles de lieu (la forêt, le terrain d'entraînement, la chambre) et de personne (Gabriel, Lily et son coéquipier), en mettre permettrait d'enrichir ton texte. Un autre gros problème est que l'intrigue se concentre plus sur les relations des personnages et leurs intimités que sur le « combat » et leur quotidien. Si ces ces scènes là peuvent être très réussies et intéressantes, il est tout de même préférable de les mettre quand le lecteur s'est attaché aux personnages, alors que dans ce chapitre ils n'ont pas encore vraiment d'identité, et je me sens donc un peu étrangère quand les personnages ont des moments entre eux. Les personnages ne nous donne pas vraiment l'impression d'avoir reçu un enseignement guerrier conséquent. Par exemple, dans la phrase « planta sa dague argentée là où pouvait se trouver son cœur », Xilia n'est pas censée savoir précisément où se trouve le cœur de sa cible ? Et pourquoi le niveau de connaissance de Gibril n'a pas été contrôlé avant de partir dans une mission dangereuse ?

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