Texte n°544
Note de l'archiviste : Wrxtetodream a disparu de Wattpad. Ci-gît un de ses textes.
Prologue
"Avant lui, c'était le calme, la tranquillité. Mon avenir était tout tracé, malgré cette routine qui devenait lassante.
Avant lui, j'étais décidée à finir ce parcours semé d'embûches pour finir mes études.
Avant lui, j'étais une fille modèle, studieuse mais ennuyante.
Avant lui, c'était le vide total.
Dès le premier jour où je l'ai rencontré, j'ai su qu'il allait tout bouleverser. Mais j'ignorais qu'il allait changer tous mes plans. Surtout qu'il allait me faire découvrir quelque chose que je n'avais jamais connu auparavant : l'amour.
Quitte à me faire souffrir au point de regretter d'avoir croisé son chemin, d'avoir assisté à ce concert qui avait eu lieu dans l'école. Mais d'une manière inexplicable, j'étais devenue accro à lui.
Lui, c'est Joe"
Chapitre 1
Le soleil était haut dans le ciel, une journée merveilleuse s'annonçait. Le temps était plutôt bon pour ce mois d'octobre, les affaires plus chaudes allaient rester dans les cartons encore quelques temps.
Je marchais en direction de l'école, mes écouteurs aux oreilles, ces dernières prêtes à entendre ces chansons tant écoutées mais tant aimées. Contrairement aux autres, je ne suivais pas l'actualité musicale, je ne pouvais citer le nom du dernier album sorti dans les bacs la semaine dernière par l'artiste qui était le plus écouté du moment. J'étais restée dans la période des années 70 à 90, préférant un style punk, rock avec des groupes tels que "Ramones", "Green Day" et bien d'autres.
Les gens de ma classe me surnommaient affectueusement "E.T", dû à l'extraterrestre que j'étais suite à mes goûts différents.
Cette remarque ne visait pas à me faire du mal, je préférais de pas trop en dire sur moi et restais plutôt dans mon coin. J'avais peur du regard des autres, de ce qu'ils pensaient à mon sujet, même si je voulais être moi-même au lieu d'être un disciple soumis à suivre une mode qui n'était que de passage pour ensuite en suivre une nouvelle encore plus ridicule que la précédente.
"La mode" je la voyais partout, y compris dans notre choix professionnel! J'avais constaté que de nombreuses voies s'étaient orientées dans les bureaux. Était-ce réellement un phénomène de mode ou était-ce en raison de l'accès qui était simple? Je pense qu'il s'agissait des deux. Qu'y avait-il de si génial à rester une journée entière derrière un écran d'ordinateur? A comptabiliser des factures qui n'était même pas les nôtre? Ce métier m'avait l'air bien ennuyant.
Le domaine dans lequel je désirais faire carrière n'avait rien à voir. J'étais déterminée à devenir une photographe professionnelle.
Comme passion, j'avais la musique. Un passe-temps qui me permettait de m'évader dans mes rêveries. Avec elle, je pouvais me ressourcer et pour prouver mon amour pour la musique, peu après mes dix-huit ans, je m'étais fait tatouer une clé de sol et une clé de fa qui, collé ensemble, formaient un cœur. Il était situé derrière mon oreille droite, ce qui m'avait valu une bonne heure de souffrance, mais le résultat était parfait. Mes parents ne voyaient pas d'un très bon œil le petit investissement que j'avais fait.
" Tu peines a gagner ta vie et tu gaspilles le peu d'argent que tu possèdes avec un tatouage absurde! " M'avait reproché Christopher en voyant l'œuvre réalisée quelques heures plus tôt.
J'avais préféré ignorer ces remarques, car ce tatouage, j'en étais fière.
A côté de mes études commencées quatre ans auparavant, je travaillais dans une boutique de vêtements en tant que vendeuse. Je ne pouvais me contenter de poursuivre mes études sans rien gagner. Ce travail n'était pas le meilleur, mais il me suffisait pour me permettre de me mettre un peu d'argent de côté. Mon horaire commençait à 15h30 soit, une demi-heure après la fin de mes cours et il se terminait qu'à la fermeture de la boutique. Mes journées étaient bien remplies, je n'avais pas le temps de m'ennuyer. Et je n'avais pas de temps libre pour voir mes amis en dehors des heures de cours.
J'étais enfin arrivé devant l'école, je marchai sans m'arrêter, avançant d'un pas rythmé par ma musique peu commune. Je traversai la cour dans un état de rêveries. Je devais rejoindre Cassie qui m'attendait dans le hall. Ce dernier était vide, tous les étudiants se trouvaient à l'extérieur pour profiter du beau temps avant que le froid ne vienne s'installer sans prévenir.
Des tables étaient installées au milieu du hall et elles étaient toutes inoccupées, sauf une. Celle ou Cassie était assise. J'allai donc la rejoindre et m'installai en face d'elle. Cette dernière ne m'avait pas entendue, trop concentrée à retenir les mots surlignés dans les livres.
J'avais rencontré Cassie lors de mon entrée dans cette école, nous étions dans la même classe. Les élèves m'étaient inconnus, je craignais d'être mise à l'écart une fois de plus. Alors que de nombreux doutes s'installèrent dans mon esprit, je vis une fille au fond la classe, assise seule, la tête baissée. J'ignorais pourquoi, mais cette fille me ressemblait étrangement, de son attitude à être isolée. Allait-elle me repousser si je l'approchais? Si je ne tentais rien, je ne le saurais jamais.
Elle était assez jolie, je pouvais deviner qu'elle était grande en taille, ses yeux d'amande de couleur noisettes étaient en parfait harmonie avec ses longs cheveux rouge, ce que je trouvais magnifique.
Je m'avançais d'un pas hésitant, de peur d'être rejetée. Mais rien de tout cela ne se produisit. Lorsqu'elle leva la tête et me vit, elle afficha un sourire gênée. Nous restâmes quelques secondes à nous regarder dans un silence qui devenait pesant.
- Je peux m'asseoir ? Demandai-je timidement.
- Bien sûr. Il n'y a personne ici.
Elle dégagea ses affaires qui se trouvaient sur la partie inoccupée du banc.
Généralement, je n'adressais pas la parole à mon voisin ou ma voisine, je tentais d'être invisible. Mais avec elle, c'était différent, je voulais avoir du contact, en apprendre d'avantages sur elle. Cette sensation d'être en sécurité, de me trouver à l'aise avec quelqu'un, m'envahissait pour la première fois depuis longtemps.
La communication entre nous fut facile, avec néanmoins un climat de gêne. Mais cela importait peu, car j'étais enfin dans la capacité à mener une conversation sans retourner dans ma carapace.
Durant les pauses déjeunées, nous restions ensemble, telles deux étrangère parmi une population inconnue et qui nous semblaient remplie de haine et de méchancetés. Rapidement un lien fort s'était tissé entre nous et jamais je n'avais été aussi bien avec une personne depuis mon adolescence.
Cassie était devenue ma meilleure amie sur qui je pouvais compter. Je me trouvais assise en face d'elle et la regardais, son nez fourré dans les livres. Elle n'avait toujours pas remarqué ma présence. C'était l'une des particularités que j'appréciais chez ce spécimen aussi étrange que moi, sa capacité à se concentrer au point d'ignorer tout ce qui se trouvait autour d'elle. En revanche, son retour sur terre était tout aussi hilarant que de la voir imprégnée dans ses livres de cours.
-Tu as oublié d'étudier cette nuit?
Cassie sursauta au son de ma voix, je riai à sa peur et à son expression en me voyant qui était un mélange se surprise et de peur. Elle posa son livre sur la table et remonta ses lunettes noires de forme rondes sur le crâne.
- Pourquoi tu me fais toujours autant peur? Me demanda-t-elle tentant de se remettre de des émotions.
- Si tu étais moins concentrée dans tes livres, tu m'aurais vue arriver et tu n'aurais pas eu peur. Répliquai-je.
- Tu sais très bien que je ne parviens pas à mémoriser les leçons si j'étudie différemment.
Je m'étais toujours demandé comment elle parvenait à s'isoler mentalement, plusieurs fois j'avais tenté de le faire, mais le moindre mouvement ou bruits suffisait à me distraire.
Les affaires de Cassie rangées, nous nous levâmes pour nous diriger vers notre salle de classe où nous allions être rejoints par Francky.
Francky était un garçon que nous avions rencontré quelques mois après notre deuxième année dans l'école. C'était un grand brun aux cheveux châtains avec un visage carré et une carrure bien musclée, ce qui lui donnait un air de dur à cuir. Mais dans la réalité, il n'en était rien. Francky était un vrai fou, si bien que je me suis questionnée sur son âge mental. Il était capable sortir des propos absurdes à n'importe quel moment de la journée et dans n'importe quelles circonstances. Notre rencontre avait, elle aussi, été absurde.
Je me trouvais avec Cassie à la Cafétéria, notre repas était terminé et nos livres avaient pris la place des plateaux. Plusieurs examens nous attendaient cet après-midi-là et nous voulions à tout prix les réussir. Mais notre séance d'études fut interrompue par une arrivée qui nous avait toutes les deux étonnées. Alors que nous nous récitions chacune son tour notre leçon, un garçon arriva vers nous avec son plateau et s'installa à notre table. Cela ne nous dérangeait pas puisque la place était disponible, ce qui nous avait surpris était qu'il nous adresse la parole comme si nous étions des amis de longue date alors que nous ne nous connaissions même pas! La première phrase qu'il nous avait dite resterait à jamais gravée dans ma mémoire. Son regard perçant et intimidant à la fois était fixé sur nous, il lâcha soudainement :
- C'est une chance qu'ils ne nous fassent pas payer le repas, déjà que nous sommes obligés de manger de la nourriture d'une qualité minable.
Puis il continua à parler de statistiques que ni Cassie, ni moi ne comprenions. Il me semble qu'elles portaient sur les jeunes qui mangeaient à la cantine et ceux qui mangeaient à l'extérieur.
- Vous saviez qu'un tiers de ceux qui mangent à la cantine ont des problèmes digestifs lorsqu'ils rentrent chez eux. Continua-t-il.
Je regardais Cassie qui faisait de même et nous nous posions sans doute les mêmes questions : Qui était ce type? Pourquoi était-il venu vers nous?
Aucune de nous deux répondit à ses statistiques qui étaient inintéressantes à nos yeux.
- Je m'appelle Francky. Ravi de faire la connaissance de belles jeunes filles.
Nous fûmes gênées par ce compliment et décidâmes de nous présenter à notre tour.
- Je m'appelle Cassie, voici ma meilleure amie, Sharon.
Je pensais que la discussion allait s'arrêter là, mais Francky continua ainsi que Cassie. Au fil de la conversation, je découvrais un jeune homme qui tentait de s'intégrer parmi les autres en se démontrant avec ses qualités qui étaient considérés pour les autres, comme des défauts. Je m'étais rapidement attaché à Francky et se fut une joie pour moi de découvrir qu'il était dans la même classe que nous. Comme avec Cassie, un lien s'était tissé entre nous.
Commentaires :
SBellanger
#candidate Ces digressions peuvent être un peu "lourdes" donc, il ne faut les utiliser que lorsque c'est indispensable (et là, je ne pense pas que ça le soit, idem pour la rencontre avec Frankie qui n'apporte pas grand-chose au récit), surtout au premier chapitre. Relis-toi parce qu'il me semble qu'étant donné la manière dont tu as écris (qui est assez fluide), tu devrais trouver ces erreurs toute seule. En revanche, n'oublie pas de bien expliquer ce que tu penses au lecteur, surtout au début d'une histoire. Toi, tu connais tes personnages, lui, non. Bon courage et surtout, prend le temps de te relire dans quelques semaines.
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SBellanger
#candidate Bonjour, merci pour ton texte. Je suis d'accord avec One-last-Dance sur la cohérence de ton personnage. Il faut que tu saches que les étudiants en bac +4 ne sont pas en classe mais le plus souvent en "amphithéâtre" où plus de cent étudiants écoutent le même professeur. Sache aussi qu'on ne dit plus "classe" mais "promotion"... Ca fera plus réaliste, à mon avis. Pour la cantine, c'est pareil, les étudiants se débrouillent pour déjeuner soit un restaurant universitaire ou bien un sandwich... Ensuite, il y a un problème de temps dans ton récit au moment des digressions. Imagine ton histoire comme un fil chronologique. Il fait beau, tu sors de chez toi avec tes écouteurs... Tout à coup, tu raconte ta rencontre avec Cassie. Là, tu dois changer de temps. Tu dois passer du passé simple à l'imparfait et de l'imparfait au plus que parfait. Je te donne une phrase en exemple: Alors que de nombreux doutes s'installèrent dans mon esprit, je vis une fille assise seule... Il faudrait écrire: Alors que de nombreux doutes s'installaient dans mon esprit (les doutes sont déjà installés, tu racontes quelque chose), je vis une fille... (là, tu laisses le passé-simple parce que tu racontes quelque chose de soudain. ) Lorsque tu fais ce type de digression, tu parles de toi mais dans le passé et tu dois avertir le lecteur (ce que tu ne fais pas), ce qui fait que quand on lit, on n'est pas toujours sûr que tu racontes quelque chose qui s'est passé avant, on peut confondre avec le récit actuel: J'ignorais pourquoi mais cette fille me ressemblait étrangement dans son attitude à être isolée Je pense que tu dois être plus claire: A cette époque-là, j'ignorais pourquoi, mais j'avais eu l'impression que cette fille me ressemblait... Avec ces précautions, le lecteur sait que tu fais un "retour dans le passé". (suite ci--dessous)
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NadegeChipdel
Bonsoir et merci de nous avoir soumis ton texte. Alors, pour faire preuve d'objectivité, je trouve qu'il y a pas mal de choses à revoir pour que ton histoire gagne en qualité. * en terme d'écriture, il y a des erreurs d'accord et de conjugaison (ex : des yeux en amande, couleur noisette, déjeuner, les nôtres...). De même, page 11, tu dis « [...] aux oreilles, ces dernières prêtes à entendre... ». Je trouve cette formulation, qui personnalise les oreilles, assez étrange. Pour moi, il faut reformuler cette phrase pour la rendre plus compréhensible. Autre remarque : p. 3 mieux vaut écrire « dur à cuirE ». Sans le -e, ce n'est plus le même cuir. * au niveau de la forme, fais des phrases courtes, cela donnera de l'efficacité à tes phrases. Et aèrera ton texte, les gros blocs de texte ne donnent pas envie de poursuivre la lecture. * enfin, en terme de globalité, j'ai été gênée par les redondances, aussi bien en terme de vocabulaire que d'idée. La surabondance de l'emploi des mots de la famille d '« ennui » provoque une certaine lassitude. De même, tu as un sens de la description assez intéressant, du coup, pas la peine de nous répéter plusieurs fois la même chose, comme le fait que Sharon est très introvertie. On a très bien compris la première fois. Il faut aussi que tu travailles tes transitions : tu as tendance à te laisser emporter par tes idées. Du coup, cela donne un texte rempli de digressions qui perd de son intérêt. Autre remarque : dans le passage où les filles travaillent leurs cours, l'emploi du mot « récitation » fait très élève de primaire. Le mot est à changer. En somme, il faut que tu travailles pour donner de la maturité et du relief à ton texte. Cela passe entre autre par un vocabulaire plus recherché et moins de répétitions au niveau de tes idées. Bon courage pour la suite, Nadège
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Lallyhammer
Il apparaît tout doucement, juste une brève description, puis tu raconte la rencontre, c'est bien. Autre problème de temps : qui resterait, non il faut du futur. La fin de ton texte donne juste envie de fermer le livre et de ne pas lire la suite. Et à mon avis ce n'est pas ce que tu recherches donc il faut impérativement que tu trouves une fin de chapitre qui va inquiéter ton lecteur et le pousser à tourner la page. Tu l'auras compris beaucoup de travail de réécriture pour ce texte. Attention au vocabulaire, aux fautes et à la conjugaison. Bon courage
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Lallyhammer
Texte 544 Bonjour et merci pour ton texte Je continue donc ma lecture. En octobre, le soleil n'est pas très haut dans le ciel,.. Il faut changer... Les affaires plus chaudes : j'ai mi s un moment a comprendre de quoi tu parlais. Trouve un synonymes : kes vêtements chauds. C'est plus explicite. Quand tu parles de ce que tes oreilles aiment, c'est pas tres heureux. Aucune poésie dans la façon de le dire. Les oreilles ne reflechissent pas. Alors on comprend ce que tu veux dire, mais il faut dire ça différemment : ' dis que ses chansons preferees étaient de nature à lui apporter une certaine gaieté par ex... Soumis à suivre une mode, ça ne va pas cette phrase et puis une mode qui n' est que de passage : la mode est toujours que de passage De nombreuses voies s'étaient orientees dans les bureaux. Voies ? On ne comprend pas. Ton vocabulaire n'est pas assez précis. Ca rend le texte fade, difficilement compréhensible et surtout tres enfantin. La cause : vocabulaire insuffisant Essaie de rechercher les tournures de phrase pour améliorer ton texte. il y a beaucoup trop de répétitions Il y a aussi un problème de temps lorsque tu raconte sa rencontre avec Cassie, tu dois te trouver sur un temps antérieur à la période de narration, donc on n'est plus au passé simple, mais au plus que parfait. Ma meilleure amie sur qui je peux compter : je mange parce que j'ai faim, ou je m'habille parce que j'ai froid... Phrase inutile qui alourdi le style. Ta description de Frankie est bien faite. Il apparaît tout doucement, juste une brève description, puis tu raconte la rencontre, c'est bien.
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Lallyhammer
Le vide de quoi !? Ce n'était pas le vide, elle se consacrait à ses études
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Lallyhammer
Malgré, ce mot ne paraît pas adéquat. En quoi la routine peut elle entraver son avenir tout tracé ?
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One_Last_Dance_
Bonjour, Merci pour le texte. Il y a beaucoup de choses à revoir : déjà au niveau de la forme, ton orthographe et ta conjugaison ne sont pas à niveau. Tu fais des fautes dans la concordance des temps (futur à la place du conditionnel), de la conjugaison (rire au passé simple se dit "je ris" et pas "je riai"), et ton vocabulaire est trop peu recherché. Ça donne un style plat, sans émotion, purement descriptif, qui n'accroche pas. Essaie de donner un peu de vie à ton style – le but d'un roman est de raconter, de nous prendre par la main pour nous emmener dans la vie, dans le monde de quelqu'un d'autre. Ici, tu veux trop nous accompagner : laisse-nous découvrir ton univers petit à petit, en faisant des phrases moins lourdes et moins longues. Ensuite, au niveau du fond, je veux d'abord parler de ton héroïne. Tu nous dis qu'elle a commencé ses études il y a quatre ans, donc en supposant qu'elle ait eu un bac, 18+4=22. Elle a en tout cas plus de la vingtaine. Et pourtant, vu ton texte, j'avais l'impression d'être dans la tête d'une fille de treize-quatorze ans. Fais attention à rester en accord, à t'adapter à ton personnage et à ne pas trop t'écouter toi.
--> One_Last_Dance_
Suite : Et ensuite au niveau de l'histoire, c'est cliché. Le petit prologue qui nous annonce que les personnages vont souffrir, mais qu'ils vont découvrir l'amour, c'est vu et revu. Ainsi que l'héroïne naïve et impopulaire, sa meilleure amie plus extravertie, pareil pour leur ami au masculin qui est un électron libre. Essaie de te dégager des histoires habituelles, de créer ton histoire rien qu'à toi, je suis sûre que tu en as la capacité.
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