Texte n°533

Ma douleur d'aujourd'hui est ma force de demain.

Cours sinon tu souffre.

Abandonne est tu crèves.

Retourne toi et c'est la fin.

Voilà les principes que je me suis fixé pour Survivre, dans les rues du Mexique. Aujourd'hui le ciel et d'un bleu sombre, calme,aucun nuage aucune étoile;rien. Complètement vide semblable à mon âme.

Je me dirige en courant, essayant d'éviter les obstacles qui se sème sur mon chemin. À la cité la plupart des adolescents sont orphelins on se regroupe pour s'affronter ou pour discuter; la routine.

Ils représente la famille que je n'ai pas eu étant plus jeunes nous nous entraidons les uns les autres. Honnêteté/loyauté, sont les deux qualités à retenir à la cité nord. Hazael l' Énée de la cité nord À imposer les deux qualités sinon « Una bala en el corazón »

Certes nous ne possédons pas les mêmes géniteurs mais ils ont été beaucoup plus présent que mes pseudos Parents.

Sang ou pas sang; le plus important c'est ce qui étaient là à tes côtés quand tu étais dans le mal.

Je me souviens qu'une fois un duel entre deux filles avait éclaté, la plus vieille sorti son arme de sa poche et abattu de sang-froid La cadée. J'étais pétrifié à la vue de cette flaque rouges est à son corps gisant sur le béton humide.

À cette époque je n'avais que treize ans c'était la première fois que j'ai assisté à un meurtre aujourd'hui j'ai quinze ans je ne supporte toujours pas de voir du sang... mais il le faut... je n'ai pas le choix. C'est ma vie.

Quand je suis arrivé à la cité nord je me dirige vers un groupe d'adolescent assis sur des pierre entrain de se faire passer à tour de rôle un seul joint pour au moins six personnes. Je ne suis pas vraiment accro à tous ça mais j'apprécie d'observer la fumer ce dégager dans l'air.

Arriver à leur auteur mon frère me fais un signe de la tête, Je me dirige vers lui en essayent d'esquiver les bouteilles d'alcool a mes pied, pour enfin m'asseoir à ses côtés.

-tu veux tirer un coup? me demande-t-il en rapprochant le joint devant mes lèvres.

Je plonge mon regard au siens, ses yeux noisette sont éclairer par un seul lampadaire en face de nous. Je fronce légèrement les sourcils en guise de réponse et il saisie le message. non, il tourne la tête pour passer la cigarette à son voisin de gauche. J'ai bien plus de problème que de penser a fumer un joint qui a fait le tour du Mexique.

-tu pourrais me rendre un service ? Demandai-je sur un ton hésitant. Les yeux toujours rivés vers l'horizon je n'osais pas le regarder, ce n'est pas dans mon habitude de demander des services aux gens même à lui...

Nous nous sommes connus il y a cinq ans dans un orphelinat, il n'avait que 12 et moi 10. J'étais toujours dans mon coin isolé des autres j'avais peur de m'attacher pour qu'après on abandonne encore une fois.

Je m'en souviendrais toujours de cette instant est venu me parler pour me proposer de jouer avec d'autres garçons au foot. Je décliné sans cesse, trois mois plus tard je fini par céder et aller jouer avec eux. J'étais dans les cages j'attendais quand Trisko visé exprime mon visage, mais main longer le long de mon corps je fixé le ballon qui retombe à mes pieds.Sans que je le remarque une larmes couler le loin de mon visage.

J'étais furieuse contre lui est contre moi d'avoir accepté de jouer avec eux Au ballon. Aussitôt Raphaël le remarque et est venu essuyer mes larmes grâce à son pouce, depuis ce jour il me protège il veille sur moi; Tel un frère.

-quel genre de service ? Il pose son regard vers moi, je fixe toujours l'horizon sans trop savoir quoi regarder.

Je prends une grande inspiration et commence:

-ma famille d'accueil m'a viré de chez eux... Il y a trois jours et je... Je ne sais pas où aller je ne veux pas retourner à l'orphelinat, tu sais très bien comment il nous traité.(je baisse la tête) j'ai cru que j'aurais pu gérer seul mais non. Je dors à même le sol, je n'ai pas vraiment manger ...(Un noeud se forme dans mon estomac)..

-Est-ce que je pourrais venir quelques temps chez toi? Dit-je finalement en le regardant droit dans les yeux.

une fois terminée Raphaël se lève on prend par la main pour nous éloigner du reste du groupe. Je le suis jconfuse.

Il me lâche la main.

-pourquoi tu n'es pas venu me voir Six ! J'aurais pu t'aider et tu le sais très bien.

-je le sais... Mais j'avais honte de demander de l'aide à quelqu'un.

Sont regard c'était assombrit je voyais qu'il était triste.

-« quelqu'un »

Oh nan. Sans le vouloir je venais de blessé Raphaël, il n'est pas comme les autres, il ne m'a pas laissé seul Durant ces cinq dernières années; il est mon frère le seul membre de ma famille qui me reste.(enfin que j'ai eu...).

Il Remarque à quel point je suis désolé et prends ton visage entre ses mains pour me forcer à le regarder.

–Je ne refuserai jamais de te venir en aide,dit il fermement, mais je ne veux pas que tu as honte de venir me voir pour me demander un simple service ou même pour te confier à moi, je suis là je prendrai toujours soin de toi.

Je verse une larme, il me serre dans ses bras.

Blanc.

C'est la première couleur qui me tape-à-l'œil, la pièce est entièrement recouvert de blanc même les meubles les cadres, les draps ou le sol; tout est blanc. Rien n'est laissé au hasard. Je me lève brusquement lorsque que je remarque que je porte des vêtements assez large pour moi, où sont mes vêtements?iJe suis vêtu d'un long T-shirt blanc(pour pas changer..) et d'un pantalon blanc.

-ne t'en fais pas je n'ai pas retirer tes sous-vêtements. (Il marque une légère pause)

Je rougis légèrement à cause de cette situation gênante mais il ne semble pas le remarquer, les saletés de mon visage de trois jours se mélange parfaitement bien avec la rougeurs de mon visage. Je me sent presque mal à l'aise de tacher c'est draps en coton.

J'incline ma tête vers L'encadrement de la porte et je le vois avec un léger sourire plaqué sur ses fines lèvres.

Il reprend:

-et puis je me suis dit que c'était assez glauque de le faire.

C'est assez glauque tout court qu'il me change de vêtements pendant que je dormais.

Attendez une minute quand est-ce que..

-comment est-ce que... pourquoi je porte tes vêtements.. enfin je veux dire pourquoi..comment je me suis..

Je me mélange les pinceaux,trop de questions en tête.

-Doucement tu vas finir par saturé(il rigole)

Je sors du lit pour venir en face de Alexander.

-je suis désolé c'est juste que je comprends pas comment j'ai atterri chez toi et encore moins dans ton lit.. t'as dormi où si j'étais dans ton lit?

Je sais que je pose trop de questions mais c'est toujours comme ça, j'ai besoin de savoir le pourquoi du comment et il n'a toujours pas répondu à mes questions précédentes. Alors normal que je pose encore plus de questions.

-Quand on s'est enlacés t'es resté bloqué sur mon coup je pensais que tu voulais encore Être en contact(il sourit) avec moi mais en fait non t'as juste bavé sur mon épaule et tu t'es endormi...

La honte comment j'ai pu m'en dormir sur son épaule or que nous étions en pleine discussion.

-Alors j'ai porté ton gros corps jusqu'à chez moi.. (je fais mine d'être vexée) (il reprend son sérieux) j'ai pris des vêtements à moi qui traîné dans mon placard et je t'ai changé dans le noir et..

Je le coupe dans son élan.

-Dans le noir,Pourquoi dans le noir?

-Vaut mieux toucher que voir, non?

Plu il me raconte Son histoire de la veille et plus j'ai envie de me cacher sous les égouts , sérieux c'est quoi cette théorie du voir et du toucher?

D'après Alexander si on change une personne pendant qu'elle dort c'est moins gênant de la faire dans le noir plutôt que de voir. J'ai presque envie de rigoler mais je me retiens Face à sa théorie complètement farfelus.

-Je t'avoue que des fois c'est assez compliqué surtout pour mettre le bas parce que je savais pas où je m'étais les mains et ..

-Stop!Merci je pose mes demain sur son torse. Je veux juste savoir où tu as dormi maintenant?

Je me sentirai coupable si il me dit qu'il a dormi sur le sol froid.

-j'ai dormi... Dans le canapé, Bon viens on vas manger je dois sortir après.

Pourquoi j'ai l'impression qu'il essaye de changer de sujet?

-Sortir? Où vas-tu? Je peux venir?

-nan.

-enfin... Pourquoi tu ne veux pas de ma présence?

Ma questions sonne plus affirmatif que interrogative.

Nous longeons le couloir pour arriver au salon.

-j'ai pas dit ça. Je veux juste pas que tu me suis. Reste à la maison et ne sort pas aujourd'hui.

-Mais je ne comprends pas pourquoi tu veux pas que je sors? pourquoi tu veux pas que je vienne avec toi? pourquoi tu..

-ferme la putain! Tu poses trop de putain de question ça pourrait te tuer un jour.

Je recule d'un pas. C'est la première fois que il est aussi furieux contre moi ou qu'il m' insulte.

Il avance d'un pas.

-Six je te demande pardon je voulais pas..

Je secoue la tête mécaniquement.

Je me précipite vers sa chambre et ferme la porte à clef. J'entends c'est pas de pieds puis son souffle derrière la porte pour finir par la porte d'entrée qui claque violemment faisant Vibrer la pièce.

Il est sorti.

Une fois qu'il n'est plus là je sors de la chambre pour me redirigé vers le salon, en prenant bien soin d'inspecter les lieux ce que je n'ai pas fait cinq minutes plutôt car j'étais trop occupé à me disputer avec Mon frère .

Toute sa maison est tellement impersonnel, aucun livre, aucune console,aucune photo de lui ou de ses amis, ni même de moi.Rien. C'est à peine si il vie ici.

Le canapé est assez petit pour que la grande taille de Raphaël puisse passer à part si il c'est courbé, aucun draps n'est posé sur Ce meuble blanc ni même un simple pyjama. Alors que à son réveil il porter des vêtements tout noir avec un symbole sur le côté gauche que je n'ai pas vraiment eu le temps d'observer.

À La cuisine tout est propre, la vaisselle est faite et bien rangé ce qui est rare pour un homme vivant seuls.

Quand j'étais dans ma dernière famille d'accueil mon tuteur manger tous les deux secondes pour changer d'assiette toutes les deux secondes, il laissait toujours traîner ses ordures et c'était à moi de passer derrière lui. Sa femme elle était assez gentille mais ne disait rien étant donné qu'elle avait peur de son mari. Il me battait souvent quand il voyait que j'étais assis ou que je ne faisais rien c'est l'une des raisons pour laquelle je me suis échappé. Je sais que j'ai menti à Raphaël mais je ne voulais pas lui dire la vérité je sais très bien qu'il est capable d'aller les voir et ça pourrait très mal finir. Ça fait quatre jours que je suis parti, je suis sûre qu'il ne l'a pas déclaré pour continuer de toucher de l'argent de la part de la protection de l'enfance. Pathétique; de voir ce que l'être humain est capable de faire pour de l'argent.

Je Retourne dans la chambre et ouvre Le seul placard de la pièce pour trouver de quoi me mettre.

C'est quoi son problème avec le blanc il est dans un deuil interminable?

Il y a que trois tenues (un haut blanc et un bas blanc )tous identiques les unes que les autres avec le même logo.

Je prends une tenue au pif de toute manière ça changera rien et me dirige vers la salle de bain. Qui était simple à trouver étant donné il était écrit en gros « salle de bain »

L'eau froide qui coule sur ma peau me fait du bien , j'avais même oublié la sensation que cela pouvait provoquer de se sentir pur. je prends une fleur de douche est frotte mon corps avec, une fois terminée je prends un shampooing pour Homme. À l'aide de mes mains en frottant sur ma tignasse châtain roux.

Une fois sorti de la douche je m'empresse de m'habiller et de sortir, je ne vois pas pourquoi j'écouterai les règles de monsieur pète un Cable pour rien. Alors qui ne m'a pas dit pourquoi je ne devais pas sortir.

Quand je descends du bâtiment plusieurs hommes Plus Âgés que moi ,assis sur leur capot de voitures me fixe comme si J'étais de la charcuterie. Je décide alors de passer par des ruelles étroites pour être sure qu'aucune voiture ne puisse passer.

Mauvaise idée.

Conscience de merde toujours là pour être contre mes idées.

-Et toi là! La rouquine. S'exclame une voix forte derrière moi.

Je fait comme si il ne m'avait pas parlé et continuer à avancer d'un pas rapide.

Si j'avais un téléphone et des écouteurs À ce moment précis je les aurait branché et stimuler un appel téléphonique.

Il est temps pour moi d'appliquer mon premier principe « Cours sinon tu souffres »

Je m'apprêtais à le faire quand soudain trois motards sorti de nulle part viennent me barricader le chemin. Je suis bloqué.

Je me retourne et là le même homme qui m'interpellait est debout face à moi seulement 50 m nous sépare pareil pour les motards derrière moi.

Les bruits des monteurs me fit légèrement sursauter.

-attrapé la. Ordonne-t-il

Quoi sérieux je suis pas de la charcuterie ou encore moins jouer.

Les motards descendent de leur moto et se précipitent vers moi, j'avance en arrière en essayant de ne pas trébucher. Mets une forme ronde heurte mon bas du dos.

Une arme.

-Je te conseille de plus bouger.

Merde. Je l'avais même oublié celui-là.

Aïe! Je sent une pression rentrer à l'intérieur de mon coup il n'a quand même pas..

Je sans mon corps raide et léger. Mes yeux se ferment petit à petit.

J'aurais du t'écouter Raphaël, J'aurais dû écouter ma conscience.

Rien de tout cela ne serait arrivé.

Commentaires :

NadegeChipdel
Bonjour et merci de nous avoir soumis ton texte. Je ne peux malheureusement que aller dans le sens des avis de mes collègues : il y a beaucoup de choses à revoir dans ton texte. Tout y est aussi confus que dans la tête de ton personnage principal. Tu as une idée de départ qui se défend, mais elle est trop noyée au milieu d'une cargaison de fautes d'orthographe, de conjugaison et d'accord. Les dialogues sont à revoir, il faut supprimer toutes les parenthèses. La ponctuation est anarchique, il y a des lettres collées à certains mots. Et j'ai trouvé la transition entre les deux parties très brutale, au point de me demander s'il s'agissait de la même histoire. Mon propos va sans doute te sembler dur, mais en l'état, on a l'impression d'avoir un brouillon. En somme, texte à revoir en entier. Bon courage pour la suite, Nadège

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Juliettelem
Bonjour, Ce texte comme le souligne @Lallyhammer présente un nombre ahurissant de fautes, une ponctuation fantaisiste etc... À ajouter à cela une écriture très pauvre tout comme le scenario. Ce texte devra être retravaillé à tous les niveaux. La question se pose clairement d'une relecture sérieuse qui aurait au moins évité les fautes les plus évidentes, les majuscules non justifiées, les signes de ponctuation aléatoires etc. Texte à reprendre.

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Lallyhammer
Concordance des temps catastrophique Présent passé composé imparfait tout est présent et n'importe comment Les fautes d'orthographe sont tellement présentent qu'on ne peut même pas faire une lecture correcte. Et j'ajouterai a ça, gros manque de vocabulaire. En clair texte à reprendre entièrement. Bon courage

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Lallyhammer
Bonjour et merci pour ton texte Alors beaucoup de choses à dire : d'abord, trop de fautes de conjugaison, la ponctuation n'est pas adaptée : quand tu cites, ce doit être entre guillemets et en italique, comme tes mots étrangers. Toutes les ponctuations double (: ! ? ;) ont un espace avant et un après, les simples (. ,) seulement un après. Tu inventes des mots (cadée à la place de cadette). Il y a des majuscules en plein milieu de ligne qui n'ont pas de raison d'être. Ça c'est pour la forme. Le détail dans message suivant

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